La révolution homosexuelle et pédophile en Grande-Bretagne (Saga LGBT)

Historiquement, les revendications pour l'abaissement de la « majorité sexuelle » ou la dépénalisation des relations sexuelles entre un adulte et un mineur visait uniquement les minorités sexuelles afin de se conformer au modèle hétérosexuel. En 1982, la France a exaucé autant le désir des homosexuels que celui des pédophiles, en abaissant à 15 ans l'âge de « la majorité sexuelle » pour les personnes du même sexe.

Les hétérosexuels n'étaient pas concernés par cette révision du code pénal. C'est pourquoi l'emploi du terme de révolution sexuelle est inapproprié pour évoquer cette période. Il s'agissait plutôt d'une révolution homosexuelle et féministe ou plus prosaïquement de la révolution kinseyiste. Contrairement aux atermoiements de la communauté homosexuelle qui dénonce l'amalgame entre homosexualité et pédophilie, les faits historiques du militantisme LGBT démontrent leur pertinence. En effet, la France, en 1982,1 autorisait un adulte à avoir des relations sexuelles avec un mineur du même sexe âgé entre 15 et 18 ans.

Cette lecture de l'histoire n'est pas celle d’un récit fabriqué par la communauté LGBT et relayé par les médias. Elle repose sur des faits indiscutables comme la révision du code pénal, loin des intérêts d'un agenda politique et de la doctrine LGBT.

Est-il possible que le réseau pédophile évoqué sur ce blog ait aussi un lien avec la Grande-Bretagne ? La réponse est positive. Cet article va le démontrer en s’appuyant sur de nombreux documents officiels émanant des principaux acteurs et associations britanniques. Comme en France, nous pourrons constater la même proximité en Grande-Bretagne entre pédophilie et homosexualité.


Coral > Ecole en bateau > Azimuth Trust > PIE < Albany Trust < Spartacus
Ancrage = Docteur Morris Fraser


La libéralisation sexuelle en Grande-Bretagne
Peu avant sa mort, Alfred Kinsey voyagea en Europe pour promouvoir sa doctrine. Ainsi il put partager sa vision singulière de la sexualité alors qu'il se trouvait en Angleterre durant l'année 1955. En Grande-Bretagne, c'est le rapport Wolfenden (1957) qui fut la première étape de la dépénalisation de l'homosexualité, ses recommandations furent mises en place en 1967.
Jeremy John Le Mesurier Wolfenden fut un espion britannique, il est mort à l'âge de 31 ans des suites d'un accident domestique ou d'alcoolisme. Le fils de John Wolfenden est né en 1934. À 18 ans, il révéla à son père son penchant pour l’homosexualité. Nous étions en 1952. John Wolfenden eut une réaction brutale à l'égard de son fils après avoir appris qu'il était homosexuel. Il lui demanda de partir et de ne plus revenir. Paradoxalement, c'est John Wolfenden qui fut à l'origine du rapport qui libéralisa la sexualité en Grande-Bretagne.

Le rôle de l'église anglicane ne fut pas négligeable puisque de nombreux membres du clergé ont soutenu le rapport Wolfenden et la lutte pour la libéralisation sexuelle en Grande-Bretagne. Comble de l'hypocrisie en vertu des attaques incesssantes subies par la religion dont les valeurs sont jugées réactionnaires par la communauté LGBT.

Pour atteindre l'objectif de la libéralisation sexuelle en Grande-Bretagne, deux associations furent créées un an après la publication du rapport Wolfenden. Il s'agit de la Homosexual Law Reform Society (HLRS) et de l'Albany Trust créées en 1958. En 1963 ce fut la naissance du troisième lobby LGBT britannique, le North Western Homosexual Law Reform Society rebaptisé en 1971 The Campaign for the Homosexual Equality CHEEn 1978, sous l'impulsion du CHE et du COC Nederland, la Grande-Bretagne et la Hollande furent à l'origine de la fondation du lobby LGBT international : IGA devenu ILGA.2

Après l'adoption de la réforme sexuelle britannique en 1967, le HLRS changea de nom et d'objectif en militant pour l'abaissement de l'âge du consentement. La HLRS devint la Sexual Law Reform Society (SLRS) en 1970.

La HLRS et l'Albany Trust furent les premières associations britanniques à promouvoir l'homosexualité afin d'accélérer la réforme sexuelle préconisée par le rapport Wolfenden. L’Albany Trust est toujours active. Ainsi en 1967 la Grande-Bretagne avait dépénalisé les relations homosexuelles à partit de 21 ans. Ce n'est qu'en 1994 via le Criminal Justice and Public Order Act que l'âge du consentement pour les homosexuels fut révisé, passant de 21 ans à 18 ans. Enfin, en 2001, il fut rabaissé à l'âge de 16 ans.
__________________________

En 1974, deux lobbies pédophiles furent créés, le Paedophile Information Exchange (PIE 74' 84'), et le Paedophile Awareness and Liberation (PAL) qui sera absorbée par le PIE en 1976.

Le PIE appartenait au réseau pédophile international existant entre la Hollande (Frits Bernard, John Stamford) via Enclave Kring, Spartacus, les Etats-Unis via NAMBLA et CSC, la Grande-Bretagne (Tom O'Carroll)  via le PIE, mais aussi la France avec le GRED ou encore la Belgique avec le C.R.I.E.S. 

L'association Albany Trust fut soupçonnée de soutenir financièrement, matériellement, humainement et/ou idéologiquement la pédophilie (PAL et PIE).

Mais qu'en fut-il réellement, était-ce une campagne politique homophobe ou existait-il de vrais liens entre l'Albany Trust et le réseau pédophile ? La réponse sera limpide après avoir mis de la perspective à cette question en s'appuyant sur des documents officiels. Cet énième article rappellera la proximité entre homosexualité et pédophilie, lien qui apparaît explicitement tout au long de ce blog à l'évocation de cette thématique.

La pédophilie ne concerne pas seulement le concept d'abus sexuel sur mineur, c'est aussi une idéologie (kinseysme), une vision politique de la société (contre l'âgisme), de la propagande, un business, du chantage et parfois des meurtres.


Voici des liens permettant d'avoir une vue d'ensemble du sujet :



Libération, temple médiatique français de la pédophilie, devenu temple médiatique français du lobby LGBT.


Albany Trust
Anthony Edward Gartside Wright, plus connu sous le pseudonyme d'Anthony Grey, fut nommé directeur du HLRS (62-70) et il fut également fondateur et membre de l'Albany Trust jusqu'en mai 1977. Cette double casquette fut polémique à une époque où la pratique de la sodomie était condamnée. Anthony Grey était un homosexuel vivant ouvertement avec un homme, tout en étant une figure centrale de la défense des droits LGBT en Grande-Bretagne. 

En 1969, l'éditeur Neville Armstrong et Anthony Grey assurèrent la diffusion de Greek Love en Grande-Bretagne. Pour Anthony Grey, la lecture de Greek Love l'a poussé à « repenser son propre regard à l'égard de la sexualité humaine ».3 A cette époque l'auteur de Greek Love pratiquait déjà la pédophilie depuis une dizaine d'années, avec deux condamnations pour abus sexuels en 1954 et 1964, mais cela est sans doute un détail dans l'histoire LGBT pétrie de révisionnisme.

Entre 1969 et 1971, à la fois homme d'église et politicien, Lord Beaumont of Whitley4 fut président de l'Albany Trust. Il fut alors en contact par courrier avec John Stamford, le grand manitou de Spartacus. Tout comme le directeur d'Albany Trust, Michael De La Noy, à qui John Stamford sollicita un soutien juridique car il était alors englué dans une affaire judiciaire relative à la diffusion de matériel obscène via Spartacus.


Les associations pédophiles PIE et PAL furent présentées à l'Albany Trust via une conférence organisée vers la fin de l'année 1975 par l'association MIND.5 A cette époque Tony Smythe était le directeur de MIND, mais aussi membre du National Council for Civil Liberties (NCCL) et de l'Albany Trust.


En 1976 l'Albany Trust convia à plusieurs reprises des représentants du PIE afin de produire une publication sur la pédophilie. Tom O'Carroll (PIE) participa à son élaboration en compagnie de Keith Hose (PIE) et de John Holmstrom (Albany Trust), 20 pages s'intitulant : « Paedophilia: Some Questions & Answers », pour aider le public à mieux appréhender la pédophilie.6

A cette époque, Anthony Grey était aux manettes de l'Albany Trust, il a donc participé à ce projet à l'instar de Harold Haywood, rencontrant Tom O'Carroll (PIE) et d'autres membres du PIE comme Keith Hose et Warren Middleton.

Leur collaboration fut entachée au mois de novembre 1976 après une critique formulée dans les médias par l'activiste Mary Whitehouse, entraînant l'annulation de la publication en 1977. Cela n'empêcha pas le PIE de publier leur pamphlet pro-pédophile en 1978 par le biais de leur propre réseau et de le diffuser auprès des parlementaires britanniques. A la fin de la publication « Paedophilia: Some Questions & Answers » se trouve une liste de lecture conseillée pour approfondir la thématique pédophile.

Et voici les conseils de lecture proposés conjointement par le PIE et l'Albany Trust, permettant de creuser le sujet de la pédophilie :

  • Greek Love de JZ Eglinton alias Walter Breen condamné à 10 ans de prison pour abus sexuels sur mineur dans les années 1990.
  • Alfred Kinsey et ses deux rapports sur le comportement sexuel humain (1948-53), père de la révolution homosexuelle.
  • Le docteur Morris Fraser (PIE), un pédophile notoire, fondateur de l’Azimuth Trust.
  • Timothy d'Arch Smith.
  • Paul Gebhard, un collègue d'Alfred Kinsey.
  • Edward Brongersma et Frits Bernard, célèbres idéologues hollandais pro-pédophiles.
Voici comment le kinseyisme infiltra les hautes sphères du parlement britannique avec le PIE via l'Albany Trust, le NCCL et le Nucleus. Pour le comprendre il faut maintenant prendre connaissance du profil de quelques membres du PIE.

Paedophile Information Exchange (PIE)
La première association pédophile britannique fut la création conjointe de deux homosexuels, Michael Hanson et Ian C. Dunn, qui créèrent le PIE en Ecosse durant l'année 1974. Il ne faut surtout voir aucun lien entre homosexualité et pédophilie comme le clame le lobby LGBT. L'année suivante fut celle du déménagement des locaux à Londres. Keith Hose est alors nommé président du PIE pour les années 75' 76', lui succéderont Tom O'Carroll 76' 79' puis Steven Smith jusqu'à la cessation des activités du PIE en 1984. Comme les autres associations du même acabit, les membres du PIE prônent un discours sexualisant l'enfant, tout en se déclarant inoffensif et respectueux de la parole de l'enfant contrairement aux monstrueux pédophiles violeurs d'enfants. Or les pédophiles passant de la parole aux actes ne manquaient pas au sein du PIE à l'instar de la NAMBLA aux Etats-Unis, du GRED en France, de Spartacus à travers le monde ou de n'importe quel autre cercle pédophile.

Dans son livre Paedophilia : The Radical Case publié en 1980, Tom O'Carroll se décrit lui-même comme un pédophile abstinent et cite une vingtaine de fois les travaux frauduleux d'Alfred Kinsey pour affirmer ses opinions. Voici donc les lamentations d'un pédophile frustré par l'emprise des parents sur leurs progénitures ainsi que par les restrictions imposées par la loi, sans parler de cette société qui formate tout le monde à devenir hétérosexuel. Encore un auteur pédophile n'ayant qu'une obsession en tête : la sexualité. Ces individus n'avaient visiblement aucun problème d'emploi, de santé ou de trésorerie pour avoir autant de temps à consacrer à des pensées aussi déviantes et futiles. Ce livre de Tom O'Carroll s'inscrit dans le courant de la pensée kinseyiste à l'instar de JZ Eglinton et Warren Middleton (PIE).

Pour la conception de ce livre, Tom O'Carroll a tenu à remercier tous ceux qui l'ont soutenu dont deux mentions spéciales adressées à Kenneth Plummer, un kinseyiste homosexuel et à Nettie Pollard du National Council for Civil Liberties (NCCL), une lesbienne membre du PIE. La NCCL, créée en 1934, est la plus vieille association britannique existante de défense des droits civiques. Le PIE a rejoint le NCCL vers l'année 1975, précisément le NCCL Gay Right sub-committee alors sous la responsabilité de Nettie Pollard (PIE). En 1993, celle qui introduisit le PIE au sein du NCCL écrivit un chapitre apologiste sur la pédophile dans un livre intitulé : « Bad Girls and Dirty Pictures: The Challenge to Reclaim Feminism ». Nettie Pollard s'est aussi inspirée de la doctrine kinseyiste, des discours de la NAMBLA ou encore du livre de Warren Middleton, pour l'écriture d’un essai intitulé : « The Small Matter of Children ». Tom O'Carroll remercia également Keith Hose, ancien président du PIE.

Les analyses de Tom O'Carroll relatives au mouvement pédophile en Amérique du Nord sont confirmées par celles de Valida Davila du Chilhood Sensuality Circle (CSC) et par la NAMBLA de David Thorstad et Tom Reeves,7 en Hollande par Frits Bernard et Edward Brongersma, sans oublier de rendre hommage aux traductions de Frank Torey (Spartacus/Pan Magazine), sans qui les travaux provenant de la Hollande n'auraient pu être diffusés. Enfin il remercia JZ Eglinton et Warren Middleton pour leurs diverses suggestions.

Finalement le PIE avait réussi a infiltré au moins trois associations britanniques ayant un impact sur le pouvoir décisionnaire politique avec  l'Albany Trust, le Nucleus et le NCCL.

Voici une liste non exhaustive de quelques membres du PIE et de leurs exploits personnels. Selon diverses sources, le PIE a pu compter entre 200 et 400 membres :
Steven Freeman ou Steven Smith fut le dernier président du PIE, succédant à Tom O’Carroll après son arrestation et sa condamnation en 1981. Steven Freeman fut emprisonné en 2011 pour détention d'images indécentes. Il avait déjà fui vers la Hollande en 1984, un refuge pour les fugitifs pédophiles, pour éviter une procédure similaire mais la justice britannique le rattrapa lors de son retour en 1991 et il purgea sa peine.

(David) Peter Bremner8, professeur de philosophie, David Joy et Steven Freeman,9 furent condamnés dans les années 1980 pour de multiples publications obscènes. David Joy fut aussi condamné à 2 ans de prison en 1996 pour agression sexuelle sur deux mineurs.

Warren Middleton ou John Parratt, auteur de Betrayal of Youth : Radical Perspectives on Childhood Sexuality, Intergenerational Sex, and the Social Oppression of Children and Young People, en 1986. Agé de 63 ans, il fut emprisonné 12 mois en 2011 pour détention d'images indécentes, environ 3.000 dessins allant jusqu'à représenter des enfants violés. Cette découverte faisait suite à une perquisition effectuée au domicile de Steven Freeman en 2008. L'endroit servant à des réunions pour partager/échanger ce genre de matériels obscènes. D'autres individus furent emprisonnés a plusieurs mois de prison pour ces faits, Steven Freeman (PIE), 56 ans, Barry Culter (PIE), 60 ans, Leo Adamson (PIE), 49 ans, et John William Morrison, 44 ans.

Charles Napier, trésorier du PIE, ancien enseignant qui a reconnu en 2014 avoir abusé de 23 garçons. Agé de 67 ans, il a été condamné à 13 ans de prison, ses victimes étaient âgées entre 8 et 13 ans durant les années 60' et 70'. Certaines des victimes affirment avoir été violées une centaine de fois par Charles Napier. Par le passé Charles Napier avait déjà été condamné à deux reprises pour abus sexuels sur mineurs. Entre 1975 et 1976, il intégrait le « Nucleus », une association présidée par Harold Haywood (Albany Trust) et dont le rôle était de venir en aide à la jeunesse d'Earls Court dans le quartier londonien de Picadilly Circus afin de répondre notamment aux demandes de la communauté homosexuelle. Enfin, il était proche d'un autre membre du PIE, Peter Righton, figure de l'infiltration des pédophiles dans le secteur sociale britannique.


Paul Pelham Righton ou Peter Righton, travaillait pour les services sociaux, protection de l'enfance, et il usa de son influence pour protéger des pédophiles. Il fit blanchir Charles Napier à l'aide du docteur Morris Fraser (PIE), assurant à sa hiérarchie qu'il ne représentait aucun danger pour les enfants en tant qu'enseignant. Peter Righton et Charles Napier partageaient leurs victimes. En 1992, Peter Righton a été condamné pour détention d'images indécentes. Peter Righton avait 35 ans lorsqu'il rencontra le jeune Richard Alston âgé de 16 ans. Ils ne se quittèrent jamais, un véritable conte de fée pédophile jusqu'à la mort de Peter Righton en 2007. Enfin, son compagnon Richard Alston fut condamnée à 21 mois de prison en 2015 pour toute son œuvre notamment l'abus sexuel d'un mineur âgé de 11 ans en compagnie de Peter Righton.

Docteur Morris Roderick Fraser, pédopsychiatre et pédophile, dans les années 1970, à Londres, il fut mis en accusation pour avoir abusé sexuellement d'un mineur âgé de 13 ans. Il reconnut les faits mais il ne fut jamais emprisonné. En 1973, aux côtés de (George) Parker Grossman, professeur à l'Université de Yale, et George Brehm, un père de famille aisé et pédophile, il fut accusé d'avoir participé à un réseau pédophile international à Long Island, New-York. L'année précédente, George Brehm avait été condamné à 10 ans de prison pour son implication dans un autre cercle pédophile dans le comté de Nassau.

Dans l'affaire du cercle pédophile de Long Island, en 1973, Morris Fraser a reconnu avoir assisté à une relation sexuelle entre un adulte et deux mineurs, sans dénoncer les faits à la police. Il fut à nouveau blanchi. Son ombre plane également sur le scandale pédophile de Kincora car il exerçait dans la même ville, à Belfast.

Puis, en 1988, Morris Fraser fonda avec Michael Johnson l'Azimuth Trust à Cornwall, basé sur le même principe que l'Ecole en bateau créée en 1969 par Leonid Kameneff. Le dénommé Michael Johnson fut condamné à 4 ans de prison en 1994 pour de multiples viols sur mineurs dans le cadre de ces expéditions marines. Étrangement le docteur Morris Fraser échappa encore à des poursuites judiciaires malgré qu'il fut soupçonné d'au moins un abus sexuel sur mineur.10 C'est par l'intermédiaire de L'Ecole en bateau11 que Morris Fraser fit la rencontre de Michael Johnson, lui-même ancien directeur de l'association pédophile L'Ecole en bateau en France.


En revanche le docteur pédophile Morris Fraser fut finalement reconnu coupable en 1992 d'avoir photographié dans des postures indécentes (nu) des garçons âgés entre 11 et 14 ans sur une période de 10 ans. Il passa un an en prison. Un bien moindre mal au regard de son palmarès, il aurait aujourd'hui 77 ans.


La documentation de cet article provient des sites ci-dessous, ayant concentré leur attention sur les abus sexuels ou la pédophilie au Royaume-Uni. J'ai pu parcourir de nombreuses coupures de presses en images remontant aux années 1970 et de nombreux documents déclassifiés.


La pédophilie, au-delà d'être une déviance sexuelle, est une véritable hérésie relationnelle puisqu'elle est éphémère, rien ne peut-être construit autour d'une relation « consentie » entre un pédophile et un mineur. Quant au concept de consentement, il est très discutable car il est simple d'obtenir le consentement de n'importe quel enfant tout comme il est possible de faire d'un enfant un petit soldat portant une arme pour faire la guerre. Tout est possible. Cependant le discernement doit servir à déterminer si l'intégrité, la dignité ou la moralité d'autrui ne sont pas mises en péril par le tout est possible.

La nouvelle vague pro-pédophile militante est déjà là, employant les mêmes arguments que par le passé. L'idéologie pro-pédophile véhiculée à travers internet, notamment sur Twitter, correspond en tout point à celle du PIE ou d'un Tom O'Carroll, martyr, pédophile frustré, exorcisant ses démons à travers l'écriture, avec l'infime espoir d'être écouté et compris...12



Frank D.


1Ou éphébophilie pour les déviants sexuels pratiquant l'intellectualisation de la sexualité.

2L'IGA devient ILGA en 1986 après l'intégration des lesbiennes.

3« Greek Love has caused me to rethink some of my own basic attitudes to human sexuality ».

4Tim Beaumont.

5Association britannique dans le champ de la maladie mentale.

6Independant Inquiry Child Sexual Abuse (IICSA) : Independant Investigation into the Alleged Payment of Home Office Funding to the Paedophile Information Exchange, Final Report, page 5, janvier/mars 2014.

7Tom Reeves a reconnu avoir eu des relations sexuelles avec un mineur de 13 ans mais il n'a jamais été poursuivi judiciairement pour ce motif.

8Alias Roger Nash.

9Condamnation reportée en 1991 pour Steven Freeman après sa fuite vers la Hollande en 1984.

10Cornwall County Council Page 36.

11Par la suite rebaptisé Les Expéditions Jules Verne ou en anglais Jules Verne Educational Charity.

12Docteur Michael Seto, Docteur James Cantor, Docteur Gilian Tenbergen...

Commentaires

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