Élisabeth Borne annonce la future nommination d’un ambassadeur français pour les droits LGBTQI+ dans le monde

En effet, ce fut à loccasion du 40ème anniversaire de la "dépénalisation de l'homosexualité" en France que la Première ministre Élisabeth Borne a tenu ces propos démagogiques et absurdes. Cette "communauté" dont les pratiques sexuelles ont surtout permis la propagation de plusieurs virus sur Terre, comme ceux du SIDA et dernièrement de la variole du singe, continue à bénéficier de toutes les attentions de nos politiciens. Et ce 40ème anniversaire fut aussi propice à la promotion de la plus célèbre propagande LGBT en France : l'homosexualité a été dépénalisé durant l'année 1982. Or, en France, l'homosexualité a été dépénalisé en 1791, toute autre version serait une apologie de la doctrine LGBT kinseyiste consistant à normaliser toutes les pratiques sexuelles déviantes.  

Les manipulations et autres mensonges notoires de cette secte de déviants sexuels sont légions puisqu’il y a peu ils ont fêté ce qu'ils nommèrent les 50 ans de la création du "mouvement gay". Ainsi le mouvement gay serait né aux États-Unis en 1969 et non en Allemagne par l'intermédiaire de Magnus Hirschfeld en 1897. L'une des spécialités de ces hérétiques est de mépriser les figures emblématiques de leur propre "cause" car elles sont devenues gênantes. Or, sans eux, ils ne sont rien. 

La vérité se définit autour de faits incontestables tandis que la propagande se bâtit autour du pouvoir comme pour les plus extrémistes de la communauté LGBT.

Tous les lecteurs s'arrêtant sur cet article devrait s'accorder du temps pour réfléchir sur l'être humain et la sexualité. En guise de point départ, voici un extrait d'un article sur l’ILGA et la controverse pédophile :

Il apparaît que la révolution sexuelle et les mouvements qui ont surfé sur cette vague ont toujours cherché à rabaisser l'Homme à sa nature primaire, physique et animale. Il a toujours été question d'un Homme sexuel mais pas d'un Homme bâtisseur ou créateur, ce qui est réducteur au possible. C'est comme prétendre qu'une main n'aurait qu'une utilité, celle de la pratique de l'onanisme or la fonction initiale d'une main est celle d'un outil nous permettant d'entrer en contact avec l'extérieur, de nous défendre, de concevoir ou encore de détruire. Réduire l'être humain à sa simple sexualité est la politique de la communauté LGBT, il faut donc leur rappeler que la sexualité chez l'Homme est une fonction parmi tant d'autres. Celle nous permettant de nous reproduire. Cette fonction peut engendrer du plaisir pour certaines personnes et pour d'autres une relative indifférence alors comment pouvons-nous accepté d'être stigmatisé comme cela ? Ce principe est aussi usité par la communauté LGBT et leurs soutiens pour valider leurs comportements quand ils font référence à des pratiques ou des rites dont les origines sont lointaines et sans relation avec notre réalité et notre société actuelle. Preuve encore que le mouvement LGBT frise la psychose de par son incapacité à accepter la réalité qui nous entoure, il leur faut donc aller chercher l'inspiration ailleurs pour transposer leur fantasme. Il est facile de trouver des points communs entre hier et aujourd'hui comme il serait aisé de dégoter autant de différences. La vraie question restera toujours la même, où faut-il fixer les limites pour tendre vers un relatif équilibre entre chaque individu ?

Tous les comportements humains altruistes, égoïstes, normaux, déviants, civilisés ou criminels sont depuis toujours ancrés dans la nature humaine des premiers Hommes. Cependant leur existence n'implique aucunement leur intérêt positif ou négatif, leur bienfait ou leur méfait pour la société, en disant cela nous faisons simplement le constat de leur existence.

Frank D.