Résiliation de Mediapart (pro LGBT) suite à la suspension de mon compte
Extrait d'un mail envoyé aujourd'hui à Media Part pour ma demande de résiliation :
" Ai-je envoyé un courrier pour
m’abonner chez vous ? Vous prenez vous aussi les gens pour des
cons. La carte de crédit marche bien pour encaisser une fois mon
autorisation tacite accordée, par contre s’agissant de ma
résiliation, la carte de crédit ne marche plus par annulation
tacite, ça ne suffit plus ! Ridicule… Il vous faut un
courrier ou un mail pour résilier…mais pas pour encaisser…
Echanges privés antérieurs à ma suspension de compte qui démontrent clairement que leur message copier/coller est digne d'un régime autoritaire ! Des machines répondant à une certaine logique qui n'est pas celle de la protection des enfants, ça c'est une certitude… Sinon pourquoi ne pas mettre sur la table un vrai débat sur le lobby LGBT ? D'où vient leur idéologie autrement dit tout leur attirail argumentatif ? Pourquoi tant de négationnisme ?
Le robot répond ci-dessous bip bip et me condamne à la sentence bip bip d'un mois de suspension bip bip donc je résilie car comme je le répète, les dépublications concernaient majoritairement la thématique LGBT/pédophilie. Toutes censurées, enfin aujourd'hui ils ont un gentil mot pour la censure ils disent "dépublier". N'est-ce pas charmant ?
Maintenant je suis dans l'incapacité de supprimer mes billets publiés sur Media Part, je leur ai demandé de tout supprimer car je ne suis pas leur nègre…
Et pour conclure, voici un copier/coller de mon article "dépublié" censuré par Media Part :
Post Scriptum : ajoutons la fake news du jour de la communauté LGBT, apparemment c'est l'anniversaire des 50 ans alors qu'en réalité il s'agit des 122 ans… Ces individus ne maîtrisent absolument pas leur sujet.
Et pour conclure, voici un copier/coller de mon article "
ILGA-LGBT
et leur relation à la pédophilie
Travaillons
ensemble sur le mouvement LGBT à l'échelle internationale :
I.L.G.A.
Révisionnisme :
Comportement, doctrine remettant en cause un dogme ou une théorie,
notamment celle d'un parti politique.
L'ILGA
pratique le révisionnisme en niant la forte relation entre la
pédophilie et leur mouvement.
Notre
objectif est simple, analyser sommairement le profil de cette
association via leur site internet, un clic de souris direction la
rubrique « Qui
sommes-nous ? ».
Qui
sont-ils ?
L’association
internationale des personnes lesbiennes, gays, bisexuelles, trans et
intersexes fut créée en 1978 (IGA) puis rebaptisée ILGA
en 1986.
Entre
1980-1986, l'internationale gay se nomme IGA, aucune lesbienne.
Entre
1986-présent, l'internationale gay devient ILGA,
intégration officielle des lesbiennes.
Première
constatation, les lesbiennes étaient contre la pédophilie or les
homosexuels étaient pour la pédophilie puisque certain d'entre eux
la pratiquant eux-mêmes. Dès l'année 1980, les pédophiles
trouvèrent rapidement écho à leur revendication au sein de l'IGA
contrairement aux lesbiennes, intégrant officiellement l'IGA en
1986. L'IGA est rebaptisée à cette occasion International Lesbian
Gay Association (ILGA).
Pédophilie :
relations sexuelles entre un adulte et un mineur, d'autres parlent
d'éphébophilie, une sous-catégorie de la pédophile.
Mineur :
un individu qui n'a pas la majorité civile -18 ans.
Le
mouvement LGBT avait des racines misogynes et pédophiles, c'est
indéniable et cette simple analyse permet d'arriver à cette
déduction. Aucune
femme n'était présente lors de la constitution de l'IGA à
Coventry, en Angleterre, en 1978. Les
hommes qui aimaient les hommes se retrouvaient entre hommes, quoi de
plus banal.
Continuons
avec un autre extrait du site internet de l'ILGA :
« Créée
en 1978, l'ILGA bénéficie d’un statut consultatif au Conseil
économique et social de l’ONU (Ecosoc). ».
Une tournure de phrase qui laisse à penser que l'ILGA bénéficie d'un statut consultatif à
l'ONU depuis l'année 1978. Or l'ILGA a intégré l'ECOSOC en 1993 avant d'être suspendue l'année suivante.
Si
nous allons jusqu'en bas de la page internet « Qui
sommes-nous ? », nous avons le droit à
quelques précisions :
- Lire une recherche approfondie sur l’histoire de l’ILGA entre 1978 et 2012.
La
controverse pédophile est un grand exercice de révisionnisme sur le
site de l'ILGA. Le déni sans conteste puisque l'IGA a créé un
groupe de travail dédié à la thématique pédophile en 1980.
Quatre associations pédophiles seront inscrites au sein de l'ILGA
entre 1979 et 1994.
La preuve en image, ceci un extrait d'un compte rendu de la seconde conférence de l'IGA à Barcelone en 1980, le révisionnisme LGBT est indéniable :
La preuve en image, ceci un extrait d'un compte rendu de la seconde conférence de l'IGA à Barcelone en 1980, le révisionnisme LGBT est indéniable :
Sur
son site ,ILGA déclare ceci au sujet de la controverse pédophile :
« ILGA
does not advocate – and never has advocated – paedophilia in any
way or form ».
- Advocate : supporter, encourager, faire la promotion de, être partisan de.
- Never : jamais.
- In any way or form : en aucune façon.
Les
mots ont-ils un sens ou celui que nous voulons leur donner ?
Est-ce une réinterprétation de la linguistique que cherche à nous
imposer l'ILGA ? Comment expliquer la présence de plusieurs
associations pédophiles au sein de l'ILGA entre 1979 et 1994 ?
Et l'existence d'un groupe de travail relatif à la thématique
pédophile ? Est-ce cela ne jamais soutenir/supporter/encourager
ou être partisan de la pédophilie ?
En
1994 l'ILGA a été contraint d'exclure plusieurs associations
pro-pédophiles afin de conserver leur statut au sein de l'ONU, c'est
un fait. Voici leur version de l'histoire sur leur site internet :
« At
no time, however, did ILGA support or endorse their positions, and
these groups were expelled precisely because
their aims were incompatible with those of ILGA ».
Un
sophisme ubuesque, si les positions de ces groupes étaient contraire
à celles de l'ILGA alors pourquoi les avoir soutenu pendant plus de
10 ans ? En réalité l'ILGA a exclu ses associations sous la
menace financière des Etats-Unis. Le statut de l'ILGA fut révoqué
suite à la pression du sénateur américain Jesse Helms et le vote
d'une résolution sénatoriale.
Le
26 janvier 1994 le sénat américain adoptait unanimement une mesure
(99-0) visant à bloquer la contribution financière américaine
destinée à l'ONU tant que l'ILGA n'aura pas rompu ses liens avec
les associations soutenant ou faisant la promotion de la pédophilie.
L'ILGA ne retrouva son statut au sein de l'ECOSOC (ONU) que dix sept
ans plus tard, au mois de juillet 2011.
Si
nous nous arrêtons ici, l'analyse reste superficielle et peu
convaincante pour les sceptiques. Mais en creusant autour de ces
associations pédophiles, qui, où, comment, pourquoi ? Et en
creusant autour de l'idéologie, de la doctrine, cela donnera
le tournis au lecteur puisqu'il sera confronté au réseau de
pédophilie internationale et à la doctrine kinseyiste qui
consiste sommairement à légitimer toutes les pratiques sexuelles.
Et c'est ainsi que l'on remonte le fil d'Ariane...
Pour
aider le lecteur à creuser :
Dépêche
AFP, un monument en l'honneur de Marsha P. Johnson et Sylvia Rivera,
deux personnalités transgenres, va être érigé à New-York.1
Ils/Elles auraient été des figures oubliées dans les événements
de Stonewall, une rafle policière anti-homosexuel menée dans un bar
gay. Un « tournant » dans le mouvement de
libération des homosexuels selon l'article. Or ces événements se
situent en 1969, le père du mouvement de libération gay aux USA est Harry
Hay, dès les années 1950 avec la création de la Mattachine
Society et se revendiquant de l'idéologie kinseyiste. Les
raccourcis, la caricature, les simplifications, la dissimulation,
sont des pratiques quotidiennes de nos médias entièrement dévoués
au lobby LGBT. Or la réalité est bien plus problématique et
polémique que celle décrite par nos faiseurs de vérité.
1AFP :
New
York va dédier un monument à deux femmes transgenres, une
première, 1 juin 2019.
Post Scriptum : ajoutons la fake news du jour de la communauté LGBT, apparemment c'est l'anniversaire des 50 ans alors qu'en réalité il s'agit des 122 ans… Ces individus ne maîtrisent absolument pas leur sujet.
Frank D.
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