Spartacus network: exposition du réseau pédophile 1970-1995... to be continued...






Les sources de cet article proviennent d'un rapport intitulé « L'exploitation sexuelle des enfants » concocté par un comité de la Chambre des représentants des États-Unis et dont les auditions se sont déroulées en 1977. L'autre source provient des nombreuses et diverses publications diffusées par le biais du réseau pédophile et de la communauté gay. Aborder la pédophilie sous la forme d'un réseau c'est s'attaquer au pouvoir, les hautes sphères du pouvoir, car c'est une arme utilisée pour faire chanter et piéger n'importe quel opposant. Enfin nous allons démontrer sans équivoque l'existence de réseaux pédophiles malgré les dénégations de nos médias dominants inféodés au pouvoir. Ces fameux médias se sont toujours montrés discrets quand il s'agissait d'écrire sur Spartacus, preuve s'il en fallait de leur soumission.



Définitions et postulats

Un réseau est caractérisé par un ensemble de points interconnectés permettant la circulation d'un flux tel qu'une donnée, une information ou un produit. Nous pouvons citer en exemple le réseau routier, le réseau des canalisations, le réseau informatique ou bien les réseaux criminels comme ceux du trafic de drogue, du trafic d'armes ou encore du trafic d'organes. Cependant nos médias ont toujours affirmé qu'il n'existait pas de réseau pédophile, l'un des rares domaines où le concept de réseau n'existerait pas. Intellectuellement, c'est un comble. Des photos et des films à caractère pédophile circulent d'un pays à un autre, des gens se contactent à travers le monde pour parler de pédophilie car ce réseau existe. Comment feraient ces pédophiles pour se trouver si aucun réseau pédophile n'existait ? Cette posture professionnelle est tout à fait symptomatique de l'incapacité de nos « journalistes » à traiter le sujet de la pédophilie. Les réseaux pédophiles existent, ils sont l'héritage de l'ère kinseyiste. Rappelons qu'Alfred Kinsey avait lui-même constitué un réseau pédophile sur lequel il s'est appuyé pour produire son analyse de la sexualité infantile.1


Réseau pédophile :

> groupe de pédophiles
> boite postale/boite vocale/magazine
> prise de contact
> activation du réseau


La pédophilie se définit par l'attirance sexuelle d'un adulte à l'égard d'un enfant âgé de 15 ans voire 16 ans. Il ne s'agit pas d'amour. La pédophilie est une orientation sexuelle à l'instar de l'hétérosexualité, de l'homosexualité et de la bisexualité. L'être humain est capable d'aimer sans être sexué mais à notre époque l'amour est devenu un sentiment totalement suranné. Les gens sont devenus de vulgaires produits jetables rapidement remplacés. Ceci n'est pas de l'amour mais de la consommation. D'ailleurs que se passe t-il lorsque la proie du pédophile dépasse la date de péremption ? Il doit alors se mettre à la recherche d'une nouvelle victime pour assouvir son besoin de contrôle et ses pulsions sexuelles.2 La pédophilie tout comme l'homosexualité existe depuis toujours et c'est pourquoi le courant hellénistique est une référence pour les « intellectuels » gays et pédophiles. Sauf que la première catégorie élude volontairement deux choses, la première est qu'il ne s'agissait pas d'homosexualité mais en majorité de relations bisexuelles. Enfin la pédophilie était aussi pratiquée par les grecques durant l'antiquité alors pourquoi se focaliser uniquement sur l'homosexualité ? N'est-ce pas faire preuve de négationnisme, de biphobie ou encore de pédophobie ? Nous allons évoquer à travers cet article ici le phénomène boy-love qui est purement homosexuel, misogyne, patriarcal et transpirant l'agéisme.



Historique du mouvement Gay & Co.

1897, Berlin, Scientific-Humanitarian Committee (WhK) est le premier lobby gay fondé par Magnus Hirschfeld, l'un des pères fondateurs de la sexologie avec le britannique Havelock Ellis qui inaugura la notion d'onanisme et enfin l'austro-hongrois Richard Freiherr von Krafft-Ebing qui introduisit les concepts de sado-masochisme et le terme « paedophilia ».3

1948, Amsterdam, Cultuur en Ontspanningscentrum (COC) est le plus vieux lobby gay encore en activité fondé par Nico Engelschman (alias Bob Angelo) et le pédophile Jaap van Leeuwen (alias Arent van Santhorst).4 Deux membres notables du COC furent le docteur Frits Bernard, pro-pédophile et à l'origine de la création du premier lobby 100% pédophile de l'histoire, et le sénateur pédophile Edward Brongersma condamné en 1950, à l'âge de 39 ans, pour avoir eu des relations sexuelles avec un adolescent de 16 ans.5 Tous deux sont des kinseyistes. Cependant le COC n'a jamais accepté la création d'un groupe de travail sur la pédophilie, ce qui a poussé Frits Bernard a créé son association.

1950, Los-Angeles, The Mattachine Society, le premier lobby gay américain fondé par Harry Hay, influencé par les travaux de Hirschfeld et Kinsey. Harry Hay a exprimé à plusieurs reprises sa sympathie à l'égard du mouvement pédophile en soutenant la NAMBLA.

1958, Rotterdam, Enclave Kring, création du premier lobby pédophile en Hollande par le docteur Frits Bernard, cette association faisait également office de maison d'édition. 

1964, Londres, Campaign for Homosexuality Equality (CHE), le premier lobby gay en Grande-Bretagne, fondé par Allan Horsfall et Colin Harvey.

1969, Glasgow, Scottish Minorities Group (SMG), créé par Ian Campbell Dunn.6

1970, de Londres à Geel, Spartacus, inclassable mais à considérer comme une organisation homosexuelle et pédophile, créée par John Stamford.

1974, Londres, Paedophile Information Exchange (PIE), avec pour premier président Keith Hose suivi par l'emblématique Tom O' Caroll puis par Peter Bremner ou encore Steven Smith. Tous ont connu des ennuis judiciaires avec des issues différentes, prison, condamnation, acquittement voire la fuite vers la Hollande pour Steven Smith.7


1976, Paris, Centre du Christ Libérateur (CCL), un lobby gay et pédophile créé par le pasteur Joseph Doucé, sous couverture d'être un refuge pour les personnes dont les orientations ou les pratiques sexuelles les isolent du reste du monde. Une histoire bien rodée, à faire pleurer les chaumières, toujours est-il que le pasteur Doucé était cerné par les pédophiles qu'il recevait au CCL, le dimanche, une fois par mois. Sa maison d'éditions publiait des ouvrages pédophiles, il a eu pour amant Philippe Carpentier et comme collaborateur Maurice Balland, tous deux condamnés pour pédophilie.8 Le pasteur Doucé est devenu un martyr de la cause LGBT, lui qui avait sûrement une obsession sexuelle pour expliquer cette tendance à s’appesantir sur les minorités et leur sexualité plutôt que sur leur spiritualité. Un pasteur très préoccupé par le corps de ses fidèles moins par leur esprit, cela est d'une incongruité rare. Le pasteur Doucé avait bien mérité son surnom de pasteur porno. Pour les curieux, il est l'auteur d'un ouvrage sur l'un de ses sujets de prédilection : « La pédophilie en question ».


1978, Coventry, International Gay Association (IGA), créée suite à une conférence organisée par le CHE en Grande-Bretagne, il n'y avait aucune femme.9 Plus tard l'IGA sera rebaptisée International Lesbian and Gay Association (ILGA) intégrant officiellement les lesbiennes au sein de l'association. Nous constatons qu'à la création de l'IGA le mouvement gay était sommairement misogyne.10 Ce constat était renforcé dès 1980 par des pédophiles qui obtinrent ce qu'ils désiraient, à savoir un groupe de travail au sein de l'IGA et leur soutien. Conclusion : le mouvement « boy-love » est par essence purement homosexuel.11



L'entreprise Spartacus



Icône homosexuel, beau, intelligent, puissant et doux à la fois, Spartacus le gladiateur est aussi devenu l'appellation du premier guide gay international couvrant 150 pays. La première édition comptait environ 100 pages, à titre de comparaison la 10ème édition atteignait les 600 pages. Le guide version Stamford a été édité à 60.000 exemplaires à partir de Londres puis Amsterdam et enfin Geel, des délocalisations poussées par les pressions judiciaires. A l'intérieur du guide Spartacus était répertorié une multitude d'adresses pour chaque pays, bars, hôtels, saunas, plages ou des groupes de soutiens, destinées au public gay et pédophile. L'entreprise Spartacus faisait également office de maison d'éditions pour les talents pédophiles en herbe, elle publiait notamment le magazine Paedo Alert News (PAN) à partir de 1979, en 1982 Spartacus rachetait la Coltsfoot Press Inc. Spécialisée dans la littérature pédophile. Enfin, le 1er décembre 1986, l'entreprise Spartacus était vendue à un éditeur allemand, Bruno Gmunder. Le fondateur du guide était John D. Stamford, un pasteur britannique originaire de Brighton, accessoirement pédophile, rejoint par Frank Torey puis par le curé Peter Glencross, tous deux accessoirement pédophiles. La seule condition requise pour intégrer ce genre d'entité est d'afficher sa pédophile sur le curriculum vitae. Ces trois individus sont tous officiellement décédés dans les années 1990, ils ont été à l'origine de la plus grosse industrie de propagande pédophile de notre époque contemporaine, sans compter l'industrie pédopornographique et le proxénétisme.


Suite à une perquisition à son domicile de Geel, en Belgique au mois de septembre 1993, John Stamford a été arrêté pour possession de matériel pornographique impliquant des enfants. Cet homme a pu exercé ses activités pendant plus de vingt ans avant d'avoir à répondre de ses actes devant la justice. Le 23 novembre 1994 débuta le procès de Stamford au Tribunal correctionnel de Turnhout pour incitation à la débauche de mineurs et diffusion d'écrits contraire aux bonnes mœurs. Un motif d'inculpation extrêmement clément considérant les occupations du personnage. En effet, une plainte avait déjà été déposé en 1981 par une ONG Suisse devenant au fil des ans l'ennemi numéro 1 de Spartacus. Cette ONG fondée en 1960 par un pharmacien suisse, Edmond Kaiser, est connue sous le nom de la Terre des Hommes (TDH). La TDH alerta les autorités concernant le commerce des enfants encouragés et pratiqués par John Stamford à travers son guide Spartacus. Lors du procès, l'un des dirigeants de la TDH, Bernard Boëton, a tenté d'obtenir la requalification de l'inculpation en accusation de proxénétisme. En vain, le président du tribunal récusait cette demande de la partie civile au titre que John Stamford ne pouvait être poursuivi que pour des faits commis en Belgique entre 1987 et 1993. Plus étonnant encore a été de constater la seule présence de John Stamford au tribunal de Turnhout alors qu'il était à la tête d'une véritable industrie axée sur l'exploitation sexuelles des enfants.


John Stamford comparaissait en audience publique, le 22 février 1995, de longues heures durant lesquelles il fit la lecture d'un texte manuscrit d'environ 60 pages qu'il avait rédigé à titre de défense. Une sorte de plaidoyer confus, victimaire, anti-américain, dénonçant un complot de la presse et des associations de défenses de droits de l'homme qui cherchaient à le nuire par tous les moyens. John Stamford utilisa une rhétorique déjà bien rôdé dans son magazine PAN et par de nombreux pédophiles. Le fameux complot ourdi par les trois PPP, police, presse et politique.12 Rappelons que John Stamford débuta ses activités en 1970 à Londres puis sous la pression judiciaire britannique il est contraint de fuir pour la Hollande dès 1972, un pays aux mœurs plus tolérantes à l'égard du prosélytisme pédophile. John Stamford retrouva ses fidèles comparses, militants pro-pédophiles et contributeurs du PAN magazine, à savoir les Theo Sandfort, Frits Bernard, Edward Brongersma et Gerard Zwerus. En Belgique, John Stamford risquait la peine maximum d'un an de prison qu'il n'a même pas pu effectuer puisqu'il serait décédé de mort naturelle au mois de décembre 1995 à l'hôpital de Geel.13 Une mort qui tombe à pic et qui n'aura jamais permis de creuser véritablement le dossier Spartacus, ni de condamner tous les protagonistes impliqués. Ainsi l'insaisissable Frank Torey, déjà en fuite dans une affaire de pédophilie aux Etats-Unis, avait encore pu échapper à la justice.


Tout a commencé en 1981 lorsqu'un délégué de la TDH, Timothy Bond, travaillant au Sri Lanka, se rendit compte que des pédophiles allaient et venaient avec le guide Spartacus sous le bras, leur précisant les adresses des hôtels où l'on pouvait rencontrer de « jeunes garçons ». Le guide Spartacus abritait également un club offrant à ses membres privilégiés des adresses de maisons de passes dont certaines avaient été testées par John Stamford. Il consignait parfois ses propres appréciations sur les enfants, donnait des conseils pour obtenir les meilleurs prix et offrait des réductions pour certains hôtels ou bars comme le Elm Guest House à Londres.14 Les membres de ce club recevaient le « Holidays Help Portfolios » qui expliquaient où, comment, et à quel prix il était possible de rencontrer des enfants. En substance, à travers le guide Spartacus, nous avions toutes les destinations de la filière du réseau pédophile référencée et annotée avec soin. L'association TDH entama alors une véritable bataille médiatique et juridique contre Stamford, l'accusant d'être le cerveau et l'animateur de ce qui a été un véritable réseau d'incitation au proxénétisme international spécialisé dans la pédophilie. Au-delà même de l'incitation, il s'agissait ni plus ni moins d'un réseau de proxénète dédiée à la pédophilie. Et Bernard Boëton d'ajouter quelques extraits choisis de ces portfolios : « cet endroit (aux Philippines) avait un large éventail de garçons de différents âges, carrures et types... Entre janvier et mai 1978, j'ai (ndlr: Stamford) personnellement testé beaucoup de ces garçons et recommandé certains aux lecteurs du guide ''Spartacus'' ».


Le Sri-Lanka ou le paradis tropical des pédophiles était ainsi décrit dans le guide Spartacus : « Un endroit ou presque tous les désirs sexuels peuvent se réaliser et sans contrôle de séropositivité à l'entrée du pays ». Voilà des critères de tourisme plutôt atypique, bien considéré c'était se moquer outrageusement du monde que d'avoir permis la prolifération de pareilles informations. Les adresses étaient connues et même répertoriées comme dans un annuaire, exclusivement réservé à la communauté gay mais personne n'a jugé nécessaire d'intervenir. Plus grave encore, dans un procès-verbal rédigé par un officier de la police judiciaire qui a instruit l'affaire Stamford, se trouve le témoignage d'un britannique accusant John Stamford d'avoir réalisé un film où un enfant philippin est torturé et mis à mort.15 Son cadavre aurait été enterré sous une maison en construction.


Le créateur du guide Spartacus était un véritable psychotique, incapable de reconnaître les faits sans les transformer, se berçant d'illusions et persuadé d'avoir sauvé des enfants du tourisme sexuel. De plus il avait un profil de pervers narcissique éprouvant le besoin d'être regardé et écouté, tout en manipulant son interlocuteur, des qualités idéales pour un pédophile qui cherche à corrompre des mineurs.


Dans le PAN magazine John Stamford nous offre de nombreuses saillies à l'encontre de la TDH comme contre tout ceux qui se sont opposés à la propagande pédophile de l'entreprise Spartacus. Nous évoquerons plus loin le cas du sergent Lloyd Martin, champion des arrestations, nous avons aussi Judith Reisman celle qui a dénoncé la fraude Kinsey ou plus simplement tous les juges, les politiques et les forces de police, tous ont été les cibles de la vindicte du PAN magazine. Seuls les pédophiles et ceux qui les soutiennent ont le droit à la considération et à l'empathie de John Stamford et Frank Torey. Ceci à une exception près, les pédophiles hétérosexuels qui sont bien souvent des meurtriers sanguinaires alors que le boy-lover donne de l'« amour », comprendre du sexe, aux enfants, sans contrainte ni violence (seulement en abusant de leur immaturité).





Entre choisir le meurtre d'un enfant ou choisir le traumatisme de l'abus sexuel sur un enfant qu'il peut reproduire de génération en génération en causant des victimes indéfiniment, un parent choisira la sécurité de son enfant, sûrement pas un pédophile. En effet, le mouvement « boy-love » se revendique être adorateur des enfants, selon eux il n'y aurait relation sexuelle entre un adulte et un enfant, peu importe son âge, que s'il y a consentement, ceci est le discours des théoriciens du phénomène boy-love. De plus, selon John Stamford et Frank Torey, ceux qui s'opposent à l'émancipation sexuelle des enfants sont des coincés ou des refoulés. Ces arguments grotesques déjà éprouvés sont fallacieux car chaque parent s'intéresse au bien-être et à la sécurité de ses enfants, il n'est donc pas concevable que des gens comme ces kinseyistes puissent influencer le droit de manière à leur faciliter l'accès à nos enfants. Les tentatives ont été nombreuses, et parfois fructueuses, grâce au mouvement LGBT mais les « boy-lover » n'ont jamais réussi à obtenir l'abrogation du principe de majorité sexuelle. Cependant le lobby LGBT a exaucé la minorité pédophile en obtenant la suppression des lois interdisant la pratique de la sodomie ou/et en fixant un âge de la majorité sexuelle identique à celui des hétérosexuels. Faisant cela, le mouvement LGBT a aussi permis aux pédophiles d'accéder à des adolescents plus jeunes tout en étant moins inquiété par la justice. Les homosexuels ont sciemment ou inconsciemment rendu service aux pédophiles adeptes du phénomène « boy-love ». Prenons en exemple la France, la dépénalisation de l'homosexualité a eu lien en 1982, cela signifiait la suppression de toutes les spécificités juridiques liés à la sexualité. Avant 1982 il existait deux limites d'âge pour la majorité sexuelle en France, 15 ans pour les hétérosexuels et 21 ans pour les homosexuels. Après 1982 il n'existait plus de discrimination liée à la sexualité de l'individu, c'est pourquoi l'âge de la majorité sexuelle est aujourd'hui identique pour tous, c'est-à-dire 15 ans. En conclusion, depuis 1982, le pédophile agissant sur le territoire français peut avoir des relations sexuelles « consenties » avec un adolescent âgé de 15 ans alors qu'auparavant il lui était interdit jusqu'à l'âge de 21 ans, c'est pourquoi les pédophiles peuvent remercier le mouvement LGBT.


Le PAN magazine a été un relais de diffusion pour promouvoir la pédophilie. Il était composé d'environ 40 pages et fut publié cinq fois par an entre 1979 et 1985 pour un total de 21 numéros. John Stamford était l'éditeur et Frank Torey le directeur exécutif de la publication. Le format et le contenu du PAN sont aussi riches que structurés comme dans n'importe quel magazine, ils se présentent sous cette forme :

  • News : nouvelles du monde, lois, répression, faits divers, activisme pédophile.
  • Histoire : fiction/réalité en relation avec la pédophilie, couramment signée par un alias.
  • Interview : parmi les plus notables Frits Bernard, Gerard Zwerus, Hajo Ortil ou des enfants.
  • Reportage/Dossier : « Coral, PIE, Jacques Dugué... »
  • Publicité/Promotion de l'entreprise Spartacus, de ses auteurs et de ses publications
  • Littérature + critique + courrier des lecteurs
  • The Battle Line : dénonciation de tout ce qui entre en conflit avec les intérêts de Spartacus et du phénomène « boy-love ».


Il n'a jamais été question de pornographie infantile dans les pages du PAN magazine mais d'un contenu faisant les éloges de la pédophilie et des boy-lovers. Les lecteurs du PAN avaient entre les mains tous les arguments pour se déculpabiliser voire légitimer leurs comportements déviants et ainsi nourrir leur perversité. Le PAN magazine offrait à ses abonnés à la fois une conscience morale, des adresses, des conseils juridiques, et des nouvelles fraîches concernant le monde et la répression à l'encontre des pédophiles. Le PAN est un produit 100% pédophile, de sa conception à son contenu, et les contributeurs sont eux-mêmes d'authentiques boy-lover comme le plus fidèle d'entre eux, le sénateur hollandais Edward Brongersma. Après avoir suivi une formation de droit il s'est tourné vers la politique puis l'écriture et le militantisme pro-pédophile, suite à sa condamnation pour pédophilie en 1950.16 Edward Brongersma est l'auteur d'un ouvrage en deux volumes s'intitulant « Loving Boys »17 édité par Coltsfoot Press à la fin des années 1980. Les deux volumes ont été préfacé par le kinseyiste Vern Bullough. Parmi les encouragements adressés à l'auteur au début de son ouvrage, nous pouvons lire celui de Warren Middleton18  évoquant le 1er opus en ces termes : « clairement destiné à devenir un travail de référence sur le sujet ''boy-love'' ».


En 1979, il créa une fondation dédiée à la pédophilie « Edward Brongersma Stichting » regroupant une importante collection de matériels, écrits, images et vidéos. Elle était basée à Overveen, un village situé à moins de 10 kilomètres de la station balnéaire Zandvoort.19 Un grand esprit en cachant souvent un autre, nous retrouvons Edward Brongersma dans plusieurs livres de son ami Gabriel Matzneff,20 avec qui il fêta la fin de l'année 1976. Enfin, en 1950, Edward Brongersma fut condamné à 10 mois de prison pour avoir eu des relations sexuelles avec un jeune homme âgé de 16 ans alors qu'à cette époque la majorité sexuelle était fixée à 21 ans en Hollande.21 Quelques années plus tard, il se délecta d'avoir pu participer au vote pour l'abrogation de la loi qui l'avait précédemment condamnée. En 1998, à l'âge de 86 ans, il se suicida par euthanasie avec pour toile de fond les nombreux scandales pédophiles qui ont émaillés les années 1990, notamment l'affaire Zandvoort dans laquelle nous retrouvons Edward Brongersma.22


Frits Bernard était un psychologue et sexologue hollandais qui a milité en faveur de la pédophilie. Il est à l'origine de la création du premier lobby pro-pédophile avec Enclave Kring fin des années 1950. Lui aussi a créé une fondation pour archiver toutes ses recherches en relation avec la pédophilie, The Frits Bernard Stichting, à Rotterdam en 1976.23 Il a été membre du COC qui lui permettait de véhiculer ses idées pro-pédophiles à travers leur revue, notamment un article au titre explicite « About Paedophilia » publié en 1962. Tout comme son homologue Edward Brongersma, son nom figure dans de nombreuses revues pro-pédophiles qu'il serait fastidieux d'énumérer.


Le PAN magazine à la fois « éclairant » et « polémique », avec des rédacteurs n'hésitant pas à « nommer les noms (ndlr : sauf ceux de nombreux pédophiles) et à donner les dates et les lieux ». L'équipe de PAN tenta également d'être divertissante en offrant des fictions ou encore des conseils de voyage et de lecture à ses fidèles abonnés. Au fil des pages et des numéros du PAN magazine, nous trouvons des références aux travaux d'Alfred kinsey et à son héritage. Il apparaît évident que les pédophiles sont des kinseyistes. Quant à cette prétention à vouloir dénoncer la kabbale dont ils seraient victimes tout en se prévalent de protéger les pédophiles, elle est pour le moins ubuesque. D'autant plus que l'utilisation poussive d'alias sèment parfois la confusion mais avec un peu de patience, nous sommes en mesure de reconstituer le puzzle. Simplifions, voici un pan du réseau pédophile pour lequel John Stamford a été inculpé en Belgique :


Synthèse

Spartacus > Coltsfoot Press Inc. > PAN magazine
Le guide du tourisme sexuel + la PANbible du pédophile

Business manager Spartacus = Peter Glencross
Editeur PAN = John Stamford
Directeur exécutif PAN = Frank Torey
Contributeur récurrent à quasi tous les numéros = Edward Brongersma







Les associés de John Stamford


Le mystérieux homonyme Glencross est assez troublant puisque nous avons deux Glencross portant des prénoms différents. Le premier est Peter Glencross, un britannique né en 1933 et proche de John Stamford puisqu'il a été le business manager de l'entreprise Spartacus. Durant les années 1970 Peter Glencross a aussi été responsable de plusieurs établissements londoniens réservés à la clientèle homosexuelle. Mais il fut renvoyé car il s'en servait comme couverture pour l'organisation Spartacus.24Le second était le curé Nicolas Glencross né en 1913, il prêchait la bonne parole dans une paroisse située à Saint-Léger-des-Vignes dans la Nièvre. Le curé Glencross avait aménagé une partie de son presbytère en un studio de pornographie infantile.


Deux Glencross partageant le même intérêt pour la pédophilie mais avec un prénom différent, ainsi que leur métier et leur domicile, comment est-ce possible ? Une double vie ou deux hommes distincts ? L'information n'existe pas dans les médias ou sur internet mais il semblerait que Nicolas Glencross soit en réalité l'oncle paternel de Peter Glencross.25 A partir d'ici l'entreprise Spartacus a des gênes familiaux mais qui sont les Glencross ? Le mystère reste entier. Hubert Védrine, un énarque, a été conseiller municipal de la Nièvre entre 1977 et 1990 et ancien porte-parole du président Mitterrand à l’Élysée. Son père Jean Védrine a été un proche du président Mitterrand, lui-même élu de la Nièvre pendant plusieurs décennies entre 1940 et 1970. Pour devenir éligible dans la Nièvre Hubert Védrine avait besoin d'une adresse, par le truchement de relations le président Mitterrand lui dégota celle du curé pédophile Nicolas Glencross à Saint-Léger-des-Vignes, un petit village comptant moins de 2.000 habitants. Nicolas Glencross a été écroué à Fresnes en 1990, il décède au mois de décembre 1991.26 Quant à son neveu, Peter Glencross, il serait mort en 1991 pour certains et pour d'autres il serait vivant, à Brighton. Comment se fait-il qu'une telle information soit indisponible ou incertaine en 2017 ? Que sont réellement devenus les Glencross ?



Qui était celui qui a collaboré avec John Stamford dans le PAN magazine pendant au minimum 6 ans, le dénommé Frank Torey ? Frank Torey est né en 1928, de son vrai nom Francis D. Shelden, un
millionnaire originaire d'Ann Arbor dans le Michigan. Cet homme siégea à de nombreux conseils d'administration au sein d'association en relation avec la protection de l'enfance.27 Publiquement Francis D. Shelden affichait l'apparence d'un saint-homme, un philanthrope dévoué à la cause des enfants. En réalité Francis Shelden a été l'un des détonateurs de « la chasse aux sorcières » menées contre les pédophiles par la police fédérale américaine, comme décrit par les auteurs du Pan magazine, et déclenchée aux États-Unis dans les années 1970. Franchis Shelden était un pédophile en fuite, producteur de film pédopornographique, séances photos, au-delà de la perversion c'était aussi un business lucratif profitant de l'exploitation sexuelle infantile.


Francis Shelden était le propriétaire de l'île de North Fox, située dans le lac Michigan, aménagée avec une piste d'atterrissage. Entre 1975 et 1977, dans cet endroit paradisiaque et isolé, il avait créé la Brother Paul's Children's Mission, chargée d'accueillir des enfants âgées entre 7 ans et 16 ans afin de prévenir la délinquance juvénile. La prise en charge éducative et para-médicale était basée sur une philosophie axée autour de la naturopathie et du naturalisme. Les enfants accueillis étaient et traités avec de l'herbe et des manipulations physiques. Ce camp naturiste a été géré par Gerald S. Richards, lui-même naturopathe, jusqu'à son arrestation en 1976.


Après son interpellation au mois de juillet 1976, Gerald Richards collabora avec les autorités alors que deux de ses anciens acolytes prenaient la fuite, Dyer Grossman et Francis Shelden. Les trois hommes étaient accusés de faits quasi similaires en relation avec la pédophilie mais seul Gerald Richards a pu être arrêté puis jugé. Peu après, Francis Shelden fuyait le territoire américain et changea d'identité, devenant Frank Torey. Nous retrouvons sa trace au mois de juin 1979 comme directeur exécutif du PAN magazine aux côtés de John Stamford et de tout le gratin pédophile. Quelle coïncidence incroyable, après avoir commis ses crimes sur l'île de North Fox, Francis Shelden se retrouvait parachuté à la tête d'une nouvelle revue périodique pédophile, le PAN magazine, la vitrine pédophile de l'entreprise Spartacus. Six ans plus tard, Frank Torey cessa sa collaboration avec John Stamford, mettant fin à la publication du PAN Magazine. Dès 1984, Frank Torey fonda une maison d'éditions à Amsterdam, The Acolyte Reader,28 pour promouvoir la pédophilie jusqu'à sa mort officielle en 1996. Bon nombre des auteurs du PAN magazine le suivirent dans cette nouvelle aventure mais cette fois-ci sans John Stamford. Toute cette littérature, ces pseudos fictions impliquant des enfants, est le fruit de leurs expériences comme nous le verrons plus loin avec un français, Gabriel Matzneff.


Gerald Richards a ainsi « balancé » ses anciens partenaires, Adam Starchild,29 un spécialiste de la fiscalité et de l'arnaque financière, un riche new-yorkais Dyer Grossman, et le millionnaire Francis Shelden qui aurait également été un contributeur du magazine pédophile Better Life Monthly.30 Gerald Richards a décrit le réseau aux forces de polices, il a même dessiné un schéma illustrant la constitution de la Brother Paul's Children's Mission sur l'île de North Fox.31 Le piteux Gerald Richards était surnommé « Brother Paul » par le magazine de Francis Shelden, le PAN magazine qui dénonce et donne les noms. Il était décrit comme un déséquilibré notoire mais alors pourquoi avoir monté un réseau pédophile avec un fou ? Les aveux de Gerald Richards ont conduit les enquêteurs à trois autres organisations :


  • The Church of the New Revelation dans le New-Jersey 1974.32
  • The Ocean Living Institute dans le New-Jersey 1974.
  • Educational Foundation for Youth dans l'Illinois.


Ces associations n'étaient que des façades afin de dissimuler et assurer la viabilité des activités de la Brother Paul's Children's Mission, le projet de Francis Shelden mené en collaboration avec Dyer Grossman et Adam Starchild. Et dans le rôle du fusible, Gerald Richards qui dirigeait la structure basée sur une île devenue le cœur d'un réseau pédophile incluant abus sexuels, exploitation sexuelle par la pornographie voire proxénétisme. La piste menant au camp de la Brother Paul's Children's Mission remonte dans l'état du Tennessee, dans une ferme non loin d'Alto. Le révérend Claudius Ira Vermilye dit « Bud » a été arrêté peu avant noël 1976 pour des faits de pédophilie, là encore tout l'attirail a été retrouvé par les forces de police, photos, vidéos. Ainsi qu'une liste de contacts, « sponsors », soutiens, membres du club de la pédophilie locale et régionale, parmi lesquels figuraient le millionnaire du Michigan, Francis Shelden. En 1977 l'administration Carter promulguait la loi Protection of Children Against Sexual Exploitation afin de réprimer plus sévèrement l'exploitation sexuelle des enfants. Cette même année, un comité sénatoriale produisit plusieurs audiences sur le thème de l'exploitation sexuelle des enfants. Les informations relatives au réseau du Michigan proviennent de ce rapport sénatoriale réalisé en 1977.


réseau pédophile international = SPARTACUS 70' 86'

Stamford
GLENCROSS x 2 (Peter en Hollande + Tonton Nicolas en France)
Shelden/Torey

réseau pédophile du Michigan = Brother Paul's Children's Mission 75' 77'

Francis Shelden/Torey>fuite
Dyer Grossman>fuite
Gerald S. Richards>condamné
Adam Starchild>fuite



Le sergent Lloyd Martin fut membre des forces de police de Los-Angeles, responsable de l'unité chargée de traquer les pédophiles ainsi que leurs clients puisque leurs organisateurs tiraient de substantiels bénéfices en exploitant des enfants. L'unité de Lloyd Martin a accompli un travail relativement remarquable après sa création au moins d'octobre 1976 mais rapidement il apparut que le système de sanction prévu par la justice était inefficient à faire cesser la prolifération de la pédopornographie. Arrestations, libération sur parole, sous caution ou soutien psychologique puis libération ou modique condamnation puis libération, un système fortement laxiste à l'égard de ces criminels.


La première prise du sergent Martin a été celle d'un important producteur et distributeur de film pédopornographique à Hollywood, Californie. Guy Strait a été arrêté et incarcéré en 1973 pour ces faits. Les forces de police française ont également pu bénéficier des informations de Lloyd Martin pour procéder à l'arrestation d'un pédophile récidiviste français en 1978, le pathologique Jacques Dugué sévissant à Saint-Ouen. C'est à la suite d'une perquisition au domicile d'« Henry Johnson » à Los-Angeles que les forces de police établirent le lien entre les deux hommes grâce à une correspondance qu'entretenait les deux hommes.33 Lloyd Martin était devenu un véritable cauchemar pour les pédophiles et aussi l'une des cibles privilégiées du PAN magazine qui ne savait se montrer élogieux qu'à l'égard des pédophiles. Jacques Dugué a bénéficié de toute la sollicitude que les pédophiles étaient en droit d'attendre du PAN magazine comme Claude Sigala, Gilbert Villerot ou Gabriel Matzneff, sans oublier les pro-pédophiles René Schérer et Guy Hocquenheim, pour n'évoquer que certains français.


Gabriel Matzneff34 incarne à lui seul le kinseyisme dans toute sa splendeur, à la fois bisexuel, polygame et pédophile.35 La découverte d'un livre intitulé « Les moins de 16 ans » de Gabriel Matzneff devrait éclairer plus d'un curieux sur les sources d'inspiration et les mœurs de cet individu. Jusqu'à preuve du contraire, il s'agit là des confessions d'un pédophile36 qui a cherché à magnifier et à banaliser la pédophilie depuis des décennies. Paraît-il que monsieur Matzneff sait écrire, qu'il manie le verbe et sa plume comme un cow-boy maîtrise le taureau avec son lasso, paraît-il qu'il est même satisfait de son passé, il ne renie rien. N'est-ce pas une manière de s'ériger comme une voie à suivre ? Regardez-moi, j'ai corrompu des dizaines de mineur(e)s, et je suis satisfait ! Si vous avez les mêmes pulsions, n'hésitez pas puisque j'ai pu faire ça toute ma vie en toute impunité. Est-ce là le genre de discours qu'il faille véhiculer à notre jeune génération pour qu'il s'épanouisse ?


Un être humain peut s'épanouir sans sexualité mais pas en l'absence de passion,37 de plus la sexualité sans passion est vaine. Gabriel Matzneff est un kinseyiste hédoniste, pur et dur, autrement dit un pervers sexuel, qui n'a eu de cesse de multiplier les escapades sexuelles tout au long de sa vie, passant d'une jeune fille à un jeune garçon, au gré de ses pulsions et de ses voyages. Il s'en vantait et s'en servait même pour faire carrière puisque ses écrits sont inspirés de ses frasques sexuelles. Son mariage a été un échec car il a tenté d'imposer ses déviances à sa femme, un ménage à trois avec un jeune collégien,38 ils divorcèrent en 1973. Et c'est seulement après qu'il débuta l'écriture de « Les moins de 16 ans ». Mais ce livre au titre évocateur n'est qu'un détail dans ce foutoir que Gabriel Matzneff appelle littérature et à travers lequel il idéalise et magnifie la pédophilie. Or, jamais il n'y a de débat sur le consentement, sur le discernement, sur la maturité, sur les neurosciences, Matzneff n'est qu'un hédoniste, un profiteur, un opportuniste qui croit savoir de quoi il parle car il a corrompu des mineur(e)s tout au long de sa vie. Est-il seulement parent d'un enfant ?


Gabriel Matzneff est un homme qui aimait être écouté, regardé, et captiver les adolescent(e)s, des proies faciles disposées à boire son charabia visant à les corrompre. En substance cela pouvait donner, moi Gabriel Matzneff j'ai voyagé de Venise à Alger en passant par Manille et Ceylan, moi Gabriel Matzneff a pour ami Henry de Montherlant,39 moi Gabriel Matzneff peut te faire voyager, et moi et moi et moi... je peux te rendre célèbre en écrivant notre histoire d'amour, n'est-ce pas romantique ? Le manipulateur par excellence, David Hamilton se servait de son appareil photographique pour se planquer derrière son objectif et ainsi exprimer librement son vice alors que Gabriel Matzneff se servait d'une feuille et d'un stylo. Aucune différence. Les défenseurs de Matzneff sont comme lui ou des personnes qui fantasment à travers lui car elles n'osent pas faire comme lui. Autrement dit ce sont des personnes aux valeurs humaines brinquebalantes et mal définies.


Gabriel Matzneff a surnommé sa course effrénée du plaisir le « Galop d'enfer », c'est-à-dire la multiplication d'aventures simultanées avec des jeunes filles, parfois même à plusieurs. C'est dans ce contexte qu'il fut interpellé dans l'affaire du Coral, sur dénonciation calomnieuse et à cause de ses chefs d’œuvre littéraire. Il faut comprendre que Gabriel Matzneff a forniqué dans les quatre coins du monde en le criant haut et fort, sans jamais être inquiété... Toutes consentantes mais surtout manipulées par celui qui voyageait régulièrement à Manille, Ceylan (Sri Lanka), Marrakech, des endroits réputés pour le tourisme selon le guide Spartacus et le PAN magazine que Gabriel Matzneff connaissait parfaitement.


Que nous a raconté finalement Gabriel Matzneff durant toutes ces années ? Pardonnez-moi mais il nous a évoqué l'histoire de son sexe en long en large et diagonale. Les mystères de la vie décrypté par Gabriel Matzneff à travers la sexualité ou le mystère de la disparition du numéro 3740 de la revue Recherches ? Une publication datant de 1979 traitant de la pédophilie, finalement censurée par la direction de la revue après les années 1980. Gabriel Matzneff a participé à la conception du numéro 37 aux côtés du pédophile condamné Gilbert Villerot, de René Schérer et Jean-Luc Hennig, journaliste pour Libération durant cette période. Nous pouvons remercier l'édition du numéro 2 de PAN magazine pour cette information non disponible sur le propre site de l'éditeur Recherches.41 Finalement les pédophiles ont une utilité, ils se pointent du doigt les uns et les autres et ont une certaine tendance à s'aimanter. Nous retrouvons les malheurs de Gabriel Matzneff plusieurs fois évoquéé par le PAN magazine,42 l'un des relais de propagande utilisé par son ami Edward Brongersma. Finalement la boucle est bouclée...






Nous avons donc vu dans cet article le réseau pédophile qui peut être résumé ainsi :

  1. L'idéologie est le kinseyisme, c'est-à-dire la libération sexuelle de tous les pratiques sexuelles...
  2. Historique de la création des mouvements gays, fin des années 1940 aux années 1990.
  3. Enclave Kring première association pédophile à Rotterdam 1948 de Frits Bernard.
  4. L'entreprise Spartacus créée en 1970 est sans doute l'apex du réseau pédophile.

Nous allons conclure avec les faits suivants :

  1. Création de l'ILGA à Coventry en Grande-Bretagne durant l'année 1978.
  2. L'ONU expulse l'ILGA pour accointances pédophiles en 1994. 
  3. Réintégration de l'ILGA au sein de l'ONU en 2011.
  4. Intégration du Kinsey Institute au sein de l'ONU en 2014.

SOURCES :

1La correspondance entretenue entre Alfred Kinsey et Fritz von Balluseck constitue un réseau, deux personnes qui s'échangent des informations sur la pédophilie. Idem concernant le cas Rex King.
2Histoire de Steven Stayner et Timothy White kidnappés et abusés par le pédophile Kenneth Pardell. Le jeune Steven Stayner devenu trop âgé pour Kenneth Pardell a été remplacé par Timothy White. Plus tard, c'est le frère de Steven, Cary, qui était condamné à mort pour les meurtres de quatre femmes en 2001, dont deux jeunes adolescentes. Le dénommé Cary Stayner a fourni ses aveux en espérant obtenir des forces de polices du matériel pédopornographique qu'il aurait pu emmener dans sa cellule...
3Psychopathia Sexualis de Richard von Krafft-Ebing, 1886.
4Paedophile Liberation in Holland, interview de Frits Bernard, PAN magazine, numéro 1, pages 15 à 18, juin 1979. Dans cette interview Frits Bernard a su être à la fois franc et équivoque quand cela était nécessaire afin de ne pas nuire au mouvement homosexuel du COC. Il n'a pas nié la pédophilie de Jaap van Leeuwen alias Arent van Santhorst lorsqu'on lui a posé la question alors que pour d'autres il a su se montré catégorique.
La première association militant pour les droits des homosexuels en Hollande a été le fruit de Jacob Schorer, un élève de Magnus Hirschfeld. Le COC a été bâti sur les cendres de la NWHK 1912-1940.
5Edward Brongersma est l'auteur de deux volumes sur la pédophilie, Loving Boys, pas moins de 28 références à Alfred Kinsey dans son ouvrage.
6La newsletter Minor Problems du PIE a été domiciliée à l'adresse de Ian Dunn durant une année.
7Il s'envole pour les Pays-Bas à Assen en 1984 pendant que David Joy (PIE) et Peter Bremner (PIE) sont jugés pour diffusion de matériel obscène puis condamné respectivement à 18 mois et 6 mois de prison.
8Philippe Carpentier condamné dans l'affaire du CRIES (UNICEF) et Michel Caignet pour ses publications et le réseau Toro Bravo.
9David Norris, Peter Ashman (CHE), Jeff Dudgeon, Rob Pistor (COC) parmi 30 hommes.
10Avec leur groupe ILIS, les lesbiennes ont fait scission hors de la sphère de l'IGA.
11Nous pourrions ergoter sur un phénomène « girl-love » ou « Lolita » purement hétérosexuel mais il n'a jamais vu le jour contraitement au phénomène « boy-love ».
12Le Soir : Turnhout : 6 heures de lecture n'ont pas suffi au prévenu pédophile, Marc Metdepenningen, 23 février 1995.
13Le Soir : Mort du rédacteur en chef de la revue gay Spartacus, BELGA, 30 décembre 1995.
Aucune information sur le motif de son hospitalisation s'il est bien mort à l'hôpital comme l'affirme la presse.
14Scandale pédophile londonien portant le même nom : Elm Guest House.
16Relation sexuelle avec un adolescent de 16 ans alors qu'Edward Brongersma était âgé de 39 ans, à l'époque la loi hollandaise autorisait les rapports sexuels entre deux personnes du même sexe à partir de 21 ans.
1728 références à Kinsey dans le volume 2.
18Warren Middleton alias John Parratt a été vice-président du PIE.
Loving Boys Vol. 1 par Edward Brongersma, décembre 1986.
Dans ce premier volume, l'auteur remercie les trois correcteurs de son manuscrit, l'un d'entre eux était Frank Torey, page 13. Ce volume contient 41 références à Kinsey.
Loving Boys Vol. 2 par Edward Brongersma, avril 1990. Ce second et dernier volume contient 28 références à Kinsey.
19Zandvoort est le nom d'une station balnéaire hollandaise et c'est aussi le nom d'un scandale pédophile durant les années 1990, impliquant Gerrit Ulrich, plusieurs CD's de ZANDVOORT, au sein même de cette station balnéaire, à une dizaine de kilomètres de la fondation Brongersma.
20Matzneff, Brongersma, et leurs aventures à Manille, capitale des Philippines, un pays propice à la prostitution infantile.
21L'adolescent avait 16 ans, non pas 17 ans comme suggéré par de nombreuses sources. L'âge de l'adolescent apparaît dans le volume 2 de « Loving Boys ».
22Euthanasie assistée par le docteur Philip Sutorius.
23La troisième fondation est celle de Wolfgang Tomasek à Munich en Allemagne.
24Sunday People : The evil men behind child sex empire, Roger Insall, 16 juin 1985.
25John Christopher Glencross (1909-1993) est à la fois le père de Peter Glencross (1939-1991 ?) et le frère du curé Nicholas Henry Petrock Glencross (1913-1991 ?). Peter Glencross est issu d'une fraterie composé de 10 enfants.
27Boys Republic ou Cranbrook Institute of Science, page 85.
28Frank Torey alias Francis Shelden écrivait sous le nom de Jotham Lothring pour The Acolyte Reader.
29Sa véritable identité est Malcolm Willis McConahy, avec cette identité il a été compromis dans une affaire de relations sexuelles avec un mineur de 16 ans.
30Ce magazine californien a été contraint de fermer en 1976. A l'époque il en existait trois : Better Life Monthly, Hermes et The Broad Street Journal.
31La Brother Paul's Children's Mission a été fondé le 18 juin 1975 et sa dissolution est intervenue le 1er octobre 1978, Port Huron, Michigan.
33Il apparaît probable que le dénommé Henry Johnson soit un alias puisque cette information provient du PAN magazine. Or, si leurs intérêts peuvent être mis en balance, ils emploient des alias comme cela a été fait dans l'affaire du Michigan impliquant Frank Torey, il surnomma Gerald Richards Brother Paul.
34Ecrivain français âgé de 81 ans, il a été récompensé du prix Renaudot 2013
Il a été un proche ami d'Henri de Montherlant, un autre pédophile de renom hissé au panthéon de l'Histoire, certainement plus chanceux que le défunt Edward Brongersma qui s'est finalement suicidé par euthanasie, ne pouvant plus assumer le harcèlement dont il était victime. En cause, la fameuse hystérie collective des parents qui refusent de confier leurs enfants à des pervers qui s'en prennent sexuellement aux enfants des autres afin de les libérer de l'oppression de leurs parents. Les pédophiles sont des libérateurs... Le motif du suicide de Montherlant était lié à une cécité menaçante, ce qui l'aurait empêché d'admirer les jeunes garçons aux Tuileries, autant dire que sa vie aurait perdu tout son sens.
35La bisexualité est la référence pour Alfred Kinsey comme il l'a défini arbitrairement avec l'échelle de Kinsey.
36Extrait de Gabriel Matzneff dans Vingt ans après, livret publié par les éditions de la Table Ronde en 1985 :
''Moi, c'est le contraire : ce sont mes aventures, mes amours, mes épreuves, ma connaissance des êtres et du monde, qui nourrissent et irriguent mon travail. Pour écrire, j'ai besoin de vivre à fond les passions contradictoires qui m'habitent.''
37Une passion au sens large, une occupation qui nourrit l'être humain en somme.
38Un jeune collégien anglais Mike M. qu'il rencontra en 1972 chez le père Struve, un proche ami. C'était déjà chez le père Struve que Matzneff avait rencontré sa future femme Tatiana...
39Henry de Montherlant est également un pédophile qui a reçu des prix littéraires comme son pygmalion Matzneff.
40Recherches numéro 37 publié au mois d'avril 1979, intitulé ''Fous d'enfance, qui a peur des pédophiles ?'' exclusivement sur la thématique pédophile. Le contenu était le suivant : un article de René Schérer ''A propos de la pédophilie'', des poèmes du ''très talentueux'' Matzneff, des travaux de Gilbert Villerot et une courte histoire de Jean-Luc Hennig.
41Le PAN magazine fournit les auteurs alors que le site des éditions Recherches uniquement le titre de l'article sans leurs contributeurs.
42PAN magazine numéros 2, 9, 13 et 16, cité aux côtés d'autres pédophiles ou pro-pédophiles français comme Roger Peyreffite, Tony Duvert ou René Schérer.

Et le site spotlightonabuse qui rassemble des documents à propos du PIE, de John Stamford et de Francis Shelden. Nous pouvons lire certains articles de Marylin Wright tant critiquée par le PAN magazine puisqu'elle expose Francis Shelden et son visage.


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Frank D.

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