Libération répond aux curieux et indirectement à mes accusations...



Je viens de découvrir un article publié par Robin Andraca, un journaliste de Libération qui a écrit sommairement sur l'histoire du pédophile Christian Hennion, ex journaliste chez Libération pendant 20 ans. Dans cet article publié le 10 janvier 2020, je n'ai relevé aucune phrase faisait référence à une condamnation explicite de la pédophilie, autrement dit des relations sexuelles entre un adulte et un mineur. En voici une étrange manière pour procéder à un mea-culpa.

Je vais maintenant laisser aux lecteurs la liberté de se faire leur propre jugement entre le post-it intitulé "Libération a-t-il employé un journaliste pédophile entre 1975 et 1995 ?" de Robin Andraca et mon dossier intitulé "Le journal Libération temple médiatique français de la pédophilie" (04/03/2018). Juger entre liberté et soumission, entre objectivité et subjectivité, entre information et désinformation. Notons que l'article de Robin Andraca fut publié quasiment 2 ans après le mien, il était temps pour lui de se réveiller.

Je n'ai eu à ce jour aucun problème judiciaire pourtant j'ai souvent entendu certains détracteurs déclarer que mon blog entier était de la diffamation. Si Libération avait voulu se racheter du crédit auprès de l'opinion publique alors il leur aurait fallu dénoncer Gabriel Matzneff avant la publication du livre de Vanessa Springora. Cette seconde opportunité ils ne l'ont pas saisi non plus alors qu'ils en avaient la possibilité. Sur ce blog j'ai déjà écrit notamment sur Jacques Dugué organisateur du premier réseau pédophile français. Gabriel Matzneff l'avocat des pédophiles (28/12/2017) ou plus récemment dans Le Blog des amis de Matzneff a été désactivé; Libération dans le déni (02/01/2020). Si je ne m'abuse je fus le premier à publier l'information relative à la désactivation du blog de Gabriel Matzneff.

A mon humble avis, il ne faut avoir aucune espèce d'empathie pour cette caste qui empoisonne l'esprit du peuple. Tout à coup, ils se sentent exposés alors ils font acte de contrition, à contrario sans exposition médiatique ils dissimulent les faits. Cette pratique est à dénoncer. Ceux qui nous doivent la vérité, les journalistes, ne sont que de vils manipulateurs. Pire encore, en tant que citoyens français ils n'ont aucun sens civique puisqu'ils se sont tous rendus coupables de non dénonciation de crime et de dissimulation des faits sur plusieurs décennies. Mais aujourd'hui ils réclament piteusement la compréhension de l'opinion publique et de leurs lecteurs. Moi je ne comprends pas et personnellement je déconseille à quiconque de lire ce torchon pro LGBT et d'écouter tous les collaborateurs qui travaillent ou ont travaillé pour ce journal. J'insiste sur le pro LGBT car c'est le premier journal français qui a osé créer une rubrique communautariste dans son propre journal (Libé LGBT+). Quoi de plus logique pour le temple médiatique français de la pédophilie ?


Voici ma réponse à l'article de Robin Andraca :

Les références citées par Robin Andraca sont le livre de Frank Demules publié en 2009, un article de Sorj Chanlandon en 2001, un article de Serge July en 1999 et un livre signé Serge July en 2015. Ces références sont toutes citées dans mon article, voilà qui est rassurant car au moins nous parlons de la même chose mais pas de la même manière. Sur un ton condescendant Robin Andraca souligne que cette information est connue du public depuis 10 ans, ce n'est donc "pas un scoop". Certes, il s'agit simplement d'une information taboue dont Libération chercha simplement à dissimuler l'existence aussi longtemps que possible. J'invite le lecteur à chercher le profil de Christian Hennion sur Wikipédia pour constater qu'il n'en existe aucun afin d'éviter de ternir l'image du lobby LGBT, passé maître dans l'art du révisionnisme et de la dissimulation. Les anciens collaborateurs de Christian Hennion ne désirent tout simplement pas voir leur nom associé au sien, c'est beau la solidarité, le courage et la sincérité, n'est-ce-pas ? Alors voici leurs noms de ces champions LGBT :

Sur les 8 noms mentionnés dans cet extrait, nous en avons 7 qui possèdent un profil sur Wikipédia sauf un, Christian Hennion le pédophile. Jean-Luc Hennig se distingua notamment par une annonce dans Libération pour obtenir des témoignages de zoophiles (image disponible dans cet article)

Dans son article, Robin Andraca écrit qu'à partir de 1981 "la direction souhaite se dégager des excès de la période antérieure, Christian Hennion joue un rôle de plus en plus discret au sein de la rédaction". Christian Hennion sera ainsi marginalisé au fil des années selon Robin Andraca.

Cette formulation extrêmement maladroite suppose que le journal Libération savait dès 1981 que Christian Hennion était un pédophile sinon pourquoi vouloir le marginaliser ? De plus ce terme équivoque ne signifie rien, il était salarié au même titre que les autres, "marginalisé" ou pas. Un pédophile ça ne se marginalise pas, un pédophile ça se dénonce aux autorités ! Entre 1981 et 1995 Christian Hennion "le marginalisé" a pu continuer à exercer au sein du journal Libération. Est-ce cela être marginalisé ? De qui se moque t-on encore ?

De plus, en 1982, Guy Hocquenghem défendait son amant pédophile, René Schérer, dans un article publié par le journal Libération alors qu'il était empêtré dans l'affaire du Coral. Je demande donc à Robin Andraca si 1982 c'est avant 1981 ou après, je ne sais pas trop, les complotistes de mon genre sont niais contrairement aux journalistes. N'hésitez pas à éclairer ma lanterne cher Robin Andraca en répondant à mon interrogation avec un commentaire sur mon blog. Et les lettres du principal suspect dans l'affaire du Coral, Claude Sigala, n'ont-elles pas été diffusées grâce au journal Libération en 1982 ? Enfin un dernier exemple qui saute aux yeux et plus proche de nous, Libération n'a t-il pas soutenu l'exposition de Stu Mead et Reinhard Scheibner, à Marseille en 2015, en assimilant les critiques à des extrémistes ? Alors Robin Andraca, l'année 2015 est-elle antérieure ou postérieure à l'année 1981 ? Dans cet article signé par Stéphanie Hanouryan, il est question d'"œuvre", d'"artistes" ou de "dessins érotiques". L'auteur ne sait visiblement pas faire la différence entre érotisme et pornographie (dans le cas présent il s'agissait de pédopornographie). L'article ne comporte aucun jugement sur le genre d'images présentées ci-dessous mais affiche son parfait désaccord envers ceux ont pointé du doigt cet étalage indécent de gribouillages déviants. Est-ce cela ne plus soutenir la pédophilie ? Est-ce cela protéger nos enfants ?


Ensuite Robin Andraca évoque le paradoxe Serge July qui, dans la rubrique nécrologique de Christian Hennion publiée en 1999, n'évoque pas la pédophilie de son ancien employé. Mais dans un livre publié en 2015 par Serge July, ce dernier écrit :  "Difficile d’évoquer cette figure associée au monde judiciaire sans parler de sa pédophilie". En quoi est-ce si difficile puisqu'en 1999 c'est le comportement que Serge July adopta, pas un mot sur la pédophilie de Christian Hennion. Mais de qui se moque t-on encore ?

Au sujet du couard atteint d'alzheimer, le journaliste Sorj Chalandon, ce dernier déclare ne pas avoir pensé au nom de Christian Hennion au moment de la rédaction de son "papier terrible" qui critiquait la propagande pro-pédophile diffusée par son propre journal. Voici le propos de Sorj Chalandon rapporté dans l'article de Robin Andraca : "Je n’ai pas le souvenir que son nom ait été évoqué lors de la commande du papier ni que le nom m’ait effleuré pendant la rédaction. J’étais centré sur Cohn-Bendit, les dessins de Bazooka, la page "Apprenons à faire l’amour à nos enfants", et sur quelques pédophiles revendiqués, mais pas sur Hennion". Le journaliste soumis obéit à "la commande" et il a littéralement occulté le nom de son collègue Hennion, crédibilité zéro. Les "pédophiles revendiqués" cités dans son article n'existent pas, même pas un seul nom pour semer le doute. Les seuls noms cités sont ceux de pétitionnaires. Enfin l'article de Sorj Chalandon n'était aucunement une initiative de sa part ou de Libération, c'était une réponse aux attaques d'un autre journaliste Jean-Claude Guillebaud de Sud-Ouest.

Pendant encore combien de temps ces individus inconséquents vont-ils prendre les gens pour des imbéciles ? A quel moment sauront-ils faire preuve de maturité et de responsabilité ? Quand cesseront-ils de mentir comme des enfants ?

Mon ton est très pédant car ces gens ont cru toute leur vie être des gens importants, il n'en était rien. Robin Andraca nomme ainsi les promoteurs de la pédophilie en France : des "intellectuels prestigieux de la gauche". Quel courage jeune homme ! Un intellectuel ne peut en aucun cas faire la promotion de la pédophilie, peu importe le contexte car la réflexion d'un intellectuel ne subit pas le contexte, elle le transcende. Et le rôle de toute personne vivante, intellectuelle ou non, est de protéger les plus faibles. Alors permettez-moi de vous aider Robin Andraca en faisant preuve de franchise à ce sujet, les gens dont vous parlez étaient les plus prestigieux parasites de l'intelligentsia française !


Prochainement un article sur l'environnement de Hugh Hefner, créateur du magazine Playboy et premier promoteur du kinseyisme à s'adresser directement à toute la population.


Frank D. comme dans dynamiteur





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