Le consensus autour du réchauffement climatique

Sommes-nous autorisés à exprimer librement des idées s’opposant à ceux de la majorité ?

Non, nous devons nous conformer à l’idéologie dominante au risque de s’exposer à l’ostracisation intellectuelle. Ce constat se vérifie dans tous les domaines, politique, santé, éducation, sécurité, sciences, histoire. Les conséquences pour les opposants sont diverses, des injures, le discrédit par la diffamation, le harcèlement, les menaces ou encore l’exclusion. Or de telles méthodes sont les stigmates d’une stratégie visant à réduire l’opposition au silence pour imposer autoritairement une doctrine servant les intérêts financiers de l’élite.


Une pensée dominante est-elle nécessairement pertinente ?

Le nombre ne détermine pas la valeur d’une pensée ni la cohérence ni la véracité tout comme le nombre d’abonnés, et le nombre de vues sur internet n’est pas le reflet de la qualité du contenu. L’univers d’internet en est la parfaite démonstration puisque des vidéos de bébés qui rient ou de chats qui miaulent génèrent 15 à 60 fois plus de trafic qu’un court documentaire sur le réchauffement climatique. Doit-on conclure que les vidéos de chat sont plus pertinentes que le sujet du réchauffement climatique ?


126 millions de vues, vidéo d’un bébé qui rit en entendant le son produit par un papier dechiré, durée 1m44, auteur inconnu = anonyme.


31 millions de vues, une vidéo montrant des chats qui miaulent, durée 8 minutes. Auteur = anonyme.


1,9 millions de vues, une vidéo estampillée Le Monde, vulgarisation sur le thème du réchauffement climatique, durée 4 minutes.


Pouvons-nous critiquer une pensée dominante ?

Pourquoi stigmatiser ou ostraciser une opininon dissidente au lieu d’en débattre ? Toute sorte de sujets nécessitent une critique argumentée afin de les faire évoluer. Ceux qui la refusent pronent le statu quo, la régression ou dissimulent leur inconséquence. La climatologie et la covid19 sont deux exemples de "consensus fabriqué" ne tolérant pas la critique. Un tel contexte ne peut que jeter la suspicion envers ceux qui incarnent ce consensus.

La science n’est pas immunisée contre les influences externes (lobbying) voire la corruption. Or si la science devient l’otage de ses financeurs et/ou d’une idéologie quelconque, la rigueur et l’objectivité deviennent des notions superfétatoires. Le pire des scénarios est celui d’une science sous influence de la finance comme ce fut le cas avec la covid19. Que faire face au mastodonte de l’industrie pharmaceutique ? Dire amen ou se retrouver marginalisé, il faut choisir. A ce sujet, le secteur pharmaceutique est un bon exemple pour étayer mon point de vue puisqu’il cumule les scandales, Mediator, Levothyrox, Vioxx etc Pourtant il s’agit d’un domaine dont la production est basée sur des travaux scientifiques faisant consensus. Enfin, la science est aussi victime de l’erreur humaine, c’est pourquoi la critique est vitale car elle permet de se réinterroger et parfois d’éliminer certaines sources d’erreurs.


Postulat du GIEC

Selon la théorie du GIEC, l’activité humaine est responsable du réchauffement climatique. Comble de leur raisonnement, la science condamne la science pour réchauffement climatique. En effet, ce n’est pas l’activité humaine proprement dite mais les moyens modernes employés pour ces activités humaines qui génèreraient le réchauffement climatique. Ainsi les travaux du GIEC sont une critique du modèle de production instrumentalisant le climat. Cette nuance est centrale car si les moyens de production employés sont coupables, il faut donc les substituer par d’autres moyens moins polluants. Grâce à ce consensus scientifique, l’élite peut justifier et imposer un nouveau mode de production et de consommation énergétique à toute la population. Grâce au GIEC, l’élite peut fêter l’ouverture de nouveaux marchés autour de l’électrique puis entrer dans une nouvelle ère de conflits axés sur la conquête du lithium. 

En effet, les prévisions de la pénurie d’or noir sont étudiés depuis fort longtemps, bien avant la création du GIEC. Autre paradoxe, la voiture électrique n’est pas née après les conclusions du GIEC mais bien avant, vers la fin du 19ème siècle ! Pourtant, ce concept de voiture ne réapparait qu’un siècle après mais il ne faut pas se demander pourquoi ? La réalité est que pour produire il faut des matières premières, et pour régner sur le monde il faut posséder ces matières premières. N’est-ce pas l’historique du 20ème siècle ? Les États-Unis ont imposé l’énergie fossile comme principale ressource de production énergétique tout au long du siècle dernier. Ils détenaient les principales réserves énergétiques liées au pétrole. C’est pourquoi toutes leurs interventions militaires et leurs opérations clandestines n’avaient et n’ont qu’un seul objectif, s’approprier un maximum de ressources pour contrôler le marché financier. A ce jour l’électrique est toujours programmé pour remplacer les énergies fossiles, ce sont maintenant les métaux comme le cuivre, le colbalt ou le lithium qui sont source de conflits.

Le réchauffement climatique quoiqu’en dise les spécialistes du GIEC est un phénomène cyclique naturel de la planète Terre depuis plusieurs milliards d’années. La Terre n’a pas attendu ces blouses blanches, pionières d’une discipline ayant seulement 40 ans d’ancienneté, pour alterner entre cycle de glaciation et cycle de réchauffement.


La vie humaine à l’échelle de la Terre.

L’âge de la Terre est de 4,543 milliards d’années. La Terre était âgée de 4,540 milliards d’années lorsque la vie humaine est apparue 3 millions d'années auparavant. Trois millions d’années représentent 0,066% de l'âge de la Terre. En comparaison, 0,066% représente 57 secondes dans une journée de 24 heures. Autant dire que pour la Terre, l’existence de la vie humaine relève de l’anecdote.

Pourquoi s’arrêter sur l’âge de la Terre ? Tout d’abord pour souligner que la science n’est pas toujours exacte. Certaines hypothèses prennent plusieurs siècles avant d’être considérées comme une vérité scientifique. La simple datation de la Terre par les scientiques a nécessité plusieurs tentatives réparties sur plusieurs siècles pour arriver à l’estimation de 4,543 milliards d’annés. Plusieurs tentatives qui impliquent de nombreuses corrections. Et enfin pour rappeler que l’apparition soudaine de la vie et la lente évolution de l’espèce de humaine restent inexpliquées.

Entre le premier hominidé identifié par les scientifiques et l’émergence de la mécanisation introduisant l’ère moderne au 20ème siècle, il s’est écoulé 2.999.900 années. Il a suffit d’un siècle pour que l’Homme fasse évoluer son environnement. Pourquoi si tardivement et si rapidement ? Les hypothèses sont l’esclavagisme et la religion méprisant toute forme de manifestation scientifique. Est-ce suffisant ou crédible comme explications ? Ce ne sont que des suppositions mais cela reste encore un mystère.


Le capitalisme mortifère

Pour vivre, l’être humain a besoin de la Terre dans un environnement spécifique, lui offrant de l’eau, de l’oxygène et de la nourritute. Cependant, l’espèce humaine a fait évoluer ses besoins en créant la société de consommation et des artifices. Une réalité qui implique de nombreuses ressources pour satisfaire la demande mondiale. En générant des besoins nécessitant des ressources, je créé un marché et à terme l’épuisement de ces ressources. Cette pénurie voire cette rupture est anticipée par la création de nouveaux besoins. C’est l’histoire du capitalisme énergivore vampirisant toutes les ressources naturelles pour faire du profit. Ce n’est pas la planète qui est en danger, c’est la cupidité de l’Humanité qui vide tous les stocks nous menant vers le chaos.

Si les puissantes énergies naturelles de la Terre venaient à se conjuguer, les éléments eau, terre, feu, vent, nous subirions probablement une extinction partielle de l’humanité sans aucun impact sur la biodiversité de notre planète. Toute forme de vie s’adapte à un environnement donné. Aux disparitions peuvent succéder des apparitions de nouvelle forme de vie ou des réapparitions d’ancienne forme de vie qui n’avaient pas totalement disparues comme l’échidné à long bec ou le faisan-pigeon. Telle est l’Histoire de la planète Terre avec ou sans l’activité humaine. Quelques degrés de plus ou de moins ne changeront pas le cours de son Histoire mais seulement le cours de l’économie.


Des mystères non résolus par les sciences

De nombreux mystères restent inexpliqués alors qu’ils sont étudiés depuis bien plus longtemps que les 40 années en climatologie. En voici quelques échantillons :

Les dinosaures sont apparus environ 230 millions d'années auparavant. L'extinction des dinosaures terrestres et marins est survenue il y a 65 millions d'années. Les dinosaures ont vécu durant 165 millions d'années soit 3,6% de l'âge de la Terre. En proportion, la vie humaine représente 1,81% de l'existence des dinosaures sur Terre. L’une des hypothèses de l’extinction des dinosaures est la grande oxydation. Or ce phénomène aurait tout simplement éradiqué 99% des organismes vivants sur Terre. Que s’est-il passé ensuite ? La planète a continué de prospérer et la vie a continué de se développer. Est-ce que le réchauffement climatique du GIEC est aussi dangereux que la grande oxydation ?

La naissance de la Terre voire de ce que nous appelons l’univers et la galaxie est un autre mystère non résolu. L’apparition de l’espèce humain et son évolution restent hypothétiques comme le concept de chaînon manquant. Ce dernier a d’ailleurs été remplacé par d’autres concepts, d’autres hypothèses.

Les multiples disparitions des grandes civilisations de l’Humanité restent inexpliquées :
  • Iles de Pâques 1600
  • les Olmèques -200
  • les Mayas 900
  • Teotihuacán 900
  • les Khmers 1400
  • les Assyriens -700
Toutes ces civilisations ont eu le droit à l’hypothèse d’un désastre climatique pour expliquer leur disparition. Aucune de ces civilisations n’avaient atteint, par choix ou par ignorance, le niveau technologique du 20ème siècle pour générer un quelconque dérèglement climatique et incidemment des catastrophes climatiques. Ces phénomènes naturels ont toujours existé car la nature vit sans se soucier des activités humaines depuis la nuit des temps, ce que l’homme ou les animaux font n’a guère d’incidences. L’être humain est un simple mortel face à une Planète sans âge quasi immortelle et inébranlable même face aux collisions d’éléments provenant de l’espace. Je cherche simplement à souligner que l’être humain est quantité négligeable. Il s’agit de ne pas se méprendre, la planète Terre n’a pas besoin des arbres, de l’eau, de l’oxygène, contrairement à l’être humain. Si la Terre a une dépendance, elle est sans doute vis-à-vis du système solaire identifié par le savoir humain.


Les conséquences visibles des travaux du GIEC 

Ainsi le GIEC serait un miracle du 20ème siècle. Les chercheurs du GIEC affirme que l’activité humaine est responsable d’un dérèglement climatique allant jusqu’à mettre en péril la biodiversité terrestre. En bout de course c’est l’apocalypse si nous ne modifions pas l’énergie employée pour faire fonctionner notre appareil de production. La création du GIEC remonte aux années 80, il aura donc fallu seulement 40 ans de recherche et d’analyses de données relatives à la climatologie pour dégager cette conclusion. La discipline étant pionnière dans le domaine, il serait plus sage de considérer cela comme une hypothèse portée par une seule génération d’individus.

La réalité est pourtant simple, nous sommes des petits rien, la Terre vit ses cycles naturellement. Quand le froid glacial débarquera sur la planète, la génération qui subira ce phénomène décrètera t-elle que c’est à cause de l’activité humaine ? Ou attendra t-elle que la Planète entre dans un nouveau cycle de réchauffement pour rejouer le même scénario ? Alors que ces phénomènes climatiques ont toujours eu lieu avec ou sans vie humaine sur Terre. 

La Terre aurait déjà connu au moins 4 périodes glaciaires et interglaciaires selon les scientifiques. Le climat est cyclique mais pas à sens unique, alternant entre glaciation et réchauffement avec ou sans l'espèce humaine. La température moyenne de la Terre diminue d’environ 10 degrés durant une période glaciaire. Ce truisme scientifique relatif au changement climatique est instrumentalisé pour produire les travaux du GIEC.

La liberté d’exprimer une opinion dissente sur le réchauffement climatique n’existe pas. Au point de voir le prix Nobel de Physique 2022 interdit de conférence par le FMI. Il s’agit du physicien américain John Clauser qui dénonce la "corruption" de la climatologie. En apprenant cela, le FMI a annulé la conférence de John Clauser. L’élite préfère les Greta Thunberg plutôt que les savants comme John Clauser.

Le GIEC est une très mauvaise publicité pour les pays producteurs d’énergies fossiles, majoritairement des pays à moindre influence géopolitque comme ceux de l’OPEP. En revanche, pour certaines grandes nations, le GIEC est l’opportunité idéale d’imposer à l’échelle mondiale la transition énergétique. A savoir le remplacement des ressources actuelles destinées à produire de l’énergie par de nouvelles ressources. Dernièrement, l’Arabie Saoudite n’a pas renouvelé un accord arrivé à échéance avec les États-Unis, une déclinaison du pacte de Quincy qui a permis aux américains d’exploiter les sols saoudiens, de partager les bénéfices et d’indexé le prix du baril de pétrole sur le dollar jusqu’à aujourd’hui. Mais la durée de l’accord n’était pas dû au hasard, elle était calculée en fonction des réserves et d’une production prévisionnelle. Les réserves de l’Arabie Saoudite sont prochainement à sec faute de nouvelles explorations ! Tout était prévu par l’élite américaine tout comme l’alternative électrique. La Chine va vraisemblablement prendre le relais et finir les dernières gouttes du pétrole saoudien à moins de découvrir de nouveaux puits à exploiter. Les conclusions du GIEC sont perçues par la Chine comme un outil géopolitique visant à limiter la croissance des pays en voie de développement. Mais pourquoi écouterions-nous la voix des ces chinois fascistes, climato-sceptiques, complotistes, qui fabriquent des épidémies ? 

Le contrôle de ces nouvelles ressources nécessaires à la transition énergétique prennent un temps relatif et causent une instabilité politique mondiale dans les pays possédant ces ressources. Ce sont les conflits du 21ème siècle pour la course à l’électrique. Les ressources en question sont majoritairement des minéraux ou des métaux utilisés pour la fabrication des batteries comme le cuivre, l’or, le diamant, le lithium, le gallium, le manganèse ou le graphite. La plus importante de ces ressources est le lithium, son extraction est lente et énergivore donc polluante mais le GIEC ne semble pas intéressé par cette réalité.

Voici une liste de pays possédant une importante réserve des ressources naturelles citées précédemment. Il existe une nette corrélation entre l’existence de réserves importantes en ressources naturelles et l’instabilité politique d’un pays.

Cibles actuelles 

  1. Érythrée, cuivre, or, fer, nickel (Sous influence américaine...Isaias Afwerki CIA).
  2. Congo, cobalt, cuivre, lithium (Conflit avec le Rwanda).
  3. Rwanda, or, lithium, cobalt.
  4. Niger, or, lithium (Coup d’État 26 Juillet 2023).
  5. Mali, or, lithium, cuivre, manganèse. (Tension permanente avec les Touaregs pratiquant le  djihad islamique au Sahel et de multiples coups d’État).
  6. Ukraine, graphite, gallium, manganèse Soudan, or (Guerre contre la Russie).
  7. Sénégal, or, cuivre, lithium, manganèse, graphite, diamant (Crise démocratique 2024, basculement).
  8. Éthiopie, or, lithium, graphite, (Guerre du Tigré estimée comme le conflit le plus meurtrier du 21ème siècle devant le Yemen et l’Ukraine. L’Érythrée joue un rôle majeur dans la guerre en Éthiopie). 
Cibles potentielles 

Les trois plus grosses réserves de lithium risquent de subir des pressions externes relevant au moins de la corruption afin de rafler le marché du lithium.

  • Bolivie, l’ancien président Morales a démissioné en 2019 sous pression du pouvoir militaire.
  • Argentine, l’élection d’un président ultralibéral en 2023 devrait pour le moment convenir au voisin américain si celui-ci arrive à juguler la crise alimentaire actuelle.
  • Chili, ce pays a récemment traversé une crise démocratique avec des manifestations durement réprimées en 2019, ayant entraînées une trentaine de morts et des milliers de blessés.

Conclusion

Le GIEC est un facilitateur encourageant la transition économique. Le GIEC justifie le passage du fossile à l’électrique, c’est la seule chose visible et réelle produite par ces experts en climatologie. Les incidences de leurs conclusions se répercutent dans le domaine juridique et finalement dans notre vie quotidienne. Au niveau international, la politique visant à réduire les émissions de dioxyde de carbone sont un ensemble de mesures et de contraintes que certaines nations ne pourront jamais remplir, ouvrant la voie à des sanctions par les plus puissants. Le GIEC est donc un nouvel outil politique et économique permettant de déstabiliser des nations et de promouvoir le marché de l’électrique.


A titre informatif, voici le site internet d'un groupe de scientifiques "climatosceptiques" CO2 Coalition, affichant plus de 200 membres dont un grand nombre de scientifiques notamment le prix Nobel John Clauser. Nous pouvons consulter 32 points en contradiction avec le consensus autour des conclusions du GIEC. Voir la rubrique "CO2 Facts".



Frank D.

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