Spartacus network: exposition du réseau pédophile 1970-1995... to be continued...
Les
sources de cet article proviennent d'un rapport intitulé
« L'exploitation sexuelle des enfants » concocté
par un comité de la Chambre des représentants des États-Unis et dont
les auditions se sont déroulées en 1977. L'autre source provient
des nombreuses et diverses publications diffusées par le biais du
réseau pédophile et de la communauté gay. Aborder la
pédophilie sous la forme d'un réseau c'est s'attaquer au pouvoir, les hautes sphères du
pouvoir, car c'est une arme utilisée pour faire chanter et piéger
n'importe quel opposant. Enfin nous allons démontrer sans équivoque
l'existence de réseaux pédophiles malgré les dénégations de nos
médias dominants inféodés au pouvoir. Ces fameux médias se sont
toujours montrés discrets quand il s'agissait d'écrire sur
Spartacus, preuve s'il en fallait de leur soumission.
Définitions
et postulats
Un
réseau est caractérisé par un ensemble de points interconnectés
permettant la circulation d'un flux tel qu'une donnée, une
information ou un produit. Nous pouvons
citer en exemple le réseau routier, le réseau des canalisations, le
réseau informatique ou bien les réseaux criminels comme ceux du
trafic de drogue, du trafic d'armes ou encore du trafic d'organes.
Cependant nos médias ont toujours affirmé qu'il n'existait pas de
réseau pédophile, l'un des rares domaines où le concept de réseau n'existerait pas. Intellectuellement, c'est un comble. Des photos et des films à caractère pédophile circulent d'un pays à un autre, des gens se contactent à travers le
monde pour parler de pédophilie car ce réseau existe. Comment feraient ces pédophiles pour se trouver si aucun réseau pédophile n'existait ? Cette
posture professionnelle est tout à fait symptomatique de
l'incapacité de nos « journalistes » à traiter
le sujet de la pédophilie. Les réseaux pédophiles existent, ils
sont l'héritage de l'ère kinseyiste. Rappelons qu'Alfred Kinsey
avait lui-même constitué un réseau pédophile sur lequel il s'est
appuyé pour produire son analyse de la sexualité infantile.1
Réseau
pédophile :
>
groupe de pédophiles
>
boite postale/boite vocale/magazine
>
prise de contact
>
activation du réseau
La
pédophilie se définit par l'attirance sexuelle d'un adulte à
l'égard d'un enfant âgé de 15 ans voire 16 ans. Il ne s'agit pas
d'amour. La pédophilie est une orientation sexuelle à l'instar de
l'hétérosexualité, de l'homosexualité et de la bisexualité.
L'être humain est capable d'aimer sans être sexué mais à notre
époque l'amour est devenu un sentiment totalement suranné. Les gens
sont devenus de vulgaires produits jetables rapidement
remplacés. Ceci n'est pas de l'amour mais de la consommation.
D'ailleurs que se passe t-il lorsque la proie du pédophile dépasse
la date de péremption ? Il doit alors se mettre à la recherche
d'une nouvelle victime pour assouvir son besoin de contrôle et ses
pulsions sexuelles.2
La pédophilie tout comme l'homosexualité existe depuis toujours et
c'est pourquoi le courant hellénistique est une référence pour les
« intellectuels » gays et pédophiles. Sauf que la
première catégorie élude volontairement deux choses, la première
est qu'il ne s'agissait pas d'homosexualité mais en majorité de
relations bisexuelles. Enfin la pédophilie était aussi pratiquée
par les grecques durant l'antiquité alors pourquoi se focaliser
uniquement sur l'homosexualité ? N'est-ce pas faire preuve de
négationnisme, de biphobie ou encore de pédophobie ? Nous
allons évoquer à travers cet article ici le phénomène boy-love
qui est purement homosexuel, misogyne, patriarcal et transpirant
l'agéisme.
Historique
du mouvement Gay & Co.
1897,
Berlin, Scientific-Humanitarian
Committee
(WhK) est le premier lobby gay fondé par Magnus Hirschfeld, l'un des
pères fondateurs de la sexologie avec le britannique Havelock Ellis
qui inaugura la notion d'onanisme et enfin l'austro-hongrois Richard
Freiherr von Krafft-Ebing qui introduisit les concepts de
sado-masochisme et le terme « paedophilia ».3
1948,
Amsterdam, Cultuur
en Ontspanningscentrum
(COC) est le plus vieux lobby gay encore en activité fondé par Nico
Engelschman (alias Bob Angelo) et le pédophile Jaap van Leeuwen
(alias Arent van Santhorst).4
Deux membres notables du COC
furent le docteur Frits Bernard, pro-pédophile et à l'origine de la
création du premier lobby 100% pédophile de l'histoire, et le
sénateur pédophile Edward Brongersma condamné en 1950, à l'âge
de 39 ans, pour avoir eu des relations sexuelles avec un adolescent
de 16 ans.5
Tous deux sont des kinseyistes. Cependant le COC n'a jamais accepté la
création d'un groupe de travail sur la pédophilie, ce qui a poussé
Frits Bernard a créé son association.
1950,
Los-Angeles, The Mattachine Society,
le premier lobby gay américain fondé par Harry Hay, influencé par
les travaux de Hirschfeld et Kinsey. Harry Hay a exprimé à
plusieurs reprises sa sympathie à l'égard du mouvement pédophile
en soutenant la NAMBLA.
1958,
Rotterdam, Enclave
Kring,
création du premier lobby pédophile en Hollande par le docteur
Frits Bernard, cette association faisait également office de maison
d'édition.
1964,
Londres, Campaign for Homosexuality Equality (CHE), le premier
lobby gay en Grande-Bretagne, fondé par Allan Horsfall et Colin
Harvey.
1969,
Glasgow, Scottish Minorities Group (SMG), créé par Ian
Campbell Dunn.6
1970,
de Londres à Geel, Spartacus, inclassable mais à considérer
comme une organisation homosexuelle et pédophile, créée par John
Stamford.
1974,
Londres, Paedophile Information
Exchange (PIE), avec pour
premier président Keith Hose suivi par l'emblématique Tom O' Caroll
puis par Peter Bremner ou encore Steven Smith. Tous ont connu des
ennuis judiciaires avec des issues différentes, prison,
condamnation, acquittement voire la fuite vers la Hollande pour
Steven Smith.7
1976,
Paris, Centre du Christ
Libérateur (CCL), un lobby
gay et pédophile créé par le pasteur Joseph Doucé, sous
couverture d'être un refuge pour les personnes dont les orientations
ou les pratiques sexuelles les isolent du reste du monde. Une histoire
bien rodée, à faire pleurer les chaumières, toujours est-il que le
pasteur Doucé était cerné par les pédophiles qu'il recevait au
CCL, le dimanche, une fois par mois. Sa maison d'éditions publiait
des ouvrages pédophiles, il a eu pour amant Philippe Carpentier et
comme collaborateur Maurice Balland, tous deux condamnés pour
pédophilie.8
Le pasteur Doucé est devenu un martyr de la cause LGBT, lui qui
avait sûrement une obsession sexuelle pour expliquer cette tendance à
s’appesantir sur les minorités et leur sexualité plutôt que sur
leur spiritualité. Un pasteur très préoccupé par le corps de ses
fidèles moins par leur esprit, cela est d'une incongruité rare. Le
pasteur Doucé avait bien mérité son surnom de pasteur porno. Pour
les curieux, il est l'auteur d'un ouvrage sur l'un de ses
sujets de prédilection : « La
pédophilie en question ».
1978,
Coventry, International Gay Association (IGA), créée suite à
une conférence organisée par le CHE en Grande-Bretagne, il n'y
avait aucune femme.9
Plus tard l'IGA sera rebaptisée International Lesbian
and Gay Association (ILGA)
intégrant officiellement les lesbiennes au sein de l'association.
Nous constatons qu'à la création de l'IGA le mouvement gay était
sommairement misogyne.10
Ce constat était renforcé dès 1980 par des pédophiles qui
obtinrent ce qu'ils désiraient, à savoir un groupe de travail au
sein de l'IGA et leur soutien. Conclusion : le mouvement
« boy-love » est par essence purement
homosexuel.11
L'entreprise Spartacus
Icône
homosexuel, beau, intelligent, puissant et doux à la fois, Spartacus
le gladiateur est aussi devenu l'appellation du premier guide gay
international couvrant 150 pays. La première édition comptait
environ 100 pages, à titre de comparaison la 10ème
édition atteignait les 600 pages. Le guide version Stamford a été
édité à 60.000 exemplaires à partir de Londres puis Amsterdam et
enfin Geel, des délocalisations poussées par les pressions
judiciaires. A l'intérieur du guide Spartacus était répertorié
une multitude d'adresses pour chaque pays, bars, hôtels, saunas,
plages ou des groupes de soutiens, destinées au public gay et
pédophile. L'entreprise Spartacus faisait également office
de maison d'éditions pour les talents pédophiles en herbe, elle
publiait notamment le magazine Paedo Alert News (PAN) à
partir de 1979, en 1982 Spartacus rachetait la Coltsfoot
Press Inc. Spécialisée dans la littérature pédophile. Enfin,
le 1er décembre 1986, l'entreprise Spartacus était
vendue à un éditeur allemand, Bruno Gmunder. Le fondateur du guide
était John D. Stamford, un pasteur britannique originaire de
Brighton, accessoirement pédophile, rejoint par Frank Torey puis par
le curé Peter Glencross, tous deux accessoirement pédophiles. La
seule condition requise pour intégrer ce genre d'entité est
d'afficher sa pédophile sur le curriculum vitae. Ces trois individus
sont tous officiellement décédés dans les années 1990, ils ont
été à l'origine de la plus grosse industrie de propagande
pédophile de notre époque contemporaine, sans compter l'industrie
pédopornographique et le proxénétisme.
Suite
à une perquisition à son domicile de Geel, en Belgique au mois de
septembre 1993, John
Stamford a été arrêté pour possession de matériel pornographique
impliquant des enfants. Cet homme a pu exercé ses activités pendant
plus de vingt ans avant d'avoir à répondre de ses actes devant la
justice. Le 23 novembre 1994 débuta le procès de Stamford au
Tribunal correctionnel de Turnhout pour incitation à la débauche de
mineurs et diffusion d'écrits contraire aux bonnes mœurs. Un motif
d'inculpation extrêmement clément considérant les occupations du
personnage. En effet, une plainte avait déjà été déposé en 1981
par une ONG Suisse devenant au fil des ans l'ennemi numéro 1 de
Spartacus. Cette ONG fondée
en 1960 par un pharmacien suisse, Edmond Kaiser, est connue
sous le nom de la Terre des Hommes
(TDH). La TDH alerta
les autorités concernant le commerce des enfants encouragés
et pratiqués par John Stamford à travers son guide Spartacus.
Lors du procès, l'un des dirigeants de la TDH, Bernard
Boëton, a tenté d'obtenir la requalification de l'inculpation en
accusation de proxénétisme. En vain, le président du tribunal
récusait cette demande de la partie civile au titre que John
Stamford ne pouvait être poursuivi que pour des faits commis en
Belgique entre 1987 et 1993. Plus étonnant encore a été de
constater la seule présence de John Stamford au tribunal de Turnhout
alors qu'il était à la tête d'une véritable industrie axée sur
l'exploitation sexuelles des enfants.
John
Stamford comparaissait en audience publique, le 22 février 1995, de
longues heures durant lesquelles il fit la lecture d'un texte
manuscrit d'environ 60 pages qu'il avait rédigé à titre de
défense. Une sorte de plaidoyer confus, victimaire, anti-américain,
dénonçant un complot de la presse et des associations de défenses
de droits de l'homme qui cherchaient à le nuire par tous les moyens.
John Stamford utilisa une rhétorique déjà bien rôdé dans son
magazine PAN et par de nombreux pédophiles. Le fameux complot
ourdi par les trois PPP, police, presse et politique.12
Rappelons que John Stamford débuta ses activités en 1970 à Londres
puis sous la pression judiciaire britannique il est contraint de fuir
pour la Hollande dès 1972, un pays aux mœurs plus tolérantes à
l'égard du prosélytisme pédophile. John Stamford retrouva ses
fidèles comparses, militants pro-pédophiles et contributeurs du PAN
magazine, à savoir les Theo Sandfort, Frits Bernard, Edward
Brongersma et Gerard Zwerus. En Belgique, John Stamford risquait la
peine maximum d'un an de prison qu'il n'a même pas pu effectuer
puisqu'il serait décédé de mort naturelle au mois de décembre
1995 à l'hôpital de Geel.13
Une mort qui tombe à pic et qui n'aura jamais permis de creuser
véritablement le dossier Spartacus,
ni de condamner tous les protagonistes impliqués. Ainsi
l'insaisissable Frank Torey, déjà en fuite dans une affaire de
pédophilie aux Etats-Unis, avait encore pu échapper à la justice.
Tout
a commencé en 1981 lorsqu'un délégué de la TDH, Timothy
Bond, travaillant au Sri Lanka, se rendit compte que des pédophiles
allaient et venaient avec le guide Spartacus sous
le bras, leur précisant les adresses des hôtels où
l'on pouvait rencontrer de « jeunes garçons ». Le
guide Spartacus abritait également un club offrant à ses
membres privilégiés des adresses de maisons de passes dont
certaines avaient été testées par John Stamford. Il consignait
parfois ses propres appréciations sur les enfants, donnait des
conseils pour obtenir les meilleurs prix et offrait des réductions
pour certains hôtels ou bars comme le Elm Guest House à Londres.14
Les membres de ce club recevaient le « Holidays Help
Portfolios » qui expliquaient où, comment, et à quel prix
il était possible de rencontrer des enfants. En substance, à
travers le guide Spartacus, nous avions toutes les
destinations de la filière du réseau pédophile référencée et
annotée avec soin. L'association TDH entama alors une
véritable bataille médiatique et juridique contre Stamford,
l'accusant d'être le cerveau et l'animateur de ce qui a été un
véritable réseau d'incitation au proxénétisme international
spécialisé dans la pédophilie. Au-delà même de l'incitation, il
s'agissait ni plus ni moins d'un réseau de proxénète dédiée à
la pédophilie. Et Bernard Boëton d'ajouter quelques extraits
choisis de ces portfolios : « cet endroit (aux
Philippines) avait un large éventail de garçons de différents
âges, carrures et types... Entre janvier et mai 1978, j'ai (ndlr:
Stamford) personnellement testé beaucoup de ces garçons et
recommandé certains aux lecteurs du guide ''Spartacus'' ».
Le
Sri-Lanka ou le paradis tropical des pédophiles était ainsi décrit
dans le guide Spartacus : « Un endroit ou presque tous
les désirs sexuels peuvent se réaliser et sans contrôle de
séropositivité à l'entrée du pays ». Voilà des
critères de tourisme plutôt atypique, bien considéré c'était se
moquer outrageusement du monde que d'avoir permis la prolifération
de pareilles informations. Les adresses étaient connues et même
répertoriées comme dans un annuaire, exclusivement réservé à la
communauté gay mais personne n'a jugé nécessaire d'intervenir.
Plus grave encore, dans un procès-verbal rédigé par un officier de
la police judiciaire qui a instruit l'affaire Stamford, se trouve le
témoignage d'un britannique accusant John Stamford d'avoir réalisé
un film où un enfant philippin est torturé et mis à mort.15
Son cadavre aurait été enterré sous une maison en construction.
Le
créateur du guide Spartacus était un véritable psychotique,
incapable de reconnaître les faits sans les transformer, se berçant
d'illusions et persuadé d'avoir sauvé des enfants du tourisme
sexuel. De plus il avait un profil de pervers narcissique éprouvant
le besoin d'être regardé et écouté, tout en manipulant son
interlocuteur, des qualités idéales pour un pédophile qui cherche
à corrompre des mineurs.
Dans
le PAN magazine John Stamford nous offre de nombreuses
saillies à l'encontre de la TDH comme contre tout ceux qui se
sont opposés à la propagande pédophile de l'entreprise Spartacus.
Nous évoquerons plus loin le cas du sergent Lloyd Martin, champion
des arrestations, nous avons aussi Judith Reisman celle qui a dénoncé
la fraude Kinsey ou plus simplement tous les juges, les
politiques et les forces de police, tous ont été les cibles de la
vindicte du PAN magazine. Seuls les pédophiles et ceux qui
les soutiennent ont le droit à la considération et à l'empathie de
John Stamford et Frank Torey. Ceci à une exception près, les
pédophiles hétérosexuels qui sont bien souvent des meurtriers
sanguinaires alors que le boy-lover donne de l'« amour »,
comprendre du sexe, aux enfants, sans contrainte ni violence
(seulement en abusant de leur immaturité).
Entre
choisir le meurtre d'un enfant ou choisir le traumatisme de l'abus
sexuel sur un enfant qu'il peut reproduire de génération en
génération en causant des victimes indéfiniment, un parent
choisira la sécurité de son enfant, sûrement pas un pédophile. En
effet, le mouvement « boy-love » se revendique
être adorateur des enfants, selon eux il n'y aurait relation
sexuelle entre un adulte et un enfant, peu importe son âge, que s'il
y a consentement, ceci est le discours des théoriciens du phénomène
boy-love. De plus, selon John Stamford et Frank Torey, ceux qui
s'opposent à l'émancipation sexuelle des enfants sont des coincés
ou des refoulés. Ces arguments grotesques déjà éprouvés sont
fallacieux car chaque parent s'intéresse au bien-être et à la
sécurité de ses enfants, il n'est donc pas concevable que des gens
comme ces kinseyistes puissent influencer le droit de manière à
leur faciliter l'accès à nos enfants. Les tentatives ont été
nombreuses, et parfois fructueuses, grâce au mouvement LGBT mais les
« boy-lover » n'ont jamais réussi à obtenir
l'abrogation du principe de majorité sexuelle. Cependant le lobby
LGBT a exaucé la minorité pédophile en obtenant la suppression des
lois interdisant la pratique de la sodomie ou/et en fixant un âge de
la majorité sexuelle identique à celui des hétérosexuels. Faisant
cela, le mouvement LGBT a aussi permis aux pédophiles d'accéder à
des adolescents plus jeunes tout en étant moins inquiété par la
justice. Les homosexuels ont sciemment ou inconsciemment rendu
service aux pédophiles adeptes du phénomène « boy-love ». Prenons en exemple la
France, la dépénalisation de l'homosexualité a eu lien en 1982,
cela signifiait la suppression de toutes les spécificités
juridiques liés à la sexualité. Avant 1982 il existait deux
limites d'âge pour la majorité sexuelle en France, 15 ans pour les
hétérosexuels et 21 ans pour les homosexuels. Après 1982 il
n'existait plus de discrimination liée à la sexualité de
l'individu, c'est pourquoi l'âge de la majorité sexuelle est
aujourd'hui identique pour tous, c'est-à-dire 15 ans. En conclusion,
depuis 1982, le pédophile agissant sur le territoire français peut
avoir des relations sexuelles « consenties » avec
un adolescent âgé de 15 ans alors qu'auparavant il lui était
interdit jusqu'à l'âge de 21 ans, c'est pourquoi les pédophiles
peuvent remercier le mouvement LGBT.
Le
PAN magazine a été un relais de diffusion pour promouvoir la
pédophilie. Il était composé d'environ 40 pages et fut publié
cinq fois par an entre 1979 et 1985 pour un total de 21 numéros.
John Stamford était l'éditeur et Frank Torey le directeur exécutif
de la publication. Le format et le contenu du PAN sont aussi
riches que structurés comme dans n'importe quel magazine, ils se
présentent sous cette forme :
- News : nouvelles du monde, lois, répression, faits divers, activisme pédophile.
- Histoire : fiction/réalité en relation avec la pédophilie, couramment signée par un alias.
- Interview : parmi les plus notables Frits Bernard, Gerard Zwerus, Hajo Ortil ou des enfants.
- Reportage/Dossier : « Coral, PIE, Jacques Dugué... »
- Publicité/Promotion de l'entreprise Spartacus, de ses auteurs et de ses publications
- Littérature + critique + courrier des lecteurs
- The Battle Line : dénonciation de tout ce qui entre en conflit avec les intérêts de Spartacus et du phénomène « boy-love ».
Il
n'a jamais été question de pornographie infantile dans les pages du
PAN magazine mais d'un contenu faisant les éloges de la
pédophilie et des boy-lovers. Les lecteurs du PAN avaient
entre les mains tous les arguments pour se déculpabiliser voire
légitimer leurs comportements déviants et ainsi nourrir leur
perversité. Le PAN magazine offrait à ses abonnés à la
fois une conscience morale, des adresses, des conseils juridiques, et
des nouvelles fraîches concernant le monde et la répression à
l'encontre des pédophiles. Le PAN est un produit 100%
pédophile, de sa conception à son contenu, et les contributeurs
sont eux-mêmes d'authentiques boy-lover comme le plus fidèle
d'entre eux, le sénateur hollandais Edward Brongersma. Après avoir
suivi une formation de droit il s'est tourné vers la politique puis
l'écriture et le militantisme pro-pédophile, suite à sa
condamnation pour pédophilie en 1950.16
Edward Brongersma est l'auteur d'un ouvrage en deux volumes
s'intitulant « Loving Boys »17
édité par Coltsfoot Press à la fin des années 1980.
Les deux volumes ont été préfacé par le kinseyiste Vern Bullough.
Parmi les encouragements adressés à l'auteur au début de son
ouvrage, nous pouvons lire celui de Warren Middleton18
évoquant le 1er opus en ces termes : « clairement
destiné à devenir un travail de référence sur le sujet
''boy-love'' ».
En
1979, il créa une fondation dédiée à la pédophilie « Edward
Brongersma Stichting » regroupant une importante collection
de matériels, écrits, images et vidéos. Elle était basée à
Overveen, un village situé à moins de 10 kilomètres
de la station balnéaire Zandvoort.19
Un grand esprit en cachant souvent un autre, nous retrouvons Edward
Brongersma dans plusieurs livres de son ami Gabriel Matzneff,20
avec qui il fêta la fin de l'année 1976. Enfin, en 1950, Edward
Brongersma fut condamné à 10 mois de prison pour avoir eu des
relations sexuelles avec un jeune homme âgé de 16 ans alors qu'à
cette époque la majorité sexuelle était fixée à 21 ans en
Hollande.21
Quelques années plus tard, il se
délecta d'avoir pu participer au vote pour l'abrogation de la loi
qui l'avait précédemment condamnée. En 1998, à l'âge de
86 ans, il se suicida par euthanasie avec pour toile de fond les
nombreux scandales pédophiles qui ont émaillés les années 1990,
notamment l'affaire Zandvoort dans laquelle nous retrouvons Edward
Brongersma.22
Frits
Bernard était un psychologue et sexologue hollandais qui a milité
en faveur de la pédophilie. Il est à l'origine de la création du
premier lobby pro-pédophile avec Enclave Kring fin des années
1950. Lui aussi a créé une fondation pour archiver toutes ses
recherches en relation avec la pédophilie, The Frits Bernard
Stichting, à Rotterdam en 1976.23
Il a été membre du COC qui lui permettait de véhiculer ses
idées pro-pédophiles à travers leur revue, notamment un article au
titre explicite « About Paedophilia » publié en
1962. Tout comme son homologue Edward Brongersma, son nom figure dans
de nombreuses revues pro-pédophiles qu'il serait fastidieux
d'énumérer.
Le
PAN magazine à la fois « éclairant » et
« polémique », avec des rédacteurs n'hésitant
pas à « nommer les noms (ndlr : sauf ceux de
nombreux pédophiles) et à donner les dates et les lieux ».
L'équipe de PAN tenta également d'être divertissante en
offrant des fictions ou encore des conseils de voyage et de lecture à
ses fidèles abonnés. Au fil des pages et des numéros du PAN
magazine, nous trouvons des références aux travaux d'Alfred kinsey
et à son héritage. Il apparaît évident que les pédophiles sont
des kinseyistes. Quant à cette prétention à vouloir dénoncer la
kabbale dont ils seraient victimes tout en se prévalent de protéger
les pédophiles, elle est pour le moins ubuesque. D'autant plus que
l'utilisation poussive d'alias sèment parfois la confusion mais avec
un peu de patience, nous sommes en mesure de reconstituer le puzzle.
Simplifions, voici un pan du réseau pédophile pour lequel John
Stamford a été inculpé en Belgique :
Synthèse
Spartacus
> Coltsfoot Press Inc. > PAN magazine
Le guide du tourisme sexuel + la PANbible du pédophile
Le guide du tourisme sexuel + la PANbible du pédophile
Business
manager Spartacus = Peter Glencross
Editeur
PAN = John Stamford
Directeur
exécutif PAN = Frank Torey
Contributeur
récurrent à quasi tous les numéros = Edward Brongersma
Les
associés de John Stamford
Le mystérieux homonyme
Glencross est assez troublant puisque nous avons deux Glencross
portant des prénoms différents. Le premier est Peter Glencross, un
britannique né en 1933 et proche de John Stamford puisqu'il a été
le business manager de l'entreprise Spartacus. Durant les
années 1970 Peter Glencross a aussi été responsable de plusieurs
établissements londoniens réservés à la clientèle homosexuelle.
Mais il fut renvoyé car il s'en servait comme couverture pour
l'organisation Spartacus.24Le
second était le curé Nicolas Glencross né en 1913, il prêchait la
bonne parole dans une paroisse située à Saint-Léger-des-Vignes
dans la Nièvre. Le curé Glencross avait aménagé une partie de son
presbytère en un studio de pornographie infantile.
Deux
Glencross partageant le même intérêt pour la pédophilie mais avec
un prénom différent, ainsi que leur métier et leur domicile,
comment est-ce possible ? Une double vie ou deux hommes
distincts ? L'information n'existe pas dans les médias ou sur
internet mais il semblerait que Nicolas Glencross soit en réalité
l'oncle paternel de Peter Glencross.25
A partir d'ici l'entreprise Spartacus
a des gênes familiaux mais qui sont les Glencross ? Le mystère
reste entier. Hubert Védrine, un énarque, a été conseiller
municipal de la Nièvre entre 1977 et 1990 et ancien porte-parole du
président Mitterrand à l’Élysée. Son père Jean Védrine a été
un proche du président Mitterrand, lui-même élu de la Nièvre
pendant plusieurs décennies entre 1940 et 1970. Pour devenir
éligible dans la Nièvre Hubert Védrine avait besoin d'une adresse,
par le truchement de relations le président Mitterrand lui dégota
celle du curé pédophile Nicolas Glencross à
Saint-Léger-des-Vignes, un petit village comptant moins de 2.000
habitants. Nicolas Glencross a été écroué à Fresnes en 1990, il
décède au mois de décembre 1991.26
Quant à son neveu, Peter Glencross, il serait mort en 1991 pour
certains et pour d'autres il serait vivant, à Brighton. Comment se
fait-il qu'une telle information soit indisponible ou incertaine en
2017 ? Que sont réellement devenus les Glencross ?
Qui
était celui qui a collaboré avec John Stamford dans le PAN
magazine pendant au minimum 6 ans, le dénommé Frank Torey ?
Frank Torey est né en 1928, de son vrai nom Francis D. Shelden,
un
millionnaire
originaire d'Ann Arbor dans le Michigan. Cet homme siégea à de
nombreux conseils d'administration au sein d'association en relation
avec la protection de l'enfance.27
Publiquement Francis D. Shelden affichait l'apparence d'un
saint-homme, un philanthrope dévoué à la cause des enfants. En
réalité Francis Shelden a été l'un des détonateurs de « la
chasse aux sorcières » menées contre les pédophiles par
la police fédérale américaine, comme décrit par les auteurs du
Pan magazine, et déclenchée aux États-Unis dans les années
1970. Franchis Shelden était un pédophile en fuite, producteur de
film pédopornographique, séances photos, au-delà de la perversion c'était aussi un business lucratif profitant de l'exploitation sexuelle infantile.
Francis
Shelden était le propriétaire de l'île de North Fox, située dans le lac
Michigan, aménagée avec une piste d'atterrissage. Entre 1975 et
1977, dans cet endroit paradisiaque et isolé, il avait créé la
Brother Paul's Children's Mission, chargée d'accueillir des
enfants âgées entre 7 ans et 16 ans afin de prévenir la
délinquance juvénile. La prise en charge éducative et
para-médicale était basée sur une philosophie axée autour de la
naturopathie et du naturalisme. Les enfants accueillis étaient et
traités avec de l'herbe et des manipulations physiques. Ce camp
naturiste a été géré par Gerald S. Richards, lui-même
naturopathe, jusqu'à son arrestation en 1976.
Après
son interpellation au mois de juillet 1976, Gerald Richards collabora
avec les autorités alors que deux de ses anciens acolytes prenaient
la fuite, Dyer Grossman et Francis Shelden. Les trois hommes étaient
accusés de faits quasi similaires en relation avec la pédophilie
mais seul Gerald Richards a pu être arrêté puis jugé. Peu après,
Francis Shelden fuyait le territoire américain et changea
d'identité, devenant Frank Torey. Nous retrouvons sa trace au mois
de juin 1979 comme directeur exécutif du PAN magazine aux
côtés de John Stamford et de tout le gratin pédophile. Quelle
coïncidence incroyable, après avoir commis ses crimes sur l'île de
North Fox, Francis Shelden se retrouvait parachuté à la tête d'une
nouvelle revue périodique pédophile, le PAN magazine, la
vitrine pédophile de l'entreprise Spartacus.
Six ans plus tard, Frank Torey cessa sa collaboration avec John
Stamford, mettant fin à la publication du PAN
Magazine. Dès 1984, Frank Torey fonda une maison d'éditions à
Amsterdam, The Acolyte Reader,28
pour promouvoir la pédophilie jusqu'à sa mort officielle en 1996.
Bon nombre des auteurs du PAN magazine le suivirent dans cette nouvelle aventure mais cette fois-ci
sans John Stamford. Toute
cette littérature, ces pseudos fictions impliquant des enfants, est
le fruit de leurs expériences comme nous le verrons plus loin avec
un français, Gabriel Matzneff.
Gerald
Richards a ainsi « balancé » ses anciens
partenaires, Adam Starchild,29
un spécialiste de la fiscalité et de l'arnaque financière, un
riche new-yorkais Dyer Grossman, et le millionnaire Francis Shelden
qui aurait également été un contributeur du magazine pédophile
Better Life Monthly.30
Gerald Richards a décrit le
réseau aux forces de polices, il a même dessiné un schéma
illustrant la constitution de la Brother Paul's Children's
Mission sur l'île de North
Fox.31
Le piteux Gerald Richards était surnommé « Brother
Paul » par le magazine de
Francis Shelden, le PAN
magazine qui dénonce et donne les noms. Il était décrit comme un
déséquilibré notoire mais alors pourquoi avoir monté un réseau
pédophile avec un fou ?
Les aveux de Gerald Richards ont conduit les enquêteurs à trois
autres organisations :
- The Church of the New Revelation dans le New-Jersey 1974.32
- The Ocean Living Institute dans le New-Jersey 1974.
- Educational Foundation for Youth dans l'Illinois.
Ces
associations n'étaient que des façades afin de dissimuler et
assurer la viabilité des activités de la Brother Paul's
Children's Mission, le projet de
Francis Shelden mené en collaboration avec Dyer Grossman et Adam
Starchild. Et dans le rôle du fusible, Gerald Richards qui dirigeait
la structure basée sur une île devenue le cœur d'un réseau
pédophile incluant abus sexuels, exploitation sexuelle par la
pornographie voire proxénétisme. La piste menant au camp de la
Brother Paul's Children's Mission
remonte dans l'état du Tennessee, dans une ferme non loin d'Alto. Le
révérend Claudius Ira Vermilye dit « Bud »
a été arrêté peu avant noël 1976 pour des faits de pédophilie,
là encore tout l'attirail a été retrouvé par les forces de
police, photos, vidéos. Ainsi qu'une liste de contacts,
« sponsors »,
soutiens, membres du club de la pédophilie locale et régionale,
parmi lesquels figuraient le millionnaire du Michigan, Francis
Shelden. En 1977 l'administration Carter promulguait la loi
Protection of Children Against Sexual Exploitation afin
de réprimer plus sévèrement l'exploitation sexuelle des enfants.
Cette même année, un comité sénatoriale produisit plusieurs
audiences sur le thème de l'exploitation sexuelle des enfants. Les
informations relatives au réseau du Michigan proviennent de ce
rapport sénatoriale réalisé en 1977.
réseau
pédophile international = SPARTACUS 70' 86'
Stamford
GLENCROSS
x 2 (Peter en Hollande + Tonton Nicolas en France)
Shelden/Torey
réseau
pédophile du Michigan = Brother Paul's Children's Mission
75' 77'
Francis
Shelden/Torey>fuite
Dyer
Grossman>fuite
Gerald S. Richards>condamné
Adam Starchild>fuite
Gerald S. Richards>condamné
Adam Starchild>fuite
Le sergent Lloyd
Martin fut membre des forces de police de Los-Angeles, responsable de
l'unité chargée de traquer les pédophiles ainsi que leurs clients
puisque leurs organisateurs tiraient de substantiels bénéfices en
exploitant des enfants. L'unité de Lloyd Martin a accompli un
travail relativement remarquable après sa création au moins
d'octobre 1976 mais rapidement il apparut que le système de sanction
prévu par la justice était inefficient à faire cesser la
prolifération de la pédopornographie. Arrestations, libération sur
parole, sous caution ou soutien psychologique puis libération ou
modique condamnation puis libération, un système fortement laxiste
à l'égard de ces criminels.
La
première prise du sergent Martin a été celle d'un important
producteur et distributeur de film pédopornographique à Hollywood,
Californie. Guy Strait a été arrêté et incarcéré en 1973 pour
ces faits. Les forces de police française ont également pu
bénéficier des informations de Lloyd Martin pour procéder à
l'arrestation d'un pédophile récidiviste français en 1978, le
pathologique Jacques Dugué sévissant à Saint-Ouen. C'est à la
suite d'une perquisition au domicile d'« Henry
Johnson »
à Los-Angeles que les forces de police établirent le lien entre les
deux hommes grâce à une correspondance qu'entretenait les deux
hommes.33
Lloyd Martin était devenu un véritable cauchemar pour les
pédophiles et aussi l'une des cibles privilégiées du PAN
magazine qui ne savait se montrer élogieux qu'à l'égard des
pédophiles. Jacques Dugué a bénéficié de toute la sollicitude
que les pédophiles étaient en droit d'attendre du PAN
magazine comme Claude Sigala, Gilbert Villerot ou Gabriel Matzneff,
sans oublier les pro-pédophiles René Schérer et Guy Hocquenheim,
pour n'évoquer que certains français.
Gabriel
Matzneff34
incarne à lui seul le kinseyisme dans toute sa splendeur, à la fois
bisexuel, polygame et pédophile.35
La découverte d'un livre intitulé « Les
moins de 16 ans »
de Gabriel Matzneff devrait éclairer plus d'un curieux sur les
sources d'inspiration et les mœurs de cet individu. Jusqu'à preuve
du contraire, il s'agit là des confessions d'un pédophile36
qui a cherché à magnifier et à banaliser la pédophilie depuis des
décennies. Paraît-il que monsieur Matzneff sait écrire, qu'il
manie le verbe et sa plume comme un cow-boy maîtrise le taureau avec
son lasso, paraît-il qu'il est même satisfait de son passé, il ne
renie rien. N'est-ce pas une manière de s'ériger comme une voie à
suivre ? Regardez-moi, j'ai corrompu des dizaines de mineur(e)s,
et je suis satisfait ! Si vous avez les mêmes pulsions,
n'hésitez pas puisque j'ai pu faire ça toute ma vie en toute
impunité. Est-ce là le genre de discours qu'il faille véhiculer à
notre jeune génération pour qu'il s'épanouisse ?
Un
être humain peut s'épanouir sans sexualité mais pas en l'absence
de passion,37
de plus la sexualité sans passion est vaine. Gabriel Matzneff est un
kinseyiste hédoniste, pur et dur, autrement dit un pervers sexuel,
qui n'a eu de cesse de multiplier les escapades
sexuelles
tout au long de sa vie, passant d'une jeune fille à un jeune garçon,
au gré de ses pulsions et de ses voyages. Il s'en vantait et s'en
servait même pour faire carrière puisque ses écrits sont inspirés
de ses frasques sexuelles. Son mariage a été un échec car il a
tenté d'imposer ses déviances à sa femme, un ménage à trois avec
un jeune collégien,38
ils divorcèrent en 1973. Et c'est seulement après qu'il débuta
l'écriture de « Les
moins de 16 ans ».
Mais ce livre au titre évocateur n'est qu'un détail dans ce foutoir
que Gabriel Matzneff appelle littérature et à travers lequel il
idéalise et magnifie la pédophilie. Or, jamais il n'y a de débat
sur le consentement, sur le discernement, sur la maturité, sur les
neurosciences, Matzneff n'est qu'un hédoniste, un profiteur, un
opportuniste qui croit savoir de quoi il parle car il a corrompu des
mineur(e)s tout au long de sa vie. Est-il seulement parent d'un
enfant ?
Gabriel
Matzneff est un homme qui aimait être écouté, regardé, et
captiver les adolescent(e)s, des proies faciles disposées à boire
son charabia visant à les corrompre. En substance cela pouvait
donner, moi Gabriel Matzneff j'ai voyagé de Venise à Alger en
passant par Manille et Ceylan, moi Gabriel Matzneff a pour ami Henry
de Montherlant,39
moi Gabriel Matzneff peut te faire voyager, et moi et moi et moi...
je peux te rendre célèbre en écrivant notre histoire d'amour,
n'est-ce pas romantique ? Le manipulateur par excellence,
David Hamilton se servait de son appareil photographique pour se
planquer derrière son objectif et ainsi exprimer librement son vice
alors que Gabriel Matzneff se servait d'une feuille et d'un stylo.
Aucune différence. Les défenseurs de Matzneff sont comme lui ou des
personnes qui fantasment à travers lui car elles n'osent pas faire
comme lui. Autrement dit ce sont des personnes aux valeurs humaines
brinquebalantes et mal définies.
Gabriel
Matzneff a surnommé sa course effrénée du plaisir le « Galop
d'enfer », c'est-à-dire la multiplication d'aventures
simultanées avec des jeunes filles, parfois même à plusieurs.
C'est dans ce contexte qu'il fut interpellé dans l'affaire du Coral,
sur dénonciation calomnieuse et à cause de ses chefs d’œuvre
littéraire. Il faut comprendre que Gabriel Matzneff a forniqué dans
les quatre coins du monde en le criant haut et fort, sans jamais être
inquiété... Toutes consentantes mais surtout manipulées par celui
qui voyageait régulièrement à Manille, Ceylan (Sri Lanka),
Marrakech, des endroits réputés pour le tourisme selon le guide
Spartacus et le PAN magazine que Gabriel Matzneff connaissait parfaitement.
Que
nous a raconté finalement Gabriel Matzneff durant toutes ces
années ? Pardonnez-moi mais il nous a évoqué l'histoire de
son sexe en long en large et diagonale. Les mystères de la vie
décrypté par Gabriel Matzneff à travers la sexualité ou le
mystère de la disparition du numéro 3740
de la revue Recherches ? Une publication datant de 1979 traitant
de la pédophilie, finalement censurée par la direction de la revue
après les années 1980. Gabriel Matzneff a participé à la
conception du numéro
37 aux côtés du pédophile condamné Gilbert Villerot, de René
Schérer et Jean-Luc Hennig, journaliste pour Libération
durant cette période. Nous pouvons remercier l'édition du numéro 2
de PAN
magazine pour cette information non disponible sur le propre site de
l'éditeur Recherches.41
Finalement les pédophiles ont une utilité, ils se pointent du doigt
les uns et les autres et ont une certaine tendance à s'aimanter.
Nous retrouvons les malheurs de Gabriel Matzneff plusieurs fois
évoquéé par le PAN
magazine,42
l'un des relais de propagande utilisé par son ami Edward Brongersma.
Finalement la boucle est bouclée...
Nous
avons donc vu dans cet article le réseau pédophile qui peut être
résumé ainsi :
- L'idéologie est le kinseyisme, c'est-à-dire la libération sexuelle de tous les pratiques sexuelles...
- Historique de la création des mouvements gays, fin des années 1940 aux années 1990.
- Enclave Kring première association pédophile à Rotterdam 1948 de Frits Bernard.
- L'entreprise Spartacus créée en 1970 est sans doute l'apex du réseau pédophile.
Nous
allons conclure avec les faits suivants :
- Création de l'ILGA à Coventry en Grande-Bretagne durant l'année 1978.
- L'ONU expulse l'ILGA pour accointances pédophiles en 1994.
- Réintégration de l'ILGA au sein de l'ONU en 2011.
- Intégration du Kinsey Institute au sein de l'ONU en 2014.
SOURCES :
1La
correspondance entretenue entre Alfred Kinsey et Fritz von Balluseck
constitue un réseau, deux personnes qui s'échangent des
informations sur la pédophilie. Idem concernant le cas Rex King.
2Histoire
de Steven Stayner et Timothy White kidnappés et abusés par le
pédophile Kenneth Pardell. Le jeune Steven Stayner devenu trop âgé
pour Kenneth Pardell a été remplacé par Timothy White. Plus tard,
c'est le frère de Steven, Cary, qui était condamné à mort pour
les meurtres de quatre femmes en 2001, dont deux jeunes
adolescentes. Le dénommé Cary Stayner a fourni ses aveux en
espérant obtenir des forces de polices du matériel
pédopornographique qu'il aurait pu emmener dans sa cellule...
3Psychopathia
Sexualis de Richard von Krafft-Ebing, 1886.
4Paedophile
Liberation in Holland, interview de Frits Bernard, PAN magazine,
numéro 1, pages 15 à 18, juin 1979. Dans cette interview Frits
Bernard a su être à la fois franc et équivoque quand cela était
nécessaire afin de ne pas nuire au mouvement homosexuel du COC. Il
n'a pas nié la pédophilie de Jaap van Leeuwen alias Arent van
Santhorst lorsqu'on lui a posé la question alors que pour d'autres
il a su se montré catégorique.
La première association
militant pour les droits des homosexuels en Hollande a été le
fruit de Jacob Schorer, un élève de Magnus Hirschfeld. Le COC a
été bâti sur les cendres de la NWHK 1912-1940.
5Edward
Brongersma est l'auteur de deux volumes sur la pédophilie, Loving
Boys, pas moins de 28 références à Alfred Kinsey dans son
ouvrage.
6La
newsletter Minor Problems du PIE a été domiciliée à
l'adresse de Ian Dunn durant une année.
7Il
s'envole pour les Pays-Bas à Assen en 1984 pendant que David Joy
(PIE) et Peter Bremner (PIE) sont jugés pour diffusion de matériel
obscène puis condamné respectivement à 18 mois et 6 mois de
prison.
8Philippe
Carpentier condamné dans l'affaire du CRIES (UNICEF) et
Michel Caignet pour ses publications et le réseau Toro Bravo.
9David
Norris, Peter Ashman (CHE), Jeff Dudgeon, Rob Pistor (COC) parmi 30
hommes.
10Avec
leur groupe ILIS, les lesbiennes ont fait scission hors de la sphère
de l'IGA.
11Nous
pourrions ergoter sur un phénomène « girl-love » ou
« Lolita » purement hétérosexuel mais il n'a jamais vu
le jour contraitement au phénomène « boy-love ».
12Le
Soir : Turnhout : 6 heures de lecture n'ont pas suffi au
prévenu pédophile, Marc Metdepenningen, 23 février 1995.
13Le
Soir : Mort
du rédacteur en chef de la revue gay Spartacus, BELGA, 30
décembre 1995.
Aucune information sur le motif de son
hospitalisation s'il est bien mort à l'hôpital comme l'affirme la
presse.
14Scandale
pédophile londonien portant le même nom : Elm Guest House.
15Le
Soir : Loi
semble impuissante face à Spartacus et ses marchands d'esclaves, le
ministère public ne requiert qu'un an contre Stamford,
Martine
Vandemeulebroucke et Rudolf Marton, 16 février 1995.
16Relation
sexuelle avec un adolescent de 16 ans alors qu'Edward Brongersma
était âgé de 39 ans, à l'époque la loi hollandaise autorisait
les rapports sexuels entre deux personnes du même sexe à partir de
21 ans.
1728
références à Kinsey dans le volume 2.
18Warren
Middleton alias John Parratt a été vice-président du PIE.
Loving Boys Vol. 1
par Edward Brongersma, décembre 1986.
Dans ce premier volume,
l'auteur remercie les trois correcteurs de son manuscrit, l'un
d'entre eux était Frank Torey, page 13. Ce volume contient 41
références à Kinsey.
Loving Boys Vol. 2
par Edward Brongersma, avril 1990. Ce second et dernier volume
contient 28 références à Kinsey.
19Zandvoort
est le nom d'une station balnéaire hollandaise et c'est aussi le
nom d'un scandale pédophile durant les années 1990, impliquant
Gerrit Ulrich, plusieurs CD's de ZANDVOORT, au sein même de cette
station balnéaire, à une dizaine de kilomètres de la fondation
Brongersma.
20Matzneff,
Brongersma, et leurs aventures à Manille, capitale des Philippines,
un pays propice à la prostitution infantile.
21L'adolescent
avait 16 ans, non pas 17 ans comme suggéré par de nombreuses
sources. L'âge de l'adolescent apparaît dans le volume 2 de
« Loving Boys ».
22Euthanasie
assistée par le docteur Philip
Sutorius.
23La
troisième fondation est celle de Wolfgang Tomasek à Munich en
Allemagne.
24Sunday
People : The evil men behind child sex empire, Roger
Insall, 16 juin 1985.
25John
Christopher Glencross (1909-1993) est à la fois le père de Peter
Glencross (1939-1991 ?) et le frère du curé Nicholas Henry
Petrock Glencross (1913-1991 ?). Peter Glencross est issu d'une
fraterie composé de 10 enfants.
26L'Humanité :
L'enquête sulfureuse
de Bernard Violet sur l'assassinat du pasteur Doucé, Rémi
Darne, 18 mai 1994.
27Boys
Republic ou Cranbrook Institute of Science, page 85.
28Frank
Torey alias Francis Shelden écrivait sous le nom de Jotham Lothring
pour The Acolyte Reader.
29Sa
véritable identité est Malcolm Willis McConahy, avec cette
identité il a été compromis dans une affaire de relations
sexuelles avec un mineur de 16 ans.
30Ce
magazine californien a été contraint de fermer en 1976. A l'époque
il en existait trois : Better Life Monthly, Hermes
et The Broad Street Journal.
31La
Brother Paul's Children's Mission a été fondé le 18 juin
1975 et sa dissolution est intervenue le 1er octobre
1978, Port Huron, Michigan.
33Il
apparaît probable que le dénommé Henry Johnson soit un
alias puisque cette information provient du PAN magazine. Or,
si leurs intérêts peuvent être mis en balance, ils emploient des
alias comme cela a été fait dans l'affaire du Michigan impliquant
Frank Torey, il surnomma Gerald Richards Brother Paul.
34Ecrivain
français âgé de 81 ans, il a été récompensé du prix Renaudot
2013
Il a été un proche ami
d'Henri de Montherlant, un autre pédophile de renom hissé au
panthéon de l'Histoire, certainement plus chanceux que le défunt
Edward Brongersma qui s'est finalement suicidé par euthanasie, ne
pouvant plus assumer le harcèlement dont il était victime. En
cause, la fameuse hystérie collective des parents qui refusent de
confier leurs enfants à des pervers qui s'en prennent sexuellement
aux enfants des autres afin de les libérer de l'oppression de leurs
parents. Les pédophiles sont des libérateurs... Le motif du
suicide de Montherlant était lié à une cécité menaçante, ce
qui l'aurait empêché d'admirer les jeunes garçons aux Tuileries,
autant dire que sa vie aurait perdu tout son sens.
35La
bisexualité est la référence pour Alfred Kinsey comme il l'a
défini arbitrairement avec l'échelle de Kinsey.
36Extrait
de Gabriel Matzneff
dans Vingt ans après, livret
publié par les éditions de la Table Ronde
en 1985 :
''Moi, c'est le contraire :
ce sont mes aventures, mes amours, mes épreuves, ma connaissance
des êtres et du monde, qui nourrissent et irriguent mon travail.
Pour écrire, j'ai besoin de vivre à fond les passions
contradictoires qui m'habitent.''
37Une
passion au sens large, une occupation qui nourrit l'être humain en
somme.
38Un
jeune collégien anglais Mike M. qu'il rencontra en 1972 chez le
père Struve, un proche ami. C'était déjà chez le père Struve
que Matzneff avait rencontré sa future femme Tatiana...
39Henry
de Montherlant est également un pédophile qui a reçu des prix
littéraires comme son pygmalion Matzneff.
40Recherches
numéro 37 publié au mois d'avril 1979, intitulé ''Fous
d'enfance, qui a peur des pédophiles ?'' exclusivement sur
la thématique pédophile. Le contenu était le suivant : un
article de René Schérer ''A propos de la pédophilie'', des
poèmes du ''très talentueux'' Matzneff, des travaux de
Gilbert Villerot et une courte histoire de Jean-Luc Hennig.
41Le
PAN magazine fournit les auteurs alors que le site des
éditions Recherches uniquement le titre de l'article sans
leurs contributeurs.
42PAN
magazine numéros 2, 9, 13 et 16, cité aux côtés d'autres
pédophiles ou pro-pédophiles français comme Roger Peyreffite,
Tony Duvert ou René Schérer.
Et le site spotlightonabuse qui rassemble des documents à propos du PIE, de John Stamford et de Francis Shelden. Nous pouvons lire certains articles de Marylin Wright tant critiquée par le PAN magazine puisqu'elle expose Francis Shelden et son visage.
Retour en haut de la page
Frank D.
Commentaires
Enregistrer un commentaire