Résiliation de Mediapart (pro LGBT) suite à la suspension de mon compte


Extrait d'un mail envoyé aujourd'hui à Media Part pour ma demande de résiliation :

" Ai-je envoyé un courrier pour m’abonner chez vous ? Vous prenez vous aussi les gens pour des cons. La carte de crédit marche bien pour encaisser une fois mon autorisation tacite accordée, par contre s’agissant de ma résiliation, la carte de crédit ne marche plus par annulation tacite, ça  ne suffit plus ! Ridicule… Il vous faut un courrier ou un mail pour résilier…mais pas pour encaisser…


Echanges privés antérieurs à ma suspension de compte qui démontrent clairement que leur message copier/coller est digne d'un régime autoritaire ! Des machines répondant à une certaine logique qui n'est pas celle de la protection des enfants, ça c'est une certitude… Sinon pourquoi ne pas mettre sur la table un vrai débat sur le lobby LGBT ? D'où vient leur idéologie autrement dit tout leur attirail argumentatif ? Pourquoi tant de négationnisme ?

Le robot répond ci-dessous bip bip et me condamne à la sentence bip bip d'un mois de suspension bip bip donc je résilie car comme je le répète, les dépublications concernaient majoritairement la thématique LGBT/pédophilie. Toutes censurées, enfin aujourd'hui ils ont un gentil mot pour la censure ils disent "dépublier". N'est-ce pas charmant ?


Maintenant je suis dans l'incapacité de supprimer mes billets publiés sur Media Part, je leur ai demandé de tout supprimer car je ne suis pas leur nègre…


Et pour conclure, voici un copier/coller de mon article "dépublié" censuré par Media Part :



ILGA-LGBT et leur relation à la pédophilie



Travaillons ensemble sur le mouvement LGBT à l'échelle internationale : I.L.G.A.

Révisionnisme : Comportement, doctrine remettant en cause un dogme ou une théorie, notamment celle d'un parti politique.

L'ILGA pratique le révisionnisme en niant la forte relation entre la pédophilie et leur mouvement.

Notre objectif est simple, analyser sommairement le profil de cette association via leur site internet, un clic de souris direction la rubrique « Qui sommes-nous ? ».

Qui sont-ils ?

L’association internationale des personnes lesbiennes, gays, bisexuelles, trans et intersexes fut créée en 1978 (IGA) puis rebaptisée ILGA en 1986.

Entre 1980-1986, l'internationale gay se nomme IGA, aucune lesbienne.
Entre 1986-présent, l'internationale gay devient ILGA, intégration officielle des lesbiennes.

Première constatation, les lesbiennes étaient contre la pédophilie or les homosexuels étaient pour la pédophilie puisque certain d'entre eux la pratiquant eux-mêmes. Dès l'année 1980, les pédophiles trouvèrent rapidement écho à leur revendication au sein de l'IGA contrairement aux lesbiennes, intégrant officiellement l'IGA en 1986. L'IGA est rebaptisée à cette occasion International Lesbian Gay Association (ILGA).

Pédophilie : relations sexuelles entre un adulte et un mineur, d'autres parlent d'éphébophilie, une sous-catégorie de la pédophile.

Mineur : un individu qui n'a pas la majorité civile -18 ans.

Le mouvement LGBT avait des racines misogynes et pédophiles, c'est indéniable et cette simple analyse permet d'arriver à cette déduction. Aucune femme n'était présente lors de la constitution de l'IGA à Coventry, en Angleterre, en 1978. Les hommes qui aimaient les hommes se retrouvaient entre hommes, quoi de plus banal.

Continuons avec un autre extrait du site internet de l'ILGA :

« Créée en 1978, l'ILGA bénéficie d’un statut consultatif au Conseil économique et social de l’ONU (Ecosoc). ». Une tournure de phrase qui laisse à penser que l'ILGA bénéficie d'un statut consultatif à l'ONU depuis l'année 1978. Or l'ILGA a intégré l'ECOSOC en 1993 avant d'être suspendue l'année suivante. 

Si nous allons jusqu'en bas de la page internet « Qui sommes-nous ? », nous avons le droit à quelques précisions :

  • Lire une recherche approfondie sur l’histoire de l’ILGA entre 1978 et 2012.
  • En savoir plus sur la controverse concernant l'ILGA et le statut de l'Ecosoc.

La controverse pédophile est un grand exercice de révisionnisme sur le site de l'ILGA. Le déni sans conteste puisque l'IGA a créé un groupe de travail dédié à la thématique pédophile en 1980. Quatre associations pédophiles seront inscrites au sein de l'ILGA entre 1979 et 1994.

La preuve en image, ceci un extrait d'un compte rendu de la seconde conférence de l'IGA à Barcelone en 1980, le révisionnisme LGBT est indéniable : 




Sur son site ,ILGA déclare ceci au sujet de la controverse pédophile :

« ILGA does not advocate – and never has advocated – paedophilia in any way or form ».

  • Advocate : supporter, encourager, faire la promotion de, être partisan de.
  • Never : jamais.
  • In any way or form : en aucune façon.

Les mots ont-ils un sens ou celui que nous voulons leur donner ? Est-ce une réinterprétation de la linguistique que cherche à nous imposer l'ILGA ? Comment expliquer la présence de plusieurs associations pédophiles au sein de l'ILGA entre 1979 et 1994 ? Et l'existence d'un groupe de travail relatif à la thématique pédophile ? Est-ce cela ne jamais soutenir/supporter/encourager ou être partisan de la pédophilie ?

En 1994 l'ILGA a été contraint d'exclure plusieurs associations pro-pédophiles afin de conserver leur statut au sein de l'ONU, c'est un fait. Voici leur version de l'histoire sur leur site internet :

« At no time, however, did ILGA support or endorse their positions, and these groups were expelled precisely because their aims were incompatible with those of ILGA ».

Un sophisme ubuesque, si les positions de ces groupes étaient contraire à celles de l'ILGA alors pourquoi les avoir soutenu pendant plus de 10 ans ? En réalité l'ILGA a exclu ses associations sous la menace financière des Etats-Unis. Le statut de l'ILGA fut révoqué suite à la pression du sénateur américain Jesse Helms et le vote d'une résolution sénatoriale.

Le 26 janvier 1994 le sénat américain adoptait unanimement une mesure (99-0) visant à bloquer la contribution financière américaine destinée à l'ONU tant que l'ILGA n'aura pas rompu ses liens avec les associations soutenant ou faisant la promotion de la pédophilie. L'ILGA ne retrouva son statut au sein de l'ECOSOC (ONU) que dix sept ans plus tard, au mois de juillet 2011.



Si nous nous arrêtons ici, l'analyse reste superficielle et peu convaincante pour les sceptiques. Mais en creusant autour de ces associations pédophiles, qui, où, comment, pourquoi ? Et en creusant autour de l'idéologie, de la doctrine, cela donnera le tournis au lecteur puisqu'il sera confronté au réseau de pédophilie internationale et à la doctrine kinseyiste qui consiste sommairement à légitimer toutes les pratiques sexuelles. Et c'est ainsi que l'on remonte le fil d'Ariane...


Pour aider le lecteur à creuser :





Dépêche AFP, un monument en l'honneur de Marsha P. Johnson et Sylvia Rivera, deux personnalités transgenres, va être érigé à New-York.1 Ils/Elles auraient été des figures oubliées dans les événements de Stonewall, une rafle policière anti-homosexuel menée dans un bar gay. Un « tournant » dans le mouvement de libération des homosexuels selon l'article. Or ces événements se situent en 1969, le père du mouvement de libération gay aux USA est Harry Hay, dès les années 1950 avec la création de la Mattachine Society et se revendiquant de l'idéologie kinseyiste. Les raccourcis, la caricature, les simplifications, la dissimulation, sont des pratiques quotidiennes de nos médias entièrement dévoués au lobby LGBT. Or la réalité est bien plus problématique et polémique que celle décrite par nos faiseurs de vérité.



Post Scriptum : ajoutons la fake news du jour de la communauté LGBT, apparemment c'est l'anniversaire des 50 ans alors qu'en réalité il s'agit des 122 ans… Ces individus ne maîtrisent absolument pas leur sujet.



Frank D.


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