Zaher Birawi : Fer de Lance de la propagande du Hamas en Europe via flottilles échouées et narratifs biaisés
Birawi a été un acteur clé dans les campagnes pro-palestiniennes depuis les années 2000. En 2009 et 2010, il a agi en tant que porte-parole des convois terrestres de Viva Palestina, une initiative britannique visant à acheminer de l’aide humanitaire à Gaza, souvent perçue comme un soutien implicite au Hamas en raison des affiliations de certains organisateurs. Ces convois ont servi de prélude aux actions maritimes de la Freedom Flotilla Coalition, qui a tenté à plusieurs reprises de briser le blocus naval israélien de Gaza. Birawi a joué un rôle central dans l’organisation, la promotion et la participation à ces flottilles, notamment en 2010 et dans les années suivantes, mobilisant des ressources et des soutiens internationaux pour ces initiatives.
La militante franco-palestinienne Rima Hassan a également contribué à amplifier la visibilité médiatique de la FFC, notamment à travers ses interventions publiques et son engagement dans des campagnes pro-palestiniennes en Europe. Et surtout en rejoignant l'équipage du Madleen au mois de juin 2025.
Organisation d’événements et rhétorique pro-Hamas
En 2019, Birawi a organisé un événement intitulé "Comprendre le Hamas", où il a présenté le mouvement comme une composante légitime de la "résistance palestinienne". Cet événement, tenu à Londres, a suscité des controverses en raison de son ton apologétique envers le Hamas. Birawi y a défendu les politiques du mouvement, les inscrivant dans une narrative de lutte contre l’occupation israélienne.Depuis octobre 2023, à la suite de l’offensive du Hamas contre Israël le 7 octobre et de la réponse militaire israélienne à Gaza, Birawi a été un organisateur majeur des manifestations pro-palestiniennes à Londres. La première grande manifestation, le 15 octobre 2023, a vu des milliers de personnes défiler sous le slogan "From the River to the Sea", souvent critiqué pour son ambiguïté et interprété par certains comme un appel à la disparition de l’État d’Israël. Lors de cet événement, Birawi a accusé Israël de commettre un "génocide" à Gaza. Une semaine plus tard, le 21 octobre 2023, lors d’une autre manifestation, il a qualifié Israël d’"État criminel colonial raciste", reprenant une rhétorique anti-israélienne courante dans certains cercles militants, qui trouve ses racines dans des discours historiques, comme ceux prononcés à l’Assemblée générale de l’ONU depuis 1956.
Liens avec Al-Hiwar TV et affiliations
Zaher Birawi est également apparu sur Al-Hiwar, une chaîne de télévision par câble basée à Londres, fondée par Azzam al-Tamimi, un intellectuel anglo-palestinien-jordanien et membre revendiqué des Frères musulmans, qui soutient publiquement le Hamas. Al-Hiwar, diffusée à l’échelle internationale, est connue pour ses contenus pro-palestiniens et son soutien à des figures et mouvements islamistes. Birawi y a animé et présenté des émissions, renforçant sa visibilité comme porte-voix de la cause palestinienne en Europe. Tamimi, quant à lui, est l’auteur de plusieurs ouvrages sur le Hamas, dont Hamas: A History from Within (2007), qui analyse le mouvement sous un angle apologétique.
Relations avec le Hamas
Birawi est souvent décrit comme un relais du Hamas en Europe, en raison de ses liens étroits avec des figures du mouvement. Une photo de 2012 le montre aux côtés d’Ismail Haniyeh, alors chef du bureau politique du Hamas, lors d’un événement à Gaza, illustrant ses connexions directes avec la direction du mouvement. Ces liens, combinés à ses activités au sein de l’EuroPal Forum et de la FFC, ont conduit plusieurs observateurs et gouvernements à le considérer comme un acteur clé dans la promotion des intérêts du Hamas en Europe.
Contexte et controverses
Les activités de Birawi, notamment son rôle dans les flottilles et les manifestations, ont suscité des critiques de la part d’Israël et de certains gouvernements occidentaux, qui l’accusent de soutenir une organisation terroriste. En 2018, le gouvernement israélien a désigné Birawi comme une figure affiliée au Hamas, l’accusant de collecter des fonds et de coordonner des activités pour le mouvement. Cependant, Birawi et ses soutiens rejettent ces accusations, affirmant que ses actions relèvent de la défense des droits des Palestiniens et de la lutte contre le blocus de Gaza.
Freedom Flotilla Coalition, position officielle et contexte opérationnel
Officiellement, la Freedom Flotilla Coalition (FFC), une coalition internationale d'organisations non gouvernementales (ONG) formée en 2010, déclare ne soutenir aucun groupe, parti ou gouvernement spécifique. Son site officiel (freedomflotilla.org) met l'accent sur une mission humanitaire neutre, axée sur la livraison d'aide à Gaza et la contestation du blocus naval israélien imposé depuis 2007. Cependant, la sphère d'intervention de la FFC se limite exclusivement à Gaza, une bande de terre entièrement sous le contrôle du Hamas depuis juin 2007, après la prise de pouvoir violente du mouvement islamiste contre les forces de Fatah (branche dominante de l'OLP). Il est donc fort improbable que toute collaboration logistique ou opérationnelle en Gaza puisse se dérouler sans l'approbation, voire la coordination, du Hamas, qui exerce un monopole sur les importations, les distributions d'aide et les accès portuaires dans la région. Des rapports d'experts en sécurité, comme ceux du Meir Amit Intelligence and Terrorism Information Center (un think tank israélien), soulignent que le Hamas utilise souvent les initiatives humanitaires pour légitimer son contrôle et détourner des ressources, rendant une neutralité totale de la FFC hautement improbable.
La FFC prétend sur son site fournir de l'aide humanitaire (médicaments, nourriture, matériel médical) et vouloir briser le blocus, qu'elle juge illégal au regard du droit international humanitaire, en dépit du Rapport Palmer de 2011 (établi par l'ONU sous l'égide du secrétaire général Ban Ki-moon, qui a conclu que le blocus était une mesure de sécurité légale et proportionnée face aux menaces terroristes du Hamas, tout en critiquant l'usage excessif de la force lors de l'interception de la flottille Mavi Marmara en 2010). De plus, en 2014, la Cour pénale internationale (CPI) n'a pas poursuivi Israël pour le blocus, estimant que les allégations de crimes de guerre ne relevaient pas de sa juridiction à ce stade. Or, la FFC n'a aucun pouvoir effectif pour briser un blocus imposé par la politique israélienne et géré par l'armée israélienne (Tsahal), qui patrouille les eaux territoriales internationales au large de Gaza.
Depuis sa création en 2010, toutes les expéditions maritimes de la Freedom Flotilla Coalition (FFC) visant à livrer de l'aide humanitaire à Gaza ont été systématiquement stoppées par des interceptions de la marine israélienne en eaux internationales, entraînant la saisie des cargaisons et, dans certains cas, des détentions ou poursuites judiciaires en Israël pour violation des restrictions maritimes imposées dans le cadre du blocus naval. Aucune aide humanitaire n’a été acheminée directement à Gaza par la FFC, soit 0 kg livré. Ces missions semblent davantage servir à accroître la visibilité médiatique des participants, tels que Rima Hassan ou Greta Thunberg, qu'à soulager la crise humanitaire à Gaza. Bien qu’aucune preuve directe ne confirme un enrichissement personnel ou un détournement systématique des fonds, l’opacité financière de la FFC et ses liens avec des partenaires controversés (comme l’UAWC, associée au FPLP) soulèvent des soupçons de possibles détournements, exploitant potentiellement la détresse des Gazaouis pour des gains politiques ou symboliques.
L'organisation FFC affirme aussi collaborer avec des partenaires de la société civile palestinienne, sous-entendant une distance totale vis-à-vis de toute forme de terrorisme. Cependant, un examen des deux partenaires cités révèle des liens sensibles avec des groupes désignés comme terroristes par plusieurs pays (États-Unis, UE, Israël, Canada).
Partenaire 1 : Union of Agricultural Work Committees (UAWC)
L'Union of Agricultural Work Committees (UAWC), accessible via https://uawc-pal.org/?lang=en, est une ONG palestinienne créée en 1986, axée sur le développement agricole, l'aide aux fermiers et la promotion de la souveraineté alimentaire dans les territoires palestiniens. Elle opère principalement en Cisjordanie et à Gaza, et est partenaire de la FFC pour la coordination locale des livraisons d'aide. Cependant, l'UAWC fait l'objet de controverses majeures en raison de ses liens présumés avec le Front populaire de libération de la Palestine (FPLP), un groupe marxiste-léniniste désigné comme organisation terroriste par les États-Unis, l'Union européenne, Israël et d'autres. Fatah, une autre faction de l'OLP (rival du FPLP), a qualifié l'UAWC d'"affilié officiel" au FPLP dans des déclarations publiques en 2021, accusant l'ONG de servir de façade pour des activités militantes. Un audit néerlandais commandé par le ministère des Affaires étrangères des Pays-Bas en 2021 (dans le cadre d'une enquête sur le financement d'ONG européennes) a identifié 34 individus occupant des postes simultanés dans l'UAWC et le FPLP entre 2007 et 2020, confirmant des chevauchements structurels et financiers. Le FPLP est historiquement reconnu pour ses actes terroristes, notamment le détournement d'avions dans les années 1970 (comme l'opération Dawson's Field en 1970) et l'assassinat du ministre israélien du Tourisme Rehavam Zeevi le 17 octobre 2001 à Jérusalem, revendiqué par le FPLP. Soulignons que le FPLP a collaboré avec le Hamas à partir de la Seconde Intifada (2000-2005), formant une alliance tactique contre Israël malgré leurs idéologies divergentes (séculaire vs. islamiste). Après les attaques du 7 octobre 2023 (offensive du Hamas contre Israël, causant environ 1 200 morts et 250 otages), le FPLP a revendiqué une participation aux assauts, via des déclarations officielles sur ses sites et Telegram.
Plusieurs figures clés de l'UAWC sont directement impliquées dans des activités du FPLP :
- Samer Arbid, comptable de l'UAWC, est un membre du FPLP impliqué dans la mort de Rina Shnerb, une adolescente israélienne de 17 ans tuée dans un attentat à la bombe près de la vallée du Jourdain en août 2019. Arbid a été arrêté et condamné par Israël pour son rôle logistique dans l'opération.
- Abdel Razeq Farraj, directeur des finances de l'UAWC, est également membre du FPLP et impliqué dans le même attentat contre Rina Shnerb, où il aurait fourni le soutien financier et matériel pour la fabrication de l'explosif.
- Ubai Aboudi, coordinateur de projets à l'UAWC, est accusé par Israël de recrutement pour le FPLP, avec des liens documentés dans des rapports de sécurité de 2015-2020.
- Bashir al-Khairi, président du Conseil d'administration de l'UAWC jusqu'en 2011, est un leader historique du FPLP condamné à 15 ans de prison par Israël pour ses activités terroristes au sein du groupe, incluant des opérations armées dans les années 1980-1990.
- Majdi Yaghi, membre du conseil d'administration de l'UAWC, est décrit par le FPLP comme un "membre du commandement régional" et un "camarade" dans des communiqués internes du groupe, soulignant son rôle opérationnel.
Ces liens ont conduit à la suspension du financement néerlandais à l'UAWC en 2021.
Partenaire 2 : We Are Not Numbers (WANN)
We Are Not Numbers (WANN), accessible via https://wearenotnumbers.org/, est une initiative créée en 2014, visant à former des jeunes Palestiniens au journalisme citoyen pour contrer les narratifs médiatiques occidentaux sur le conflit israélo-palestinien. Elle est hébergée depuis 2015 par l'Euro-Mediterranean Human Rights Monitor (EMHRM), une ONG basée en Suisse. Incarnée par trois Palestiniens sympathisants du Hamas, dont voici une brève présentation enrichie :
- Refaat Alareer, tué à Gaza en décembre 2023 lors d'une frappe israélienne sur son domicile (avec plusieurs membres de sa famille), était poète, professeur à l'Université islamique de Gaza (institution souvent associée au Hamas) et contributeur clé de WANN. Son frère, Mohammed Rafiq Alareer, était membre de la branche armée du Hamas (Brigades Izz al-Din al-Qassam) et a été tué par une frappe israélienne en 2014. Refaat Alareer a décrit son frère comme un "martyr" dans des interviews et écrits, en minimisant son rôle dans des missions pour enfants sur Al-Aqsa TV (chaîne de télévision du Hamas, désignée comme entité terroriste par les États-Unis en 2010 pour son contenu incitant à la violence).
- Ramy Abdu, basé en Suisse, est expert financier, fondateur de l'EMHRM en 2011 (qui héberge WANN depuis 2015) et co-fondateur de WANN. Son frère, Mohammed Daoud Al-Jamasi (surnommé Abu Obeida), était lié au Hamas et employé à l'UNRWA (l'agence des Nations unies pour les réfugiés palestiniens), où il aurait servi de lien logistique ; il a été tué par une frappe israélienne avec une partie de sa famille en mars 2025. Ramy Abdu a condamné Israël pour ce "crime" dans des déclarations publiques (sur le site de l'EMHRM et X), sans préciser les liens de son frère avec le Hamas. Abdu assimile publiquement le Hamas à un "mouvement de résistance" légitime contre l'occupation, dans des interviews et rapports de son ONG.
- Ahmed Alnaouq, journaliste exilé et basé à Londres, est co-fondateur de WANN. Il avait deux frères : Ayman Alnaouq, membre de la branche armée du Hamas tué en juillet 2014 lors d'opérations à Gaza, et Muhammad Alnaouq, membre de la branche civile du Hamas (impliqué dans des activités administratives et de propagande). Ahmed Alnaouq accuse Israël de "génocide" et de "Nakba" dans ses écrits et interventions médiatiques (comme sur Al Jazeera et son blog), sans condamner les actions du Hamas, y compris les attaques du 7 octobre 2023.
Les liens familiaux indiquent une proximité culturelle et politique avec le Hamas à Gaza. Leur narratif est pro-palestinien, sans neutralité apparente : ils récitent la doctrine produite par la propagande arabe anti-israélienne depuis 77 ans, affirmant qu'Israël occupe Gaza et commet un génocide, sans jamais condamner le Hamas. Cela contraste avec des intellectuels arabes ou musulmans critiques du Hamas et de l'islamisme, comme Salman Rushdie (auteur des Versets sataniques, exilé pour fatwa), Boualem Sansal (écrivain algérien anti-islamiste et emprisonné en Algérie), Taslima Nasrin (auteure bangladaise athée fuyant les menaces islamistes), Waleed Husaini (activiste palestinien réformiste), Kamel Daoud (journaliste algérien critique de l'islam politique), Maryam Namazie (féministe ex-musulmane iranienne) ou Mona Jafarian (activiste kurde anti-islamiste), qui dénoncent les extrémismes sans équivoque.
Financement opaque et impact opérationnel
Le financement de la FFC est opaque, reposant sur des dons privés, des campagnes de crowdfunding et des subventions d'ONG européennes (comme des fonds norvégiens ou suédois via des partenaires comme Ship to Gaza), sans transparence totale sur les donateurs ou les flux financiers. Des enquêtes, comme celle de NGO Monitor ont critiqué l'absence de rapports détaillés, suggérant des risques de détournement vers des entités liées au Hamas. Entre 2008 et 2018, la FFC et ses prédécesseurs ont lancé 35 bateaux vers Gaza ; seulement 5 d'entre eux auraient atteint leur destination sans interception (pré-2010), ne modifiant en rien le contexte israélo-palestinien ni le blocus israélien, qui reste en vigueur pour des raisons de sécurité (roquettes lancées depuis Gaza, contrebande, etc.). Ces échecs ont souvent servi de plateforme propagandiste plus que d'aide effective.
Événements Récents (2025)
Conscience (mai 2025) : Le navire Conscience de la FFC a été attaqué par un drone non authentifié (attribué par la FFC à Israël, sans revendication officielle) en mai 2025 au large de Gaza, causant des dommages mineurs mais pas de blessés. L'incident a été dénoncé comme une "agression illégale" par la coalition, amplifiant leur campagne médiatique.
Flottille Madleen (1er juin 2025) : Lancée le 1er juin 2025 depuis un port turc, la flottille Madleen (nommée en hommage à une militante) a été interceptée par la marine israélienne le 9 juin 2025 dans les eaux internationales, avec saisie de la cargaison humanitaire et renvoi des activistes. Cette flottille a été promue par des influenceuses comme Rima Hassan (militante franco-palestinienne, élue européenne en 2024, connue pour ses positions pro-palestiniennes radicales) et Greta Thunberg (activiste climatique suédoise, qui a tweeté en soutien pour lier la cause environnementale à la palestinienne).
https://twitter.com/RimaHas/status/1930139092894785997
Handala (13 au 26 juillet 2025) : La mission Handala, du 13 au 26 juillet 2025, a été interceptée près de Chypre, marquant un échec supplémentaire. Deux élues de la France insoumise se trouvaient à bord.
https://twitter.com/RimaHas/status/1949537907821191462
La flottille mondiale Sumud (Global Sumud Flotilla), lancée fin août 2025, réunit environ 500 activistes répartis sur plus de 50 embarcations, avec des départs échelonnés depuis Barcelone (Espagne, 31 août), Gênes (Italie, 30 août), la Sicile (Catane/Syracuse, 4 septembre), la Grèce, Tunis (Tunisie, 4 septembre), et d'autres ports méditerranéens comme Marseille (France), pour converger vers Gaza et briser le blocus naval israélien. La France Insoumise est représentée par trois élus, dont le député Thomas Portes, qui embarquent le 4 septembre pour dénoncer le "génocide" et appeler à un corridor humanitaire. Face à une probable interception, le ministre israélien de la Sécurité nationale Itamar Ben-Gvir a annoncé un durcissement : désignation des activistes comme "terroristes", détention prolongée en prisons de haute sécurité (Ketziot et Damon, sans TV, radio ni alimentation spéciale), et saisie des bateaux pour réaffectation policière. En réponse, un syndicat représentant les dockers du port de Gênes menace Israël d'une grève massive : blocage de tous les ports européens si le contact avec les bateaux est perdu ne serait-ce que 20 minutes, transformant la solidarité en action ouvrière transnational.
Conclusion
Zaher Birawi émerge comme une figure centrale du militantisme pro-palestinien en Europe, via l'EuroPal Forum et la FFC, avec des liens avérés au Hamas et des partenaires controversés comme l'UAWC (liée au FPLP) et WANN (sympathisants Hamas). Ses actions, des convois Viva Palestina aux flottilles échouées (0 kg d'aide directe depuis 2010), soulignent une stratégie plus symbolique et propagandiste que humanitaire effective, amplifiée par des figures comme Rima Hassan et Greta Thunberg. Malgré l'opacité financière et les soupçons de détournement, ces initiatives mettent en lumière la crise de Gaza (blocus légal mais critiqué comme punitif), contrastant avec la neutralité revendiquée de la FFC. Face aux interceptions systématiques (Conscience, Madleen, Handala, Sumud en 2025), elles exploitent la détresse gazaouie pour des gains politiques, sans améliorer la condition des palestiniens.
Frank D.
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