Le phénomène transgenre est devenue une réalité en France

Si certaines personnes doutaient encore de la réalité du concept de théorie du genre jusqu'à son émergence en France, force est de constater que nous subissons quotidiennement la propagande LGBT. Elle est omniprésente dans la sphère culturelle : publicité, musique, cinéma, télévision, radio, journaux et internet. Après avoir normalisé l’homosexualité, les mariages gays et lesbiens, la co-parentalité pour les lesbiennes, la propagande LGBT est aujourd'hui essentiellement axée sur la banalisation d’un autre épiphénomène, celui des transgenres. Je ne reviendrai ni sur l'origine de l'idéologie LGBT ni sur leur sémantique, je vais me contenter de renvoyer le lecteur à des liens évoquant ce sujet de manière univoque à la fin de cet article. Je rappelle également que toute personne évoquant le sujet LGBT sans l’once d'une connaissance de l'histoire en sexologie n'a aucune forme de crédibilité. Nous pourrions aussi ajouter une expertise dans le développement psycho-affectif de l'enfant. Deux critères qui limitent considérablement le champ des prétendants à un débat objectif et sérieux sur la thématique LGBT. Les partisans LGBT sont le plus souvent des ignorants nourris aux discours politiques et médiatiques ou des propagandistes au service de la doctrine kinseyiste.

La propagande LGBT est basique, le problème c'est l'autre (hétérosexuel) et ses phobies (homophobie, biphobie, lesbophobie, transphobie, lgbtphobie). Un sempiternel refrain stérile sur la victimisation qui évite toute introspection du sujet, et élude toute carence psychologique, psycho-affective, spirituelle et/ou cognitive, comme si l'être humain n'était qu'un simple corps, une coquille vide dénuée d’émotions et de réflexion. La propagande LGBT pratique également un amalgame douteux entre l’amour et la sexualité. Deux choses fondamentalement distinctes pouvant exister l’un avec l’autre mais aussi l’un sans l'autre. Si l’amour peut causer d’invisibles blessures en cas de désaffection, celles d’une sexualité débridée et déviante sont parfaitement visibles aux yeux d'un professionnel de la santé notamment dans le cadre du changement de sexe qui rend le sujet stérile. Ainsi la même association milite pour le droit à l'enfant (PMA) tout en militant pour les droits des personnes transgenres dont le processus de transformation rend stérile.

Le sexe est un vecteur reconnu pour diverses maladies sexuellement transmissibles ayant un impact direct sur la salubrité publique. La sexualité est aussi le seul moyen connu de l'espèce humaine pour se reproduire et survivre, du moins pour les personnes en capacité de procréer naturellement avec leur partenaire sans aucune assistance médicale extérieure. Cette distinction est fondamentale car elle oppose la responsabilité à l’irresponsabilité, le droit de l'enfant au droit à l'enfant, la sujettisation à l’objetisation, la nature à la nurture, la norme à la déviance. 

Dans une société saine, la propagande LGBT ne saurait être vulgarisée au travers de toute la sphère culturelle accessible aux mineurs car l'incitation à la débauche est réprimée par la loi. Rappelons également que l'article 371-1 du code civil prévoit de mettre l'enfant au cœur des décisions qui le concerne et en accord avec son degré de maturité. Quel genre de société s’autorise à éveiller sexuellement nos enfants, âgés de 0 à 18 ans, en occultant toute notion de maturité ? Ainsi une minorité de gens ne pouvant enfanter naturellement du fait de leur sexualité déviante court-circuite l'éducation de nos enfants en les stimulant sexuellement via la propagande LGBT. Et bien entendu nous devons tous l'accepter sinon nous serions catalogués comme étant homophobes, un comble ! 

Le lecteur comprendra mieux pourquoi, sous le mandat du président Macron, il a déjà entendu parler dans le débat public de l’abaissement de l'âge de la "majorité sexuelle", du vote de la PMA pour toutes et de l’éducation sexuelle. Il s'agit de la doctrine kinseyiste ou de l'agenda politique du lobby LGBT. L'abaissement de l’âge de la "majorité sexuelle" est un autre de leur objectif car rappelons que leur mentor affirmait que toute relation sexuelle se valait dès lors que les partenaires partageaient un "consentement" mutuel. Fallait-il aussi définir la notion de consentement. Aucun mineur ne peut consentir à une relation sexuelle avec un adulte car le rapport de force est totalement déséquilibré.

Enfin, une fois par an, la Gay Pride vient semer le trouble à l'ordre public par des paroles et des comportements déplacés en s'exhibant dans les rues. Les images d'archives parlent d'elles même pour ceux qui n'ont encore jamais assisté à ce défilé d’obscénités quasi pornographique dans les rues de Paris.

Au mois de Mars 2021, l'histoire de Lilie Vincent, un garçon âgé de 8 ans qui revendique être une fille, était diffusée sur BFMTV. Après avoir vu cette enième promotion de l'hérésie LGBT sur BFMTV, mon devoir de citoyen était d'écrire cet article sur le sujet afin d’avertir les futures générations du danger de la décadence de nos moeurs appelées ironiquement progressisme. Et quel progrès, des individus du même sexe peuvent dorénavant devenir parents voire procréer, et un enfant peut changer de sexe avec l’accord de ses parents ! Tout cela grâce au lobby LGBT. Si nous étions aux États-Unis la petite Lilie aurait déjà eu sa télé-réalité pour que nous puissions vivre son quotidien exaltant comme Jazz Jennings. Mais Lilie Vincent est déjà très populaire car en moins d'un an elle a donné de nombreuses interviews dans divers médias comme Touche pas à mon poste, Konbini news, France 24, RMC, RMC Découverte, C’est à vous, Ça commence aujourd'hui et BFMTV. D'autres cas de jeunes transgenres mediatisés en France existent comme ceux de Stella ou Alex.  

La célèbre auteure de Harry Potter, J.K Rowling, avait elle même été la cible sur Twitter d’attaques virulentes émanant d’hystériques LGBT à tendance transgenre. La méthode est toujours la même pour ces fanatiques extrémistes, insultes, menaces de boycott, harcèlement en réunion voire signalement massif pour clouer le bec de l’auteur du propos. J.K Rowling aura eu le droit au célèbre "transphobe" et au boycott de son œuvre. Cette génération post millénium porte un éclairage constant sur des individus n'ayant pas réussi à surmonter leur différence quand d'autres y arrivent sans manifester dans la rue. Le 21ème siècle nous pousse vers la victimophobie. D'ailleurs le mouvement "anti-raciste" Black Live Matters (BLM) a été fondé par ce genre de profil, des hystériques, des hurleurs de slogan et de cupides déviants. Sur les 3 fondatrices de BLM nous en avons deux se revendiquant LGBT, Alicia Garza, épouse d’un homme transgenre, et la lesbienne Patrisse Cullors. Cette dernière ayant fait polémique suite à l'achat d'une maison de luxe dans un quartier majoritairement blanc, loin de ses frères et sœurs noires qui lui permettent de s'enrichir. 

Revenons sur l’histoire méconnue de l'association LGBT et de leurs vieux démons. Leur misogynie historique (IGA 》ILGA), leur revisionnisme pathologique consistant à nier leurs liens avec la pédophilie et les pédophiles, et leur lobbying auprès du pouvoir afin de normaliser leurs déviances. Autant de faits documentés qui m'ont valu des exclusions de tous les sites mainstream sur internet, faute d’obtenir une contre argumentation.

Kinsey alias docteur Sexe : révolution sexuelle, pédophilie et théorie du genre. (La matrice de la révolution sexuelle et de la doctrine LGBT).

International Gay Lesbian Association (ILGA) et la controverse pédophile. (La pédophilie avait ses représentants au sein de l’ILGA).

Joseph Doucé, icône gay et avocat de la pédophilie. (En 1989, le pasteur Doucé fut l'instigateur en 1989 de la recommandation 1117 au parlement européen).

Le journal Libération : Temple médiatique français de la pédophilie. (Homosexualité, pédophilie, transsexualisme et zoophilie).

Julia, transsexuelle agressée à Paris. (Faits divers promotionnel).

Le phénomène transgenre. 

Flashback : aux origines de l'idéologie LGBT, Walter Breen & Marion Zimmer Bradley.

Les 50 ans d’histoire de la communauté LGBT (Fake News). (Exemple idoine de révisionnisme). 

Snapchat : les filtres masculins/féminin divisent la communauté transgenre.  (Victimisation).

Marvel s'engage à dévoiler plus de personnages LGBTQ+. (Discrimination positive et conditionnement des masses).

Retour de la PMA pour toutes, doit-elle être remboursée par la sécurité sociale ? (Tarification de la réattribution sexuelle).

Pour conclure, il existe des personnes ex-transgenres (mot-clé : détransition) même si elles sont peu nombreuses à l'instar des personnes transgenres au sein même de la population ou de l'association LGBT. Or nier l'existence de ces ex-transgenres est de l’ex-transphobie, un comble ! Les exemples de Walt Heyer (81ans), Brian Belovitch alias Tish Gervais (63ans), James Shupe (58ans) ou Michael D. Penner (52ans), méritent d'être pris en considération car ils expriment leurs regrets. Enfin leurs profils mettent aussi en lumière les nombreuses problématiques psychiques dont peuvent souffrir ces personnes.


Frank D.

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