Macron et la lutte contre la pédopornographie (discours UNESCO 20/11/2019)



Au mois de février 2019, Sébastien Brochot fut invité en audience publique au Sénat dans le cadre de la mission commune d’information sur la répression des infractions sexuelles sur mineurs. Il a présenté son projet visant à prévenir les abus sexuels sur mineur(e)s en offrant un espace d'échange et/ou du soutien psychologique aux pédophiles.


Mais qui est Sébastien Brochot ? Quel est son parcours ? Quelles sont ses compétences ? Et quel est son discours ? Pouvons-nous confier une telle mission à n'importe quel quidam sous prétexte qu'il a créé une association, un site internet et distribué des brochures au Sénat ? Est-ce que la mission de la protection de l'enfance se limite à protéger uniquement les mineur(e)s des abus sexuels ? La réponse à cette dernière question est évidemment négative, la protection de l'enfance couvre toutes les atteintes à l'intégrité physique et psychique dont un mineur pourrait être la victime.

Depuis l'arrivée au pouvoir d'Emmanuel Macron nous avons eu plusieurs précédents qui démontrent que la protection de l'enfance n'a jamais été dans les prérogatives du président de la République. C'est pourquoi le scepticisme est une attitude raisonnable à adopter vis-à-vis de Sébastien Brochot ou d'autres opportunistes surfant sur la vague de la démagogie.

Le premier exemple peut sembler obscur en apparence mais la présence de Jean-Marc Borello aux côtés du président Macron relève du cynisme et de la provocation comme nous allons le voir. La réussite de Jean-Marc Borello, l'un des mentors d'Emmanuel Macron, ne peut que laisser pantois au regard de son curriculum vitae qui aurait dû lui interdire ad-vitam aeternam toute activité professionnelle dans le secteur social. Jean-Marc Borello est devenu un entrepreneur de renom, numéro un dans le secteur médico-social avec le Groupe SOS.

Avoir été l'enseignant d'Emmanuel Macron alors qu'il était étudiant à Sciences Politiques lui a probablement assuré le chemin d'une réussite pérenne.

Jean-Marc Borello est un homosexuel revendiqué et ancien gérant de boîte de nuit, condamné en 2000 à 6 mois de prison avec sursis pour avoir facilité par son inaction ou sa supposée candeur l'usage et le trafic de stupéfiants au sein de son établissement Le Palace. Un comble pour un supposé expert de la lutte contre la drogue. Le profil de Jean-Marc Borello ne l'empêcha aucunement d'être l'un des neuf délégués du parti En Marche du candidat Emmanuel Macron durant la campagne présidentielle 2017. Dans un autre registre, il se démarqua en soutenant devant la justice son ancien partenaire Robert Mégel, un pédophile condamné dans l'affaire des Tournelles, en affirmant effrontément à la barre que les viols et les agressions sexuelles étaient « impossible de la part de Robert. J'ai la certitude absolue de son innocence. Avec cette affaire, on a déclenché sur les Tournelles une avalanche médiatique et développé un insupportable climat d'homophobie ». En dernière instance, Robert Mégel fut condamné à 12 ans de prison en 2006 pour viols et agressions sexuelles sur des mineurs. Ce scandale pédophile retentissant évoqué en détails dans cet article : Robert Mégel 1973, les Tournelles 2006 : Borello/Macron est sensiblement similaire à celui du Coral en 1982. Les curieux en apprendront plus sur l'implication de Jean-Marc Borello dans l'affaire des Tournelles en parcourant l'article cité précédemment.

Pour finir sur Jean-Marc Borello, il fut la cible à la fin de l'année 2018 de plusieurs accusations de harcèlements sexuels diffusées par le journal Libération au travers de certains témoignages d'anciens employés du Groupe SOS.

Autre précédent dans la politique macroniste contre l'enfance, remontant à la fin de l'année 2017, le Gouvernement français avait tenté d'abaisser l'âge de « la majorité sexuelle ». En voici une drôle de méthode pour lutter contre les abus sexuels sur mineur(e)s. Enthousiaste, Marlène Schiappa s'était exprimée à plusieurs reprises sur ce sujet à l'instar d'autres figures politiques. Finalement l'opinion publique n'étant pas prête à un tel changement, ce charivari médiatico-politique se ponctua par une prétendue modification de la loi pour implémenter la présomption irréfragable de non-consentement, déjà implicitement formulée par Robert Badinter en 1982. Cependant le Conseil d'Etat fit annulé cette disposition, chose que la bruyante Marlène Schiappa n'est pas venue scandée sur tous les toits. Cela n'empêche pas Sébastien Brochot de s'adresser à un Gouvernement qui a tenté d'exposer les mineurs aux abus sexuels en abaissant l'âge de « la majorité sexuelle ». Quel paradoxe pour une personne qui prétend protéger nos enfants des abus sexuels.


Dans une société dirigée par des personnes équilibrées, un tel débat n'aurait-il pas dû être centré sur l'augmentation plutôt que l'abaissement de l'âge de « la majorité sexuelle » ?

Autre précédent dans la politique macroniste contre l'enfance, aucun ministère n'était consacré à la famille ou à la protection de l'enfance. Pire, il aura fallu attendre presque deux ans pour que le président Macron se réveille et nomme un simple secrétaire d’État à la protection de l'Enfance rattachée auprès de la ministre de la Santé Agnès Buzyn. L'heureux élu est Adrien Taquet, nommé au mois de janvier 2019, une figure du parti En Marche (EM) devenu La République En Marche (LREM).

Autre précédent dans la politique macroniste contre l'enfance, l'instrumentalisation de la famille et des enfants par les médias durant les grèves organisées à Noël pour contester la réforme de la retraite. Un procédé purement démagogique. Durant la crise des gilets jaunes, les médias et le pouvoir furent moins sensibles au sort des lycéens interpellés par la police à Mantes la Jolie, et restés à genoux mains sur la tête pendant plusieurs heures. Peut-on me reprocher aussi de faire de la démagogie en opposant ces deux exemples ? Sans doute chez les esprits fanatiques qui ont choisi un camp mais celui qui a conservé son esprit critique comprendra que l'enfant ici n'est rien d'autre qu'un objet instrumentalisé par les médias et le pouvoir.


Enfin le dernier précédent dans la politique macroniste a été la promotion de la PMA pour toutes qui remet en cause la filiation et les valeurs de la famille multi-millénaristes. Cette révision de la loi a été très largement appuyé par le lobby LGBT, sans se soucier des concepts cités ci-dessus et de la protection de l'enfance qui, rappelons-le, repose sur l'intérêt de l'enfant. Ainsi l'intérêt d'un enfant est d'avoir des parents déviants sexuels qui ont recours à l'insémination artificielle pour enfanter alors que leur corps est parfaitement fonctionnel. Avec la PMA pour toutes, le président Macron a boycotté les droits de l'enfant pour les supplanter par les droits à l'enfant, ceci pour satisfaire une minorité invisible au sein de la population française. Où se trouve l'intérêt commun de la majorité avec cette loi autorisant la PMA pour toutes ?

Le but inavouable de la PMA pour toutes est le même que celui du mariage pour tous, dévoyer les valeurs familiales et les repères éducatifs de nos enfants en leur imposant des cours d'éducation sexuelle. Une politique hérétique qui remet en cause les fondamentaux de la conception même de la vie et de l'éducation pour satisfaire les caprices du lobby LGBT. Oui les cours d'éducation sexuelle sont de retour et font partie de l'une des propositions évoquées par la mission du Sénat en 2019, portant sur « la répression des infractions sexuelles sur mineurs » en milieu institutionnel ou associatif.

Proposition 1 : ce blog constitue une base d'étude du phénomène pédophile.
Proposition 3 : éducation à la sexualité.


Sébastien Brochot

Sur Amazon Sébastien Brochot est présenté comme suit : « auteur de nombreuses publications : romans de fiction, nouvelles, pièces de théâtre, guides, beaux livres de photographies, contes pour enfants, ouvrages de réflexion... Il est également directeur artistique et réalisateur au sein de son agence créative » (this is it). Ainsi n'importe quel quidam sans formation, sans compétence, sans expérience, peut se sentir légitime pour évoquer la pédophilie et la protection de l'enfance. Il lui suffit de citer 3 acronymes et d'invoquer des « professionnels » et leur curriculum vitae pour se donner consistance.

Voici les quelques professionnels entourant Sébastien Brochot, affichant une relative empathie pour les pédophiles et qui consacrent leur temps à étudier cet épiphénomène. Aucun d'eux ne citent l'historique pédophile, aucun d'eux n'évoquent la sexologie et ses origines, aucun d'eux ne semblent en mesure d'approfondir avec perspective la problématique de l'idéologie de la révolution sexuelle. Ces professionnels ont également participé à un documentaire sur la pédophilie produit et réalisé par Sébastien Brochot :

Walter Albardier, psychiatre, déclare avoir rencontré des personnes qui ont réussi à changer de sexualité pour d'autres types de sexualité. En voici un discours étonnant mais quelle est donc cette méthode ?

Personnellement je considère la médecine comme une science tandis que la psychanalyse et la psychologie sont à classer au rang du para-médical. Une science établit un protocole permettant d'arriver toujours au même résultat. Or le para-médical relève de la spéculation ou de la théorie. Si j'ai tort alors les professionnels du para-médical doivent être en mesure de démontrer qu'ils sont capables de soigner 100% des dépressifs pris en charge. De plus, rares sont les expertises judiciaires faisant consensus auprès du milieu para-médical et judiciaire. Les seules certitudes que nous avons est que le pédophile est un déviant sexuel et l'enfant une potentielle victime, le reste n'est que fantasmagorie.

Les autres intervenants qui nous sont présentés par Sébastien Brochot sont Mathieu Lacambre, psychiatre, Cécile Miele, psychologue et sexologue, Eve Pilyser psychanalyste, et Odile Vershoot, psychologue.

Parmi les multiples déclarations de ces personnes, il manque l'essentiel, à savoir l'historique de la sexologie. Il faut que le public comprenne que cette discipline n'a étudié que les déviances sexuelles, depuis la fin du 19ème siècle et tout au long du 20ème siècle, au travers de Richard von-Krafft Ebing, Magnus Hirschfeld, Havelock Ellis, Harry Benjamin ou encore Alfred Kinsey. Aucun de ces précurseurs en sexologie n'a condamné la pédophilie, le dernier d'entre eux l'a hissé au même rang que les autres pratiques sexuelles puisque pour Alfred Kinsey la norme était la bisexualité. Ceci est le début d'un débat, est-ce que la France veut du kinseyisme ?

Lors de son audition au Sénat, Sébastien Brochot n'a affiché aucune connaissance en matière de kinseyisme ou de réseau pédophile. De plus, il semble avoir une connaissance limitée du sujet transversal, celui de la protection de l'enfance. Il a déclaré avoir voulu s'investir dans des projets citoyens, à commencer par la lutte contre l'antisémitisme, puis contre la pédophilie après l'affaire Dutroux. Le lien de cause à effet entre antisémitisme et lutte contre la pédophilie reste là encore un mystère. Il a également réalisé un documentaire sur la pédophilie intitulé « Pédophilie : comprendre pour mieux protéger ». Une série de questions-réponses que j'ai visionné et dans laquelle des « experts » exposent notamment la nouvelle propagande pro-pédophile que j'ai pu découvrir antérieurement sur internet. Il s'agit de distinguer le pédophile qui agit (MAP) de celui qui se contente de fantasmer (NOMAP). Ainsi ils valident la doctrine du mouvement boy-love 2.0 qui a pullulé sur le forum Boychat.org créé en 1995, toujours actif, et dont de nombreux membres ont été condamné pour pédophilie dont un pour l'assassinat du jeune Toby Antone. Mais le savent-ils ?

La crédibilité de Sébastien Brochot repose donc sur l'ignorance de ses auditeurs, ainsi que la probité et l'expertise des professionnels cités ci-dessus. C'est pourquoi afin de convaincre le Sénat de la pertinence de son projet Sébastien Brochot évoque les chiffres du nombre de vues de ses vidéos de sensibilisation, de sa chaîne Youtube, et de ses sites internet. 100 vidéos de sensibilisation sont disponibles sur son site pedo.help/fr et sa chaîne Youtube est « très regardée », 220.000 visionnages de vidéos en 2 ans. Toujours est-il que cette argutie n'est que poudre aux yeux car si quantité rime avec qualité, grand bien fasse à notre ouïe, car leur relation s'arrête ici.

Mais tout cela permet aujourd'hui à Sébastien Brochot de s'autoproclamer formateur/préventeur dans le domaine des abus sexuels sur mineur(e)s. Il est d'ailleurs depuis salarié des Centres Ressources pour les Intervenants auprès des Auteurs de Violences Sexuelles (CRIAVS) en Ile-de-France, géré par Walter Albardier.

Dans ces conditions comment accorder le bénéfice du doute à Sébastien Brochot ? Jusqu'à preuve du contraire il n'a montré au Sénat aucune expertise dans les domaines de la protection de l'enfance et des abus sexuels sur mineur(e)s. De plus, il propose son projet à un Gouvernement qui a littéralement éludé la question de la protection de l'enfance, ne l'avait-il pas remarqué ?

Certaines des déclarations de Sébastien Brochot interpellent comme celle-ci : « vous n'avez pas choisi vos fantasmes, mais vous êtes responsables de ce que vous en faites... ».

Il est étonnant de voir tous ces gens qui subissent leur vie, leur pulsion, leur pensée, sans aucune forme de contrôle de soi. Cette façon de penser confirme le constat suivant, l'adulte est souvent un enfant mal dégrossi. Il a toujours raison et le problème c'est l'autre. Pire, la pensée de Sébastien Brochot conforte ces individus dans un état d'impotence généralisée en les déresponsabilisant puisque les fantasmes seraient le fruit du hasard et le hasard ça ne se contrôle pas. Formidable. Selon Sébastien Brochot il faut dissocier la pensée de l'acte mais alors sommes-nous des machines ? Est-ce cela qu'il faut comprendre ? Agissons-nous sans l'once d'une réflexion, aucune pensée ne vient traverser notre esprit avant d'entraîner une action ? Quelle fascinante logique.

Sébastien Brochot évoque également l'importance de mettre en place des cours d'éducation sexuelle pour nos enfants, une autre grande idée induite et mise en place par le kinseyisme il y a déjà plus de 70 ans. Je rappelle aux lecteurs que l'idéologie du LGBT est une émanation directe du kinseyisme, à savoir la banalisation dans un premier temps puis la légitimation de toutes les déviances sexuelles. Pour réussir ce grand projet il faut parler de sexualité constamment, être soumis très tôt à cette question par des images, des vidéos ou à des discussions sur l'éducation sexuelle.

Nous en arrivons donc à la pédopornographie sur internet que j'évoque dans de nombreux articles sur mon blog. Avant l'émergence d'internet, les réseaux pédophiles fonctionnaient grâce aux réseaux postaux et téléphoniques, invisibles aux yeux de nos enfants. Aujourd'hui la donne est différente. Et c'est pourquoi nous allons en déduire qu'une nation responsable et courageuse devrait légiférer pour interdire l'accès aux mineurs à une connexion internet sans la supervision d'un adulte.

Sébastien Brochot propose un filtrage puis une censure des mots-clés les plus utilisés par les déviants sexuels pour nettoyer internet. Du flanc. Il suffit de changer le mot en question et la censure est contournée. Au sujet de la terminologie, Sébastien s'est arrêté sur l'emploi du mot pédophile qui devrait être remplacé par pédocriminel. Ce genre de questionnement pseudo intellectuel est toujours provenu des pédophiles ou de leur soutien car le mot pédophile était devenu disgracieux et péjoratif à leurs yeux. C'est le docteur Richard von-Krafft Ebing qui inaugura le terme de pédophile, de son côté Gabriel Matzneff tenta philopède, Marthijn Uittenbogaard proposa pédosexuel et Sébastien Brochot nous offre le pédocriminel, très bien. Un pédophile est un pédophile, et notre temps est précieux alors pourquoi le gaspiller au lieu de parler des auteurs, de leur réseau ou de leur idéologie ?

Quand d'autres dénoncent les pédophiles en prenant parfois des risques, d'autres usent de leur temps pour discutailler d'un nouveau baptême pour la pédophilie, elle sera maintenant rebaptisée pédocriminalité, ou d'autres usent leur temps pour écouter des histoires sordides de pédophiles au lieu de les dénoncer aux autorités comme ce fut le cas du docteur Alfred Kinsey. Quitte à vouloir parler sémantique pédophile autant approfondir sur la sexologie, les sexologues, leur profil, leur idéologie, et là nous pourrons avoir un débat constructif. Pour clore sur la sémantique, il apparaît que les termes antisémitisme et homophobie n'ont pas réellement le sens que nous leur prêtons.

Comment prendre de la hauteur avec tout ce marasme ambiant ? Nous parlons ici d'abus sexuels sur mineur(e) commis par des adultes. Or pour avoir une large perspective du sujet il faut étudier sommairement la question de la sexologie, de quoi s'agit-il ? Par qui ? Quel concept en ressort-il ? L'hétérosexualité n'a jamais été au cœur de l'attention de la sexologie, elle s'intéresse à l'homosexualité, la pédophilie, la zoophilie, la nécrophilie, faut-il continuer ? La sexologie s'intéresse donc à la déviance et à la perversion sexuelle. Tout comme Sébastien Brochot s'adresse aux potentiels pédophiles à travers son site pedo.help/fr.

Conclusion

Les problèmes d'ordre médicaux ou génétiques peuvent entraînés de graves troubles de développement chez l'enfant mais la racine du mal demeure affective, éducative et socio-culturel. Pour le dernier point l’État est directement et pleinement responsable. Le président Macron fut élu en 2017 puis le temps passa, il passa jusqu'au mois de novembre 2019. Tout à coup le président se réveilla, c'était l'heure de fêter à l'UNESCO et l'anniversaire des 30 ans de la Convention des Droits de l'Enfant (CIDE). C'est ce moment opportun qu'a choisi notre grand président pour aborder la question de la protection de l'enfance et de la pédopornographie. Il évoquait même un ultimatum de 6 mois pour permettre aux opérateurs d'installer un contrôle parental par défaut. Si le président Macron avait été un véritable dictateur il n'aurait pas donné 6 mois mais 6 heures. Mais si le président Macron avait été un vrai président il n'aurait pas brandi le gadget du contrôle parental. Quelle trouvaille novatrice pour les enfants qui savent déjà le contourner. Il leur suffit de savoir lire et écrire pour taper dans un moteur de recherche « contourner contrôle parental ». Si ses mots sont filtrés ultérieurement par le moteur de recherche alors la jeunesse s'adaptera à ce changement sémantique tant qu'elle possédera un accès au réseau. En revanche, en interdisant l'accès à une connexion internet aux mineurs sans supervision d'un adulte, nous sommes tranquillisés et nous retrouver des enfants éduqués sans interaction virtuelle avec le vaste monde de l'imagerie qu'est internet. Le compte à rebours est en cours pour le président Macron, 6 mois, rendez-vous au mois de mai 2020.


Frank D.

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