Libération, le journal des pédophiles, soutient Assa Traoré

Le titre de cet article est volontairement provocateur pour ceux qui l'ignorent et seraient désireux de comprendre alors je les invite à lire ceci : Le journal Libération temple médiatique français de la pédophilie. Revenons à l'acquittement de Bagui Traoré salué par de nombreuses personnalités publiques des milieux politique, médiatique et artistique. Après l'acquittement de son frère Bagui, Assa Traoré via son compte Twitter a écrit "4 ans et 5 mois de détention arbitraire ... pour rien". Ceci est faux. A ce propos mensonger, personne n’a fourni l’once d'une explication transparente avant que la contestation gronde sur Twitter pour dénoncer Alexandra pichard, journaliste de Libération. Finalement, comble de l'histoire, c'est le service anti "fake news" de Libération qui a joué le rôle d’arbitre, confirmant maladroitement leur inobjectivité.

Le journal Libération a publié la grotesque propagande d’Assa Traoré et l’auteur de l'article a cadenassé son compte Twitter pour fuir toutes les critiques justifiées à son égard. Le plus cocasse dans cette histoire est que Libération avait précédemment publié une déclaration de l'avocate générale stipulant que Bagui Traoré était en détention provisoire depuis Mars 2021 dans le cadre de l'affaire des émeutes de Beaumont-sur-Oise. Ceci est factuellement vrai. Cela n'empêcha pas Alexandra Pichard, illustratrice de formation, de publier à posteriori un article faisant l'apologie de la délinquance en victimisant Bagui Traoré le multi-récidiviste.

En effet, la première version de son article avait vocation à blanchir Bagui Traoré le multi-récidiviste. Le délinquant devenait une victime de la justice française car il était détenu provisoirement "pour rien" depuis plusieurs années. Alexandra Pichard occultait sa peine cumulée de 4 ans de prison pour d'autres condamnations. D'ailleurs, rare sont ceux qui arrivent à énoncer les trois condamnations et donc la peine cumulée de 4 ans de prison de Bagui Traoré,  ce qui laisse planer une relative confusion. Rappel des trois motifs de condamnation :

  • Extorsion sur personnes vulnérables entre Août 2015 et Juillet 2016, condamné à 30 mois de prison. Cette affaire sordide débuta avant même la mort de son frère Adama et les émeutes de Beaumont-sur-Oise.
  • Outrages et violences sur personnes dépositaires de l'autorité publique au mois de Novembre 2016. Il fut condamné en première instance à 8 mois de prison durant le mois de Décembre 2016. Sa peine fut réduite à 6 mois de prison en appel.
  • Trafic de stupéfiants, l'enquête débuta durant l'été 2017, Bagui Traoré écopa de 12 mois de prison. Rappelons que lors de l'interpellation d’Adama Traoré, ce dernier transportait de la drogue et de l'argent en liquide.

Parmi ces affaires judiciaires, deux étaient antérieures à celle de sa mise en examen relative aux émeutes de Beaumont-sur-Oise. Ainsi Bagui Traoré était déjà incarcéré avant son placement en détention provisoire. De plus, son casier judiciaire démontre que ses comportements délictueux étaient antérieurs à la mort d’Adama Traoré à l'instar d'autres individus de la famille Traoré. Il n'existe donc aucun harcèlement judiciaire contre la famille Traoré dans le but d'étouffer la mort d’un délinquant, celle d’Adama Traoré. 

Durant ces 5 années, combien d’articles Libération a-t-il publié pour dénoncer la "détention arbitraire" de Bagui Traoré ? Apparemment la réponse est zéro car peu de monde se souciait de cette famille de hors-la-loi criant à l'injustice avant la mort de George Floyd.

Suite à l'acquittement de Bagui Traoré, Libération a diffusé la propagande victimaire d’Assa Traoré, retweetée fièrement par cette dernière. Puis, le chef du service société de Libération a discrètement procédé à des modifications sans la moindre notification aux lecteurs. Une ode à la transparence, à la clairvoyance et à la profession journalistique. La même critique peut être adressée à l'avocat de Bagui Traoré, Frank Berton, également avocat de la défense lors de la mascarade d’Outreau.


"Plein pot" disait-il ? Le délit d'extorsion sur personnes vulnérables est punissable à hauteur de 10 ans de prison et jusqu'à 20 ans de prison en bande organisée selon le code pénal (articles 312-2 et 312-6). Bagui Traoré fut condamné à 2 ans et 6 mois de prison pour extorsions sur plusieurs personnes vulnérables commises avec violences et menaces en compagnie de deux complices. Était-ce assez pour Frank Berton ? Il faut dire que cet avocat semble peu intéressé par l'intérêt des personnes vulnérables, les enfants d’Outreau s'en souviennent encore. Enfin, il apparaît techniquement compliqué de placer un invidu en détention provisoire alors qu'il est déjà incarcéré. Le defenseur des opprimés, Frank Berton, devrait avoir une explication logique à ce dilemne. 

Quant à Assa Traore, l’éducatrice spécialisée, elle aurait dû se préoccuper de l’éducation de ses proches au lieu de défendre ce qui ne peut plus l'être. Aujourd'hui elle fait du marketing avec la mort de son frère Adama alors qu'il était un délinquant, c'est indécent. 


Frank D.



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