La PMA pour toutes concerne des MILLIONS de femmes !

Dix jours après le déconfinement, Gilles Le Gendre a tenu à rassurer le lobby LGBT au sujet de la PMA pour toutes, cette grande avancée sociale qui concerne une minorité et ouvrira les portes à la GPA pour tous. L'indécence portée à son paroxysme étant donné les crises sanitaires et économiques qui touchent le monde entier. Il s'est exprimé à ce sujet sur Twitter, ce site très critiqué avant que toute l'élite française ne s'y installe. Il nous annonce que la PMA pour toutes sera bientôt adoptée. Ainsi après la perversion de nos mœurs, voici la perversion du droit qui ne légifère plus la norme mais l'exception. Les déviants sexuels représentent une minorité d'agités oscillant entre 1 à 2 millions d'individus en France (1 à 4%) alors que les handicapés dont tout le monde se moquent éperdument sauf pour faire de la démagogie représente environ 10 millions de personnes en France. En terme d'accessibilité, de visibilité et d'insertion, nous avons encore d'énormes progrès à faire pour les personnes handicapées. La différence fondamentale entre les handicapées et le lobby LGBT n'est pas leur nombre mais leur niveau de revenu. Autre perversion du droit, substituer le droit de l'enfant par le droit à l'enfant, autrement dit l'enfant sujet devient un objet. Le socle de la protection de l'enfance repose sur l'article 371-1 du code civil qui met en avant l'intérêt de l'enfant donc les droits de l'enfant.

Les fanatiques LGBT soulignent le fait que personne n'avait critiqué la légalisation de la PMA en 2004 pour les couples normaux mais infertiles. Cet argument est totalement fallacieux puisque la PMA pour toutes profiterait en majorité à des femmes dont le corps est parfaitement fonctionnel pour procréer sans aucune assistance médicale. De plus un couple normal offre potentiellement toutes les chances à leur futur enfant d'avoir un développement équilibré à travers l'image d'une représentation familiale normale, une chance non garantie par une femme seule ou un couple de lesbiennes. La base d'une famille est et restera un homme, une femme et leurs enfants sinon nous ne serions pas là pour palabrer.

Pendant que les fanatiques LGBT militent pour interdire les thérapies de conversion, ils ne disent rien sur le conditionnement massif déjà évoqué sur ce blog visant à banaliser les déviances sexuelles à travers la sphère médiatico-culturelle qui convertit la jeunesse à la doctrine kinseyiste. Une doctrine encore méconnue du grand public et sur laquelle repose l'idéologie LGBT, celle du tout sexuel. Pour la jeunesse tout cela est normal et les critiques sont systématiquement associées à l'homophobie. Le transsexualisme est également vulgarisé et encouragé. Aujourd'hui des parents peuvent être confrontés à la demande de leur enfant désirant prendre des hormones pour transformer leur corps afin de changer de sexe. Le progrès est en marche. Un point commun à toutes ces revendications, il n'est jamais question de spiritualité, tout concerne le corps et le sexe.

J'ai découvert que le 17 mai était une journée mondiale consacrée à la lutte contre l'homophobie, en plus de la Gay Pride organisée en France chaque année au mois de Juin. Quand ce charivari cessera t-il ? Quand allons nous revenir à de saines valeurs que sont l'éducation, la santé, le droit et la sécurité ? Quand le droit français va t-il revenir à la notion de norme plutôt qu'à celle de l'exception ?

L'amour n'a rien à voir avec une quelconque forme de sexualité, je citerai pour cela plusieurs exemples, l'amour parental ou l'amour de son prochain, c'est à dire l'empathie pratiquée dans les secteurs de la santé et du médico social entre le professionnel et la personne prise en charge. Nous pourrions aussi parler de l'amour d'un métier, passion et dévouement au travail. Les affinités que les personnes ressentent envers une femme ou un homme n'ont également rien à voir avec la sexualité, il s'agit de liens basés sur des points communs, des ressemblances, ne concernant nullement la sexualité. En conséquence le militantisme LGBT est à l'antinomie de l'amour, il s'agit de légitimer toutes les déviances sexuelles en vertu du kinseyisme. En somme il serait temps de faire cesser l'amalgame, amour, sexualité, porté fièrement et benoîtement par toutes les associations LGBT.

Voici deux déclarations exprimées par quelques cautions intellectuelles du lobby LGBT diffusées via Twitter et en relation avec la PMA pour toutes :

Des "millions de femmes", un propos propagandiste qui a pour vocation à dissimuler la réalité en légiférant l'exception. La propagande à l'épreuve des chiffres, mes sources sont l'INSEE, l'INSERM et l'objectivité. Tout d'abord nous avons 34 millions de femmes en France tout âge confondu, celles qui sont en capacité de procréer légalement et à un âge convenable constituent 9 millions de femmes âgées entre 18 ans et 40 ans. Or l'âge moyen de la première grossesse menée à terme en France est de 28 ans, cela nous donne 5,5 millions de femmes. Le lobby LGBT considère t-il toutes ces femmes comme des lesbiennes ? Parmi le lobby LGBT les lesbiennes ont toujours été une minorité en comparaison des gays or nous avons en France une population LGBT oscillant entre 1 à 4%.

Pouvons-nous considérer un nourrisson, un enfant ou un adolescent comme ayant une sexualité stable ? Non, c'est pourquoi nous allons donc prendre la "majorité sexuelle" comme point de référence c'est-à-dire 15 ans pour comptabiliser la population LGBT. Cela représente 55 millions d'hommes et de femmes âgés entre 15 et plus de 100 ans. La fourchette citée précédemment (1 à 4% de LGBT) appliqué au large échantillon de 55 millions nous donne 550 000 à 2,2 millions de personnes LGBT. En étant fort aimable nous aurions 1,1 million de femmes lesbiennes en France sans considérer qu'elles sont une minorité au sein du lobby LGBT. Or s'il s'agit bien de couples lesbiennes nous devons diviser ce nombre par deux, soit 550 000 lesbiennes. Alors où sont ces millions de femmes ?

Revenons à la PMA, le nombre de PMA en 2015 pour des couples normaux mais infertiles s'élève à 145 000 tentatives pour 25 000 naissances. Autrement dit un maximum de 25 000 femmes ont eu recours à une PMA, même moins car parmi elles certaines ont donné naissance à des fratries. Si la PMA pour toutes venait à être votée alors nous devrions voir le nombre de PMA explosé pour dépasser largement le million si nous écoutons les esprits lumineux et rigoureux du lobby LGBT. Prenons les paris !

Pour conclure, voici une image illustrant le sketch perpétuel de ces extrémistes fanatisés par une idéologie stigmatisant toute opinion critique. Quel est le comble du pédé ? Pratiquer ce qu'il nomme homophobie, revisité depuis peu en lesbophobie, biphobie, transphobie et finalement LGBTphobie. Cette dernière est une énormité. Nous pouvons dorénavant être phobique d'une association, ces pédés sont fascinants.

Frank D.