Twitter : coupure du relais des émeutiers français

Le patron de Twitter, Elon Musk, siffle la fin de partie pour les jeunes émeutiers. Le jeu est terminé. Game Over comme dans leurs jeux vidéos Gran Thief Auto V, Counter Strike et ses descendants Call of Duty ou Fortnite. Le concours de popularité de ces jeunes narcissiques s'achève par le coup de sifflet de l'arbitre Elon Musk, limitant temporairement à la lecture le nombre de tweets journaliers. Le contenu du hashtag #emeutes a aussi été expurgé de moitié, passant de 1 million de tweets à 500.000 tweets.

Profitons de cet instant pour faire une mise au point :

• Sur le nombre de décès annuel consécutif à un refus d'obtempérer.
• Sur les chiffres du nombre annuel de décès consécutif à une intervention policière.

Nombre de refus d'obtempérer annuel :

27.700 partagés entre police et gendarmerie.

13.850 pour la police en répartissant équitablement.

13 décès constatés en 2022 qui représentent 0,09 % du nombre de refus d'obtempérer géré par la police.

0,09% = épiphénomène

(Ce chiffre brut est une estimation haute car sans aucune analyse des cas de légitime défense qui sont majoritaires).

Décès consécutifs à une intervention policière :

88 décès en 10 ans des suites d'une intervention policière (2005-2015), source Amal Bentounsi (anti-police).

Soit 10 décès par an = épiphénomène

(Ce chiffre a été arrondi à la dizaine supérieure sans aucune analyse des cas de légitime défense).

Ce chiffre rapporté à la mortalité annuelle en France représente 0,0016% de décès liés aux interventions policières par an.

Environ 600.000 décès annuel en France toute cause confondue.

10 décès par an des suites d'une intervention policière.

0,0016% de décès liés aux interventions policières par an = épiphénomène

AUCUNE NOTION D’ORDRE SYSTÉMIQUE

Soulignons la différence entre un refus d'obtempérer et un délit de fuite.

Le premier est source d'un potentiel danger car le chauffard met généralement la vie en danger d'autrui en fuyant les forces de l'ordre. Cela peut engendrer un homicide involontaire/volontaire en impliquant des victimes collatérales. Nahel ne fut pas loin de ce scénario avec la mise en danger d’un piéton et d’un cycliste. Le refus d'obtempérer est la conséquence d'un comportement visant à dissimuler au moins une autre violation de la loi comme l'absence de permis de conduire, le défaut d'assurance, la détention ou la consommation de stupéfiants, un taux d'alcoolémie trop élevé ou encore la détention d'armes.

Le délit de fuite provient généralement d'un accident que le chauffard fuit pour ne pas avoir à en assumer les conséquences.

L’évocation du racisme systémique dans l'affaire Nahel est une ineptie politique émanant de la galaxie LFI/NUPES. Ceux qui nient leur lien avec l’islamo-gauchisme alors que leur parti a encouragé des hordes de "wallah wallah" à incendier, piller et détruire au nom de Nahel. Il s'agit d'un délit routier ayant une conclusion dramatique mais sans rapport avec le racisme.

La preuve la plus éloquente de leur incurie intellectuelle est l'absence de mort après plusieurs jours d'émeutes. Quel paradoxe pour une police accusée de pratiquer le "racisme systémique" et d'avoir le permis de tuer. Et concernant la justice française "raciste", combien de ces énergumènes condamnera t-elle en proportion de leur nombre ? Très probablement moins de 1% puisque l'impunité est reine.

Environ 1.600 décès par jour en France, toute cause confondue. Un seul décès, celui d'un délinquant avec 15 mentions au fichier des TAJ, déclenche des émeutes.

La haine est ailleurs. La violence est chez ceux qui incendient, détruisent et pillent la France contre ceux qui la protègent, les forces de l'ordre et les pompiers.

La paix et la sérénité sont partie intégrante du savoir. L'ignorance et la violence sont partie intégrante du chaos. Il faut savoir différencier le concept systémique de l’épiphénomène, la règle de l’exception.

La police ne tue pas, elle protège.

Frank D.