Rima Hassan Mobarak, dernière égérie de LFI

Le casting LFI n’en finit plus de recruter des profils présentant des troubles cognitifs majeurs pour percevoir et accepter la réalité. Le premier parti wokiste français rassemble et exploite tous ceux qui s’estiment exclus par la société française comme les partisans LGBT, les néo féministes, les écologistes, les vegans, les fanatiques islamistes, des personnes "racialisées", des anarchistes anti-police ou encore des délinquants. Ces individus prétendent incarner le progressisme en nous replongeant dans les années 60 au milieu du 20ème siècle. Quel progrès !

Rappelons que les principaux exclus en France ne sont pas les catégories de personnes énoncées ci-contre. Les vrais exclus de la société sont les personnes vulnérables financièrement, physiquement ou mentalement. Ainsi le destin de nos sans abris, de nos enfants, de nos personnes âgées, de nos personnes handicapées n’intéressent pas le parti LFI. Pourtant ces personnes représentent plusieurs millions de français. Au lieu de cela, LFI est préoccupé par le devenir des palestiniens, éloignés de la France par une distance supérieure à 3.000 kilomètres. A titre de comparaison, ils ne dépensent pas la même énergie pour dénoncer les autres conflits dans le monde. Quand Sébastien Delogu a acheté son drapeau palestinien affiché à l’Assemblée Nationale, a t-il oublié d’aller au rayon Yemen, Congo, Ukraine, Nouvelle-Calédonie, Sahara occidental, Nicaragua (répression envers les membres de l’Église catholique), Salavador, Éthiopie, Libye devenue une plaque tournante pour le trafic d’armes et d’êtres humains ?

Voici quelques noms représentant le fond de commerce du parti des victimes imaginaires : Danièle Obono, Assa Traoré, Taha Bouhafs, Kamil Abderrahman, Sihame Assbague, Rokhaya Diallo, Rachel Keke, Carlos Bilongo, Feïza Ben Mohamed, Anasse Kazib, Idriss Sihamedi ou encore l’un de leurs avocats Yassine Bouzrou. Nombre d’entre eux sont des héritiers de l’idéologie frériste du déséquilibré Tariq Ramadan. Ce dernier est reconnu comme étant un menteur invétéré or le mensonge est un poison lent, insidieux voire létale.

Sur ce blog, j’ai déjà évoqué les plus médiatisés d’entre eux dont Traoré, Bouhafs, Assbague, Diallo, Bilongo, Sihamedi et Bouzrou. Ce sont tous des pratiquants de la victimisation sur fond d’idéologie racialiste. Les victimes imaginaires qu’ils défendent ne savent ni reconnaître ni accepter leurs échecs ou leurs dérives. Pourtant celui qui sait ne craint pas d’exprimer son savoir contrairement à celui qui sait qu’il ne sait pas. Encore que pour certains d’entre eux comme Sandrine Rousseau, Louis Boyard et autres ersatz de la pensée "démagogo", il est légitime de penser qu’ils ignorent ne pas savoir. Or le premier savoir humain est le savoir de son ignorance.

Selon leurs multiples déclarations fulminant la France, l’échec de ces minorités est la conséquence d’un système constitutionnel inéquitable basé sur la discrimination. Traduction : la discrimination est dans l’ADN de la France et des français. Affirmation purement gratuite puisque la constitution française n’exclut personne de la société française. Affirmation doublement gratuite au regard du rôle joué par la France dans la promotion des droits de l’homme d’un point de vue historique. Quant aux français, ils ont le droit de choisir avec qui ils souhaitent travailler, vendre ou louer un bien, c’est la liberté.

Mais qu’importe leur échec reste intolérable car ils estiment que leurs compétences et leurs actions sont indiscutables. Nous ne pouvons leur refuser aucun emploi ou aucun logement. Et puis ils sont toujours innocents même pris en flagrant délit de violation de la loi. En résumé, ils sont intouchables. Nous devons tous accepter cette réalité alternative ou nous serons coupable de discrimination.

Les prétendues victimes de notre société française raciste, homophobe, sexiste et réactionnaire ont tous un point commun. Leur stratégie d’attaque et de défense se concentre autour d’un mot magique. Un simple mot, c’est cela le progressisme, la panne intellectuelle. Un seul mot est employé pour diffamer systématiquement leur interlocuteur et ainsi éviter un échange d’idées qui aboutirait à leur extinction de voix.

Ce mot magique varie selon les communautés autrement dit selon la secte à laquelle les victimes adhèrent. Pour la secte racialiste, nous avons l’incontournable "raciste", le basique "facho", l’historique "nazi", le culotté "arabe de service", le succulant "bounty" ou le plus récent "islamophobe". Pour la secte LGBT, leur imagination débordante ne me permet pas de tous les lister mais leur mot magique contient toujours le même suffixe "phobe". Pour LFI, ces minorités sont toutes des victimes de discrimination au sein de la société française. Les autres citoyens français n’existent pas, ils n’ont aucune problème même si on leur refuse un emploi ou un logement, pour eux c’est totalement justifié.


Rima Hassan Mobarak

Depuis quelques mois, un nouveau personnage a intégré la cour des miracles de Mélenchon. Il s’agit de Rima Hassan Mobarak, âgée de 32 ans. Son obsession à elle, c’est la Palestine. Il s’agit de faire de la démagogie et de la victimisation par procuration. Une prouesse. Mais au-delà de tout ce charivari, Rima Hassan est-elle sincère ou fabriquée ?

Qui est elle ? Nous l’ignorons mais elle est apparue fin 2023 à la faveur de la resurgence médiatique du conflit israélo-palestinien qui dure depuis quasiment 80 ans. Elle a été propulsé par le parti LFI sur le devant de la scène médiatique au point d’être inscrite sur la liste LFI à l’occasion des élections européennes du mois de Juin 2024. Dernièrement, cette "effigie palestienne" a éclipsé médiatiquement Manon Aubry, la tête de liste aux élections européennes. Quoiqu’il en soit Jean-Luc Mélenchon réussit constamment à faire couler de l’encre à propos de son parti. Il cherche à exister politiquement jusqu’aux élections présidentielles 2027 qui sera la célébration de son dernier baroud d’honneur en politique.


Sa famille, son enfance

Les groupies de Rima Hassan la présentent comme une refugiée palestinienne d’un camp palestinien en Palestine. Or elle est d’origine palestinienne mais née en Syrie. La nuance est notable. Comble de l’ironie, il n’y a pas de trace d’un voyage quelconque de Rima Hassan en Palestine. Jamais. Partant de ce constat, pourquoi continuer à lui accorder du crédit ? 

Sa mère a émigré en France pour fuir une relation conflictuelle avec son mari, en aucun cas pour fuir la Palestine. De plus, ses parents vivaient en Syrie alors comment sa mère aurait-elle pu fuir la Palestine ? Là encore, une belle déformation puisque fuir un pays en guerre n’est pas la même chose que fuir son mari. Sans parler de la confusion géographique puisque Rima Hassan amalgame plusieurs fois la Palestine et la Syrie. 

La mère de Rima Hassan a fui vers la France peu après la naissance de sa fille en 1992. Elle y a rejoint une soeur. Notons que dans les années 1990, la situation syrienne est calme. Cela confirme mon constat précédent, sa mère ne fuyait pas la guerre. Dans les années 1990, les relations de la Syrie avec l’occident sont bonnes puisqu’ils étaient alliés durant la guerre du Golfe. La situation intérieure de la Syrie était aussi satisfaisante. Dix ans auparavant, c’eût été différent, la traque des frères musulmans plongeait le pays dans un climat délétère sans oublier le conflit régional opposant l’Iran à l’Irak tout au long des années 1980. 

Rima Hassan est fâchée avec la géographie mais aussi avec l’Histoire et la chronologie. En effet, il n’y avait aucune raison notoire de fuir la Syrie dans les années 1990. Le récit de Rima Hassan nous la présentant comme une "héroïne" est faux. Elle n’a jamais été une résistante palestinienne d’un camp de réfugiés en Palestine fuyant l’oppression israélienne. Elle vivait en Syrie dans un pays calme puis sa mère la rappatria en France en 2001.

Notons que 2001 est la date pivot de notre histoire contemporraine. Après les attentats du 11 Septembre 2001, la région du Moyen-Orient replonge dans l’horreur avec la guerre en Irak. Dans ce contexte, de nombreux pays du Moyen-Orient sont accusés par les Etats-Unis de collaborer avec le terrorisme sous la banière d’Al Qaeda. La Syrie n’y échappe pas. A ce moment, nous pouvons penser que Rima Hassan a fui ces tensions pour rejoindre sa mère en France. Elle fuyait donc le terrorisme d’état américain puisqu’il est de notoriété publique que l’intervention militaire américaine en Irak était illégale. Étrangement Rima Hassan préfère se déchainer contre les juifs plutôt que contre les américains. Faut-il souligner que l’état d’Israël est le premier "satellite" au monde des États-Unis. En ce sens, critiquer Israël c’est surtout critiquer les États-Unis mais le courage semble cruellement faire défaut à la voix de la palestinienne, Rima Hassan, l’héroïne fabriquée par LFI.

Les grands-parents paternels de Rima Hassan sont palestiniens, ils s’exilent vers la Syrie en 1948.

La grand-mère maternelle est syrienne et le grand-père maternel est un refugié palestinien vivant dans un camp en Syrie.

Ces informations démontrent logiquement que tous les grands-parents de Rima Hassan vivaient en Syrie donc leurs enfants ainsi que leurs petits enfants ont tous grandi syriens. La naturalisation syrienne est une éventualité à l’instar de la naturalisation française. Cependant, nous n’avons aucun document d’état civil pour infirmer ou confirmer cette information. Mais les groupies de Rima Hassan persistent sans l’ombre d’un élément factuel. Elles dégainent l’article 5 de la charte de l’OLP qui définit l’identité palestinienne comme étant l’héritage du père, peu importe le lieu de naissance. Que vaut cet article mysogine au regard du droit international précisément le droit du sol ou le droit du sang ? Et puis que vaut un torchon qui, avant certaines modifications, stipulait ni plus ni moins vouloir l’anéantissement d’Israël. Sous pression de l’occident, l’article en question fut supprimée de la charte de l’OLP.

Après avoir fui son mari, sans ses enfants, la mère de Rima Hassan retrouve sa fille puis elle s’occupe de son transfert vers la France en 2001. Rima Hassan est âgée de 9 ans. En 2010, âgée de 18 ans, elle est naturalisée par le pays des racistes qu’est la France.

Rima Hassan a une formation de juriste. A t-elle déjà travaillé dans sa jeune vie ? Alors que l’argent ne semble pas être un problème, c’est pour le moins questionnant car on ne gagne pas sa vie à faire du militantisme sur le dos des réfugiés.


Rima Hassan sur internet

Les informations de cet article proviennent du contenu internet : médias et Wikipedia. La page Wikipédia de Rima Hassan est d’ailleurs protégée pour empêcher le "vandalisme". Sa page Wikipédia a été créé le 29 Octobre 2023, avant cette date il n’existait aucune Rima Hassan. 

Sur internet, elle possède un compte Twitter avec 190K d’abonnés et un compte Instagram avec 300k d’abonnés. Son compte Twitter a été crée en 2022, le flux des visiteurs a explosé à partir du 7 Octobre 2023. Sans le conflit israélo-palestinien, elle serait restée isolée avec ses propres divagations. Tout le contenu diffusé avant le 7 Octobre 2023 n’intéressait qu’une poignée d’individus. Après le 7 Octobre 2023, le nombre de visiteurs/vues a explosé de manière exponentielle, multiplié par 500 (100 vues > 500.000 vues).

Sur Twitter elle fait aussi sa révolution de salon en menaçant de recourir à la justice pour faire taire certains de ses opposants. Elle est la cible de nombreuses critiques justifiées émanant de simples citoyens ou de personnes publiques comme Rachel Khan, Jean Messiha, Yoann Usaï ou Pierre Perret. Ce dernier a récemment diffusé un poème pour exprimer son opinion concernant Rima Hassan. Elle est décrite comme une personne vide qui vient empoisonner nos existences sous prétexte de faire une révolution dans un pays qui n’est même pas le notre. Des groupies de Rima Hassan ont ensuite répondu à Pierre Perret, le qualifiant avec leur mot magique : "raciste". Il serait temps de comprendre qui est Rima Hassan, ce n’est pas mère Thérèsa !



Épilogue au sujet des élections européennes 2024

Le résultat est tombé, la défaite cuisante de LFI et la victoire annoncée du RN ont eu lieues. En réaction, le président Macron a dissolu l’Assemblée Nationale, ouvrant la porte à une possible cohabition.

  • RN 31,5%
  • Renaissance 14,5%
  • PS 14%
  • LFI 10%

Ce modeste résultat de LFI leur permet de rafler 9 à 10 sièges. Rima Hassan était septième de la liste électorale. Elle siègera donc au Parlement européen grâce à notre pays raciste. Elle s’assure ainsi un salaire confortable de 8.000 euros net par mois et une place de choix pour la diffusion de la propagande pro-Hamas. Après Assa Traoré à l’ONU humiliant le peuple français, voici Rima Hassan au Parlement européen. Merci au parti LFI contribuant à dégrader notre image. 

France Info


Frank D.


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