Assa Traoré ou la méthode pour s'enrichir en faisant fructifier la mort
Le comité Adama calomnie l'État français en l'accusant de racisme systémique et bénéficie d'un total blanc seing pour cette inversation accusatoire. Il l'accuse aussi de retarder la procédure judiciaire de l'affaire Adama alors que ce sont les avocats de la famille Traoré qui utilisent toutes les ficelles à leur disposition pour repousser l'échéance inéluctable. Un total de 10 expertises ont été remises à la justice pour le même motif. Cela ne pose t-il pas question sur l'intégrité de ces experts se contredisant à tour de rôle ? Toujours est-il que cela a pour seul effet de repousser l’inéluctable, à savoir un non-lieu, car les gendarmes ne sont pas directement responsables de la mort d’Adama Traoré. Ce dernier a très largement forcé son destin en choisissant de fuir à de multiples reprises les forces de l’ordre au lieu d’obtempérer. Les atermoiements du Conseil des droits de l’Homme de l’ONU, appelé à la rescousse par le comité Adama, ne devrait rien y changer.
Des faits et de la nuance loin de toute forme de fanatisme communautariste. Voici un article en noir et blanc afin d'être compris par tous les lecteurs même les racialistes manichéens. Où en est la médiatique et politique affaire du défunt délinquant Adama Traoré ? Et le compte bancaire d’Assa Traoré comment se porte t-il ? N'oublions pas les trois gendarmes accusés dans l'affaire Adama, les véritables victimes, que deviennent-ils ?
Contrairement aux propos du Conseil des droits de l’Homme de l’ONU, cette lenteur judiciaire ne bénéficie pas aux trois gendarmes calomniés et diffamés depuis des années par plusieurs milliers de fanatiques racialistes. Seul le comité Adama est en position de tirer profit de cette situation en produisant de la propagande pour influencer l'opinion publique, en récoltant encore plus de fonds et en renforçant les rangs du comité Adama grâce à l'instrumentalisation d'un mort. Pendant ce temps-là, les trois gendarmes et leur famille continue à subir le déshonneur et le mensonge. En conséquence, l’intérêt du comité Adama est de faire durer le processus judiciaire alors que celui des gendarmes est d’être innocenté le plus rapidement possible pour reprendre le cours de leur vie.
L’instrumentalisation de la dépouille de son frère disparu est sans conteste puisque cela permet à Assa Traoré de se pavaner dans les médias détenus par des blancs, faire la couverture du Time aux États-Unis, pays du Ku Klux Klan, chantre de l'esclavagisme et de la ségrégation raciale, ou vendre son image à des marques détenues par des blancs. Tout ceci en accusant les blancs de tous les maux. Il existe aussi un business juteux autour des produits dérivés du comité Adama, tee-shirts, affiches, et au moins une cagnotte en ligne. Nul doute que le compte bancaire d’Assa Traoré se porte à merveille car elle connaît la méthode pour faire fructifier la mort.
Elle a aussi publié deux livres au sujet de son frère délinquant. Deux livres écrits par deux auteurs blancs jouant le rôle du nègre, Elsa Vigoureux et Geoffroy de Lagasnerie. Nous retrouvons aussi Assa Traoré parmi un collectif de femmes issues de la francophonie braillant Barayé en soutien à l’iranienne et défunte Mahsa Amini. Bref le marketing mortuaire fonctionne à merveille, la popularité d’Assa Traoré est faite, peu importe l'issue judiciaire, le scénario est déjà écrit. Cette mouvance continuera de faire parler d'elle.
Au mois de Mars 2021, la municipalité grenobloise a lancé le mois décolonial. Cet évènement fut promu par le maire de la ville, Éric Piolle, avant de s'en distancier suite aux critiques dont il a été la cible. Ce folklore consistait à diffuser les théories racialistes d’Assa Traoré et de la LFI. Pauvres jeunesses grenobloises, pauvre France, sauf pour l’ancienne Garde des Sceaux, Christiane Taubira, qui affirme qu'Assa Traoré est une chance pour la France. L’un des organisateurs de cette sauterie grenobloise était Taha Bouhafs, fils de Zahïm Bouhafs, et compagnon d’Assa Traoré. Rappelons que Taha Bouhafs a été condamné pour injure à caractère raciale mais le cynisme ne s'arrête pas là. Quant à Nadjelika, celle qui avait injurié un policier, elle s’est soustraite à la justice française en se réfugiant en Côte d'Ivoire. Pourtant le comité Adama prétend lutter contre le racisme mais aussi contre les violences faites aux femmes.
Les deux exemples ci-dessus et l’affaire Samir Elyes ne semblent pas être suffisants pour discréditer ces pseudos militants antiracistes. Samir Elyes est un proche d’Assa Traoré, un soutien de la première heure dont j'avais retranscrit l'un de ses merveilleux discours. Pour la postérité, pour la cause, le voici :
" Ça fait 40 ans que ça dure d'ailleurs qui, qui en 40 ans, quelle famille a subi ce que a subi Assa Traoré depuis 2016. Il n’y a pas d'équivalent en France. On a bien affaire à une justice négrophobe. On a affaire à des policiers racistes dans nos quartiers, 80% de ces policiers sont des policiers racistes, ils ne devraient pas. Ils ont le droit de vie ou de mort et la justice leur délivre leur permis de tuer. Ça aussi c'est important... Assa Traoré est en danger, la famille Traoré est en danger, et nous on est là, et on continuera à être là jusqu'à la fin. PAS DE JUSTICE ! PAS DE JUSTICE ! PAS DE JUSTICE ! D’ailleurs ils sont là... Franchement, moi y a un truc qui me fait du mal c'est qu'ils puissent marcher à côté de nous, de la même manière, qu'on leur délivre des permis de tuer. Ces gens là, là, ils marchent à côté de nous comme ça avec le sourire. Y avait pas ça y a 3, 4 ans, ils se permettaient pas ces choses là. Montrons leur qu'on est en colère, on est en colère contre la police et la justice. On veut plus, on veut plus qu'ils rentrent dans nos quartiers. Parce que des morts il va y en avoir encore, il va y en avoir. Et faut bien se dire qu’en France y a un traitement pour les familles noires et arabes et ça nous on ne l'acceptera jamais. "
Aux dernières nouvelles, Erwan Seznec, journaliste au Point, a écrit un livre intitulé "Mon fils n'est pas un assassin" en collaboration avec Virginie Gautier, mère de l'un des gendarmes. Enfin, au niveau judiciaire, preuve encore que les avocats de la famille Traoré utilisent tous les moyens nécessaires pour faire durer le processus judiciaire et ainsi l'instrumentaliser médiatiquement, le camp Assa Traoré demande ni plus ni moins que la récusation du juge d’instruction en charge du dossier.
La même question demeure et personne n'y répond. Comment interpeller une personne récalcitrante sans recourir à la violence ? Comment interpeller une personne récalcitrante en recourant à la force mais sans lui causer de dommages ? Et sinon comment faire intégrer le respect de la loi aux citoyens français afin d'éviter que les forces de l'ordre n’interviennent en usant de la force puisque cela dérange les extrémistes de gauche ? Nous attendons toujours des réponses claires et concises.
Rappel des articles abordant les violences policières et l'affaire Adama Traoré :
Comité Urgence notre police nous assassine
https://lhommequimurmuraitaloreilledesourds.blogspot.com/2020/12/affaire-michel-zecler.html
https://lhommequimurmuraitaloreilledesourds.blogspot.com/2021/07/acquittement-de-bagui-traore.html
Frank D.
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