La police marseillaise est condamnée sur internet suite aux émeutes (Hedi)

Aucun procès n'a eu lieu mais la police marseillaise est déjà condamnée sur internet par ceux qui ont participé aux émeutes et ceux qui les justifient. A savoir des jeunes âgés en moyenne de 17 ans soutenus par l’extrême gauche qui est toujours à la manœuvre. 

Le site Twitter fut utilisé par les émeutiers pour diffuser leurs actes criminels et délictueux durant plusieurs nuits. Leur cinéma a perduré jusqu'au 2 Juillet, peu après la mise en place par Elon Musk de mesures restrictives qui avaient rendues l'utilisation de son site impraticable. Sans exposition via Twitter leurs frasques étaient devenues nettement moins savoureuses. Ce sont ces mêmes individus qui instrumentalisent les présumées victimes de violences commises par la police marseillaise. Ils partagent des messages diffamatoires, likes, diffusent des propos haineux envers la police. Vont-ils diffuser l'identité et l'adresse des policiers mis en examen à Marseille pour inciter au harcèlement comme dans l'affaire Nahel ? Cette frange de nuisibles, de parasites, de pique-assiettes utilisent Hedi le miraculé marseillais pour stigmatiser la police nationale. Leur objectif est de rassembler le plus de personnes autour d'eux afin d’exercer du lobbying auprès des médias et affaiblir le Gouvernement. 

Ce n'est pas la raison qui oriente la réflexion de ces jeunes émeutiers mais la haine. C'est pourquoi LFI utilise la démagogie la plus abjecte pour les manipuler et obtenir leur adhésion. Ainsi la photo d’Hedi le présentant avec un morceau en moins de sa boîte crânienne fait le tour d'internet. Et alors ? Fallait-il montrer la tête tranchée de Samuel Paty sur internet pour faire avancer l’investigation judiciaire ? David Dufresne s'est félicité du nombre de vues généré par le témoignage d’Hedi diffusé par Konbini News. Les chiens de garde de La France des Illuminés (LFI) sont prêts à montrer des organes encore sanguinolants si cela peut convaincre des individus de rejoindre leur rang. Hedi a subi une craniectomie autrement dit une extraction partielle du crâne. Il doit subir une autre opération durant laquelle la partie manquante sera remplacée par un morceau de titane afin de consolider son crâne et protéger son cerveau. Ainsi il devrait pouvoir retrouver une apparence normale, chose souhaitable dans son intérêt. 

Les acteurs de ces émeutes, leurs complices qui filmaient pour relayer sur internet, et ceux qui les encourageaient en direct en postant des messages n'ont pas été sanctionnés dans leur grande majorité. Le dispositif policier n'était pas en capacité d'interpeller 100.000 émeutiers (DGSE). L'estimation de Gérald Darmanin situe leur nombre entre 8.000 à 12.000, ce qui ne correspond pas au surnombre des émeutiers constatés face aux forces de l'ordre. Les chiffres de Darmanin signifieraient que les forces de l'ordre ont réussi à interpeller 1 émeutier sur 3. 

Bilan des émeutes entre le 27 Juin et le 4/5 Juillet : 

650 millions de dommages, un montant 3 fois supérieur à celui des émeutes en 2005 ayant duré 4 semaines. 90 attaques contre des établissements scolaires, 103 contre des mairies, 180 contre des commissariats, brigades de gendarmerie, casernes de sapeurs-pompiers et bureaux de police municipale.

Du 27 Juin au 5 Juillet (Le Figaro) = 3.651 interpellation dont 1.124 mineurs

Du 27 Juin au 13 Juillet (Dupont-Moretti) = 1.278 jugement prononcés dont 1.056 personnes condamnées.

Environ 800 blessés du côté des forces de l'ordre. 

Ces mêmes parasites de la société font la pluie et le beau temps sur Twitter. Ils accusent la police marseillaise de violences policières en exhibant la photo d’Hedi post-opératoire. Ces pique-assiettes détruisent, brûlent et volent. Ils attaquent les forces de l'ordre durant plusieurs nuits avec une violence rare sans aucune justification mais il ne faut pas les blâmer. Puis ils diffusent sur internet ces crimes, ces délits, ils commentent ces images pour encourager ces comportements hors-la-loi mais ils ne sont pas sanctionnés. Il s'agit d’apologie et d'incitation à la violence. Malgré tout cela ils continuent à se positionner en victimes en se cachant derrière des Zyed, Bouna, Nahel, Hedi et compagnie.

Ceux qui ont employé la force sans justification seront condamnés par des magistrats. Personne ne s'y oppose. En revanche, le président Macron devrait faire cesser le harcèlement systémique visant la police sur internet, alimenté par l'extrême gauche. Jusqu'à maintenant, le président Macron s'est simplement contenté de violer la présomption d'innocence du policier dans l'affaire Nahel. Les personnes propriétaires d’environ 6.000 véhicules incendiés remercient ce président impotent, défroqué et égocentrique. Potentiellement, 6.000 innocents sans véhicule, sans moyen de se déplacer pour travailler et vivre. Sans parler des français qui ne peuvent plus travailler car leur lieu de travail a été pillé, saccagé ou brûlé. Ou encore la jeunesse consciente et les personnes âgées qui sont privées d'accès à la médiathèque.

Pendant ce temps, l'extrême gauche récupère politiquement l'événement des émeutes et cherchent à transformer cette hérésie en mouvement de révolte. Objectif, les élections présidentielles 2027. D'où leur intérêt de marteler à propos "des violences policières" dès que la moindre erreur semble avoir été commise. Soulignons que les forces de l'ordre ont été d'un professionnalisme remarquable face à un contexte inédit ayant duré plusieurs nuits. 


A Marseille, nous avons 3 affaires médiatisées de "violences policières". Ces 3 affaires ont un point commun, aucune victime n'a participé aux émeutes selon les divers témoignages. Pourtant ces trois jeunes se trouvaient tous sur les lieux des émeutes. Le pire est Hedi qui, selon ses déclarations, a parcouru une quarantaine de kilomètres pour se rendre au Vieux-Port à 2h00 du matin.

Que faisaient toutes ces victimes de la société dans les rues au moment des émeutes en pleine nuit ? Du tourisme, du journalisme, la préparation du 14 Juillet, du sport, du shopping ? Irresponsabilité, immaturité, absence de discernement, incapacité à évaluer le danger de manière autonome. 

Abdelkarim Y, âgé de 22 ans, éborgné par un présumé tir de LBD, dans la nuit du 30 Juin au 1er Juillet. Il se rendait chez un ami en pleine nuit quand il croisa des hommes en noir qui le prirent pour cible. Il n'aurait pas pris part aux émeutes. Le RAID et le DGPN sont visés par une plainte de son avocat Arié Alimi. Le témoignage d’Abdelkarim livré dans les médias manque cruellement de détails et de circonstances. Que signifie ne pas prendre part aux émeutes ? Les citoyens français qui sont restés chez eux n'ont pas pris part aux émeutes, cela est une certitude, sauf exception pour ceux qui auraient filmé des scènes et diffuser ce contenu sur internet. Un tel comportement peut être jugé comme de l'incitation à la violence.

Mohamed Bendriss, âgé de 27 ans, était le cousin d’Abdelkarim Y. Dans la nuit du 1er Juillet au 2 Juillet, il a eu un malaise sur son scooter et il est décédé d'un arrêt cardiaque dont la cause serait un tir de LBD. Cette nuit là, il se trouvait en terrasse avec un ami jusqu'aux environs de minuit. Après avoir quitté son ami, une heure se serait écoulée avant qu'il ne soit retrouvé mort devant le domicile de sa mère. Il était le père d'un enfant de 2 ans et travaillait comme livreur UberEat. Sa femme veuve, âgée de 19 ans, était enceinte d'un deuxième enfant et elle confirme cette version des faits. Il existe encore un détail prouvant que Mohamed a participé aux émeutes. Il a filmé les forces de l'ordre interpellant un individu. Cette vidéo a été envoyé à 00h45 via son SnapChat. Enfin la sœur de Mohamed Bendriss a été condamné pour vol à 1 an de prison dont 6 mois avec sursis selon l’avocat Rafik Chekkat. Les faits se sont déroulés durant les émeutes.

Hedi, âgé de 22 ans, les faits se déroulent environ une heure après la mort de Mohamed Bendriss, Hedi regagnait son domicile après avoir aidé au restaurant familial selon L’Humanité. Cette version est aussi succincte que fausse. Hedi a livré un témoignage vidéo sur Konbini News dans lequel il contredit la version précédente puisqu'il ne rentrait pas chez lui. Ajoutons-y un autre témoignage diffusé par le journal La Provence afin de comprendre au mieux les évènements même s'ils sont lunaires.  

Hedi est assistant de direction dans l’hôtellerie-restauration à Meyrargues, située à une quarantaine de kilomètres de Marseille. Après son travail, vers 1h30, il décide de partir retrouver un ami, Lilian, sur le Vieux-Port. Il est 2h00. Double choix critiquable, premièrement ne pas rentrer chez soi alors que la France subissait des émeutes depuis le 27 Juin, deuxièmement se rendre au Vieux-Port, endroit le plus exposé aux émeutes à Marseille. Hedi explique avoir rejoint Lilian pour la "Fête des terrasses" or celle-ci avait été annulée pour des raisons de securité. Cette information était disponible le 1er Juillet à 16h53 sur le site internet du Dauphiné. Cette décision fut prise par le Conseil Régional le 30 Juin. Peu importe, les deux compères étaient sur place et ils devaient rejoindre leurs petites amies. "Il y avait beaucoup de fourgons de police, on en a croisé quelques-uns, on leur a dit ’bonsoir’, on se sentait en sécurité." C'est le moment où les versions de Konbini News et La Provence divergent. Dans le témoignage pour Konbini News après avoir dit "bonsoir" les jeunes ajoutent "ils n'avaient pas envie de discuter avec nous. Et ensuite voilà, ça a commencé." Or dans l'autre témoignage accordé au journal marseillais les deux jeunes "aperçoivent un hélicoptère survoler la ville". Selon Heidi "C’était comme dans un film. On l’a suivi vers le cours Lieutaud, pour voir. On n’aurait pas dû." C'est ici que le destin leur avait donné rendez-vous au croisement de "quatre ou cinq hommes". Aucun détail sur la suite. Notons que le cours Lieutaud est l'endroit où Mohamed Bendriss avait perdu plusieurs minutes auparavant 

Ces trois jeunes se sont volontairement mis en danger de manière inutile en se rendant en pleine nuit sur les lieux des émeutes. Il faut savoir tirer des leçons de leurs erreurs afin qu'elles puissent servir à d'autres personnes. S'exposer volontairement à un danger c'est courir le risque d'être blessé comme Hedi voire de mourir comme Mohamed.

Les policiers incriminés seront jugés pour déterminer si l'usage de la force était nécessaire et proportionné à la menace. Concernant le volet judiciaire du policier de l'affaire Nahel, selon sa hiérarchie il affiche d’excellentes garanties professionnelles. Le motif de l'intervention était d’interpeller un chauffard après une course poursuite d’une durée excédant 20 minutes, incluant refus d'obtempérer et deux mises en danger d'autrui. Le policier a tiré sur le chauffard avec la volonté de le neutraliser et de protéger autrui, non pour tuer de manière volontaire. Enfin, les policiers ont tenté de porter assistance au chauffard mais la blessure était mortelle.

Tandis que la situation dans l'affaire Hedi semble beaucoup plus compliquée même si le jeune Hedi n'avait n'avait rien à faire sur les lieux des émeutes. Nous n'avons pas tous le même niveau de conscience et de responsabilité. L'usage de la force semble disproportionné face à une menace non identifiée car les policiers n'ont interpellé ni Hedi ni Lilian. La non-assistance à personne en danger est caractérisée sans parler des violences. Le contexte inédit des émeutes servira comme circonstance atténuante mais elle ne pourra en aucun cas innocenter le principal accusé.

Quant aux idéologues qui récitent leur partition anti-police, les uns pour se faire élire en 2027, les autres pour faire fructifier leurs affaires, livres, interviews, comptes Twitter, Tiktok ou Instagram, ils sont l'indignité incarnée de la République française.


Franck D.

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